dimanche 29 août 2010

Christophe Lemaitre bat son record de France du 100 mètres en 9''97

Le champion d'Europe du 100 m Christophe Lemaitre a battu son record de France, en finale à la réunion de Rieti (Italie) d'un centième dimanche, terminant quatrième de la course. Il porte la nouvelle marque à 9'97 secondes.

Une heure avant, en demi-finale, Christophe Lemaitre avait déjà égalé son précédent record (9'98), mais avait aussi perdu la course.

http://www.20minutes.fr/article/590471/Sport-Christophe-Lemaitre-a-nouveau-sous-les-10-secondes.php

La France se paie l'Espagne

Somptueux. Les Bleus ont réussi à ébranler la montagne espagnole dès leur entrée en lice dans ce mondial turc. Face au champion du monde, champion d'Europe et vice-champion olympique en titre, une entrée a priori indigeste, les Tricolores ont fait très fort en montrant d'emblée leur plus beau visage. Les hommes de Vincent Collet ont d'abord mis en avant leur grosse défense pour contenir les attaques espagnoles avant d'enfin passer à l'attaque, au bout de 5 minutes, par Pietrus (2-5, 6e). Un premier quart-temps peu propice aux attaques avec une adresse générale douteuse des deux côtés, notamment à 3 points. A la fin du premier acte, l'Espagne mène assez logiquement 18-9.

Loin de se laisser aller, les Français tiennent le rythme malgré un 3 points de Mumbru qui porte le score à 23-11. L'écart est important mais dans la foulée, Gelabale rentre enfin un tir primé et cela fait office de détonateur pour la confiance tricolore (23-16). Les Bleus sont lancés et profitent pleinement des hésitations des champions du monde en attaque (14/32 à la pause). Batum d'un dunk énorme sur Mumbru, Traore et Gelabale empilent les paniers et les Français reviennent à 25-25 à 1 minute de la pause. Gelabale, encore lui, donne un premier avantage aux Bleus (27-26) mais le dernier mot du premier acte revient tout de même à Fernandez (28-27). Le ton est donné et les Bleus sont dans le coup.

Albicy exceptionnel!
Les Espagnols tentent néanmoins de reprendre le large. Le manque de réussite des Français leur permet d'ailleurs de repasser plus largement devant grâce à Navarro 35-27. Mais une fois de plus, les Bleus jouent à l'élastique et recollent au courage avec un contre de Diaw, un ballon volé par Albicy et un panier de Batum (35-32). La Roja commence toutefois à trouver la mire longue distance avec Fernandez, Navarro ou encore Lopez et s'appuie sur la puissance de Gasol à l'intérieur. Les Tricolores ne s'en laissent pas compter, Albicy répond par un 3 point, Koffi envoie un dunk avant que Batum ne lâche un tir primé au buzzer (44-43).

Les Bleus, solidaires comme jamais, tiennent le bon bout à l'entame du dernier quart-temps. Certes, une fois de plus, Fernandez donne 4 longueurs d'avance à l'Espagne (50-46) mais Gelabale frappe à 3 points. 50-49, avant que Traoré ne permette à son équipe de passer devant 51-50. Un avantage anéanti par un tir primé de Reyes (53-53) avant un festival de Batum qui inscrit 2 lancers francs puis un 3 points 58-53. En face, Gasol manque ses lancers francs tout comme Reyes tandis que Fernandez en manque un. Avec un médiocre 17/32 sur la ligne, l'Espagne a craqué dans les tirs et dans les mots avec une technique pour Rubio. Avec la faute, Mahinmi et Batum font passer le score à 65-54 à 1'17'' de la fin !

Le match n'est cependant pas gagné comme en témoigne 2 actions en forme de syndrome français avec 2 interceptions sur la relance et 2 tirs primés... Heureusement pour les Bleus, Diaw relance la machine avant qu'Albicy, du haut de ses 20 ans, ne fasse preuve d'un sang froid incroyable en rentrant tous ses lancers francs. Un succès final 72-66 qui fait chavirer le banc tricolore. Les Bleus sont lancés et les perspectives subitement plus belles.
http://www.lejdd.fr/Sport/Basket/Actualite/La-France-se-paie-l-Espagne-216745

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samedi 28 août 2010

vendredi 27 août 2010

Et maintenant le tirage au sort de la Ligue Europa

Moins de 24 heures après avoir accueilli la cérémonie de tirage au sort de la Ligue des champions (voir l'article), le forum Grimaldi de Monaco va être le théâtre d'une nouvelle loterie, vendredi, pour déterminer cette fois les affiches de la Ligue Europa
Quarante-huit équipes sont concernées, dont deux écuries françaises : le PSG, qualifié malgré sa défaite en barrage retour contre le Maccabi Tel-Aviv (4-3), et le LOSC, qui a validé son ticket en battant Vaslui (2-0), jeudi soir (voir l'article). Les Parisiens et les Lillois, au regard de leur coefficient UEFA, ont été versés dans le 2e chapeau pour le tirage au sort. Parmi leurs adversaires du prochain tour figurera donc une équipe du premier chapeau, qui concentre les cadors de la compétition : Liverpool, Juventus Turin, Séville, Atletico Madrid, CSKA Moscou, Zenit Saint-Pétersbourg, FC Porto (voir la liste complète)...

Par contre les Français éviteront des équipes telles que Manchester City, la Sampdoria ou le Besiktas, qui sont également dans le deuxième chapeau. Ils iront chercher leurs autres adversaires dans les troisième et quatrième chapeau, avec des équipes à ne pas sous-estimer (Sparta Prague, AEK Athènes, Dinamo Zagreb, Rapid de Vienne, Young Boys de Berne). Verdict à partir de 13 heures.
http://www.lemonde.fr/sport/article/2010/08/27/et-maintenant-le-tirage-au-sort-de-la-ligue-europa_1403316_3242.html#xtor=AL-32280184

mardi 24 août 2010

Ben Arfa «est victime d'un gourou», selon son père

Les parents de footballeurs parlent rarement des choix sportifs de leurs fistons. Kamel Ben Arfa, lui, ne se prive pas de donner son avis dans les colonnes du Parisien sur la façon dont est gérée la carrière de son fils. Selon lui, Hatem «est totalement perdu» en ce moment, rejetant la faute sur le principal conseiller du joueur, Michel Ouazine.
Hatem est victime d'un gourou. Ouazine l'a éloigné de ses proches et il habite chez lui à Marseille (...) Il vit avec l'argent de mon fils, il ne paie jamais ses avions et ses hôtels. Ah oui j'oubliais: il n'a pas de licence d'agent!» De son côté, le conseiller du joueur se défend en affirmant qu'il «ne recherche ni la gloire ni l'argent. Seuls l'avenir et la carrière d'Hatem m'importent. (...) C'est à son fils qu'il s'attaque à travers moi».

«Un énorme gâchis»

Le joueur de 23 ans est toujours en conflit avec son club l'Olympique de Marseille, avec lequel il refuse de s'entraîner. Selon le père, c'est Michel Ouazine qui «a miné le terrain et fait péter les plombs à Hatem. C'est lui qui lui a conseillé de dire du mal de Didier Deschamps et qui lui a fait croire que c'était super-facile de lui trouver un nouveau club».

Pour Ouazine, la situation est un peu plus complexe: «Le père d'Hatem ne comprend rien à la situation. Il noircit volontairement le tableau». Alors qu'il doit décider de son avenir, le joueur ne devrait pas être éclairé par ces déclarations contradictoires.
http://20min.fr/a/589099

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lundi 23 août 2010

Benzema répond à Mourinho avec un doublé

Non, l'attaquant du Real ne dort pas toujours...
Après les sermons de José Mourinho, le Français a donc réagi sur le terrain. Critiqué pour son dilettantisme à l’entraînement, l’attaquant international a inscri un doublé, dimanche soir, face à Hercules Alicante (victoire du Real 3-1). Entré en seconde mi-temps, à la place de Gonzalo Higuain alors que les Merengue étaient menés 1-0, l’ancien Lyonnais n’a mis que 10 minutes pour égaliser. Puis d’une frappe croisée du droit, il a scellé la victoire du Real à dix minutes de la fin. Au moins en match, Benzema ne «dort» pas.


http://www.20minutes.fr/article/589069/Sport-Benzema-repond-a-Mourinho-avec-un-double.php


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dimanche 22 août 2010

Messi est renversant

Grâce notamment à un triplé de Messi, Barcelone s'est offert la Supercoupe d'Espagne en renversant le FC Séville (4-0). L'Argentin, absent au match aller où le Barça s'était incliné 1-3, a fait la différence au Nou Camp. Premier trophée pour les Catalans en 2010-2011

BARCELONE - FC SEVILLE : 4-0


Buts : Konko (13e, c.s.c.) et Messi (24e, 43e, 90e)

Malgré un handicap de deux buts à remonter après leur défaite du match aller (1-3), les Catalans n'ont pas tremblé pour remporter leur premier trophée de la saison. La semaine dernière, une équipe du Barça largement remaniée et rajeunie avait pris l'eau. Au Nou Camp, Pep Guardiola avait donc ressorti la grosse armada. Une formation qui s'approchait davantage d'une équipe-type, même si Puyol, Iniesta, Villa ou encore Ibrahimovic assistaient au coup d'envoi depuis le banc des remplaçants. Entré au cours de jeu à l'aller, Lionel Messi était en revanche aligné d'entrée. Et ça fait toute la différence. Auteur d'un triplé, l'Argentin a signé son retour et montré que son Mondial sud-africain, au cours duquel il était resté muet, était bien derrière lui.

Face au génie catalan, le FC Séville n'a pas eu grand chose à proposer. Avec Frédéric Kanouté et Luis Fabiano sur le banc, les Andalous avaient décidé de laisser le ballon aux Barcelonais. Grosse erreur. Les coéquipiers de Julien Escudé ont subi durant tout le match. Ils ont même placé le Barça sur la voie de la remontée avec un but contre son camp de Konko suite à une accélération de Pedro (13e). Messi n'avait plus qu'à finir le boulot grâce au travail de Xavi (26e), lui aussi de retour dans le onze, et Iniesta (90e), entré en cours de jeu, ou sur un coup d'éclat, un ballon piqué sur Palop (43e).

A la pause, les jeux étaient déjà faits. La seconde période a donc été relativement tranquille jusqu'au coup de grâce final de Messi. Le public du Nou Camp aura toutefois pu assister à la première de David Villa sous le maillot blaugrana. Arrivé cet été de Valence, l'attaquant entrait à la 57e minute. Il avait toutefois le temps de se mettre en évidence sur plusieurs actions. Il fallait une bonne intervention de Palop pour l'empêcher de célébrer cette première par un premier but (77e). A une semaine de la reprise, ce Barça semble déjà suffisamment armé pour faire à nouveau des ravages cette saison.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/21082010/70/supercoupe-d-espagne-messi-est-renversant.html

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samedi 21 août 2010

L1 : Après deux défaites, Bordeaux sous la pression de Tavernost

Nicolas de Tavernost, président du directoire de M6 et propriétaire des Girondins de Bordeaux, a mis la pression sur son club avant le déplacement de dimanche au Paris Saint-Germain. 'La victoire est impérative' après deux défaites consécutives et un classement actuel à la dix-neuvième place, prévient-il dans un entretien au quotidien régional Sud-Ouest.
'Pour l'entraîneur précédent [Laurent Blanc] comme pour les joueurs, les préoccupations personnelles ont trop souvent pris le pas sur les objectifs collectifs', déplore Nicolas de Tavernost. 'L'ambiance à Bordeaux est agréable, les joueurs ont vu pour l'essentiel leurs contrats renouvelés, ils doivent maintenant se remobiliser autour de Jean Tigana', ajoute-t-il.

Nicolas de Tavernost souligne également que l'objectif cette saison est une qualification pour la Ligue des champions. 'C'est vital. Le club a gardé un effectif de Champions League et des charges de joueurs de Champions League. Sinon, il y aura des décisions difficiles à prendre pour le club car M6 n'a pas vocation à être mécène', indique-t-il, confirmant par ailleurs un déficit prévisionnel 'de l'ordre de 15 millions d'euros'.

Champions de France en 2009, les Bordelais ont terminé la saison dernière à la sixième place de Ligue 1 sans la moindre qualification pour une compétition européenne. Parmi les joueurs de premier plan approchés par les grands clubs européens, seul l'attaquant international marocain Marouane Chamakh est parti pour Arsenal (Premier League). Le milieu défensif Alou Diarra, priorité un temps du recrutement marseillais, et Yoann Gourcuff, suivi de près par Lyon, devraient rester en Gironde cette saison.


http://www.lemonde.fr/sport/article/2010/08/20/l1-apres-deux-defaites-bordeaux-sous-la-pression-de-tavernost_1401177_3242.html#xtor=AL-32280184

vendredi 20 août 2010

Kombouaré conforté

J'aurais signé pour un 1-0"... A l'issue du match aller des barrages de l'Europa Ligue face au Maccabi Tel-Aviv (2-0), Antoine Kombouaré, l'entraineur du PSG, ne tarissait pas d'éloges pour ses hommes et mettait en évidence la profondeur de son banc.
2-0... Souvent le score idéal en match aller en Coupe d'Europe. A l'issue de la première sortie de ses troupes sur la scène continentale, Antoine Kombouaré, l'entraineur parisien, ne pouvait cacher sa satisfaction, conscient d'avoir pris une légère option sur la qualification pour les phases de poules. "J'aurais signé pour un 1-0 alors c'est un bon résultat. Il ne fallait pas prendre de but. Même si rien n'est acquis, cela nous met dans une situation très favorable pour le match retour", n'a ainsi pu cacher l'entraineur parisien à l'issue du match aller face au Maccabi Tel-Aviv.

Double satisfaction pour le coach francilien. En plus d'un score favorable, Antoine Kombouaré a pu se rendre compte que cette année, il avait peut-être à sa disposition un effectif suffisamment étoffé pour jouer sur tous les tableaux. Malgré la mise au repos de nombreux titulaires, 8 changements par rapport à la dernière journée de Ligue 1, le PSG a fait une très bonne impression tant techniquement que dans l'état d'esprit. "Pour ceux qui ne jouent pas souvent, ce n'était pas évident. La défense jouait ensemble pour la première fois. C'était un pari", a-t-il insisté en conférence d'après match, mettant en exergue l'homogénéité de son groupe. "Pour moi, ces joueurs ne sont pas des remplaçants. Ils ont répondu présent, ils ont fait le boulot. Ça me conforte dans mes choix".

"On est optimiste" du côté de Tel-Aviv

"Dans une semaine, il faudra finir le travail"... Malgré un avantage conséquent, une cage préservée, le capitaine du navire parisien appelle à la vigilance d'autant plus que le Maccabi Tel-Aviv ne donne pas l'impression de vouloir rendre les armes sans combattre. "On est optimiste", se permet même Avi Nimn, le manager général du club, déçu que sa formation n'ait pas su se montrer plus efficace : "A l'extérieur, quand on a des occasions, il faut en marquer au moins une. En seconde période, on a eu quelques occasions mais on n'a pas pu les exploiter". Pas de quoi se présenter en victime expiatoire au match retour. "On ne baisse pas les bras et on attend le match retour. C'est un résultat difficile mais on garde espoir", prévient le manager général du club israélien.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/20082010/70/ligue-europa-kombouare-conforte.html

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L’OM relance Kevin Gameiro !

Loïc Remy ayant signé pour cinq ans, l’OM va pouvoir désormais se pencher sur le cas de sa future deuxième recrue offensive. Si Gignac est toujours la piste prioritaire pour le club olympien, Dassier se penche sur d’autres cas et notamment sur celui du Lorientais, Kevin Gameiro, cible de longue date de Marseille. L’Equipe.fr révèle cet après-midi que les dirigeants marseillais ont repris contact avec Lorient au sujet du deuxième meilleur buteur de L1 la saison passée derrière Mamadou Niang.

Joint au téléphone, l’attaquant des Merlus s’est montré très enthousiaste quant à l’intérêt de l’OM à son égard, mais n’a pas souhaité confirmer les contacts. « Marseille c’est Marseille. C’est un des plus grands clubs français, le dernier Champion de France, c’est Marseille quoi (rires). Ce serait très difficile, c’est sûr, de refuser une offre marseillaise. Ça ne se refuse pas ! La date butoir c’est le 31 août, on verra bien ce qui va se passer d’ici là. Tout le monde connaît ma position, je préfère m’exprimer sur le terrain qu’en dehors. »

Estimé à 15 M€ par Lorient, Gameiro est encore très loin de l’OM. En effet, les dirigeants bretons ne feront aucun cadeau au champion de France et devraient se montrer aussi inflexibles que le président de Toulouse. Au cœur des tractations, Lorient peut se réjouir, si Gignac (clause de revente de 20 % sur le transfert) ou Gameiro venaient à rejoindre Marseille, c’est un gros chèque qui attendrait le club entrainé par Christian Gourcuff. La prochaine rencontre de L1 oppose justement Marseille à Lorient. Un match qui devrait être autant animé sur le terrain qu’en coulisse.
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/l-om-relance-kevin-gameiro_54085

dimanche 15 août 2010

Le match du jour : Caen Lyon



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Murray bat Nadal et va en finale contre Federer à Toronto

L'Ecossais Andy Murray, N.4 mondial, s'est qualifié pour la finale du tournoi de Toronto, dont il est tenant du titre, en battant nettement l'Espagnol Rafael Nadal (N.1), sur le score de 6-3, 6-4.

Il joue dimanche en finale contre le Suisse Roger Federer (N.3) dans l'espoir de devenir le premier joueur depuis Andre Agassi en 1994 et 1995 à s'imposer deux fois de suite dans le tournoi canadien, qui a vu cette année les quatre premiers au classement ATP s'affronter dans le dernier carré.

Federer a disposé de Novak Djokovic (N.2) 6-1, 3-6, 7-5 en près de 2h 30 min et grâce à cette victoire chipera au Serbe la place de N.2 mondial dès la publication du prochain classement ATP, lundi.

La finale Federer-Murray sera une revanche de celle de l'Open d'Australie, qui est pour l'heure le seul titre gagné par Federer en 2010.

L'Ecossais présente la rare particularité de compter plus de victoires (6) que de défaites (5) face au Suisse, 16 fois vainqueur en grand Chelem.

Nadal et Lui et se retrouvaient pour la troisième fois cette saison après la victoire du Britannique en quarts de finale à l'Open d'Australie (sur abandon) et celle de l'Espagnol en demi-finales de Wimbledon.

La victoire de Murray, toujours sans titre cette saison, lui permet de refaire un peu son retard dans ses face-à-face contre Nadal, qui ne mène plus que 8-4.

Très solide, Murray a nettement dominé le match, Nadal ne paraissant jamais en mesure de lui contester la victoire. L'Ecossais a ainsi marqué 14 des 19 derniers points de la première manche.

En seconde manche, il perdait rapidement le break conquis à 1-1, mais prenait à nouveau le service de Nadal à 4-4. Il concluait sans trembler après une heure et 45 minutes de jeu.
http://www.lepoint.fr/sport/tennis-murray-bat-nadal-et-va-en-finale-contre-federer-a-toronto-15-08-2010-1225294_26.php

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samedi 14 août 2010

Top 14: Perpignan se venge de Clermont, Toulon chute à Mayol

Perpignan, finaliste le 29 mai, a battu (21-13) le champion de France, Clermont, vendredi lors de la 1re journée du Top 14 de rugby marquée par la défaite surprise de Toulon à domicile contre Bayonne et les probantes victoires du Stade Toulousain et du Stade Français.

Le Racing-Métro, de son côté, a signé un premier succès à l'extérieur sur la pelouse de Brive (23-18), notamment grâce à un essai en tout début de partie de l'ouvreur Jonathan Wisniewski.

Biarritz n'a pas manqué non plus son départ avec un premier succès à domicile contre Montpellier (30-22), pour le retour dans le Top 14 de l'ex-entraîneur du Stade Français Fabien Galthié, désormais sur le banc héraultais.

Perpignan avait écarté toute idée de revanche mais tenait à entamer sa saison par une victoire contre Clermont, tenant du titre battu dès la première journée, comme Toulouse en 2008.

Les Catalans se sont imposés grâce à quatre pénalités de Jérôme Porical et deux drops de David Mélé, aligné à l'ouverture. Le deuxième ligne Guillaume Vilaceca a de son côté reçu la première exclusion définitive de la saison pour avoir piétiné un adversaire, le deuxième ligne clermontois Thibault Privat.

Le Stade Français et le Stade Toulousain ont pris la tête du classement grâce à leur larges victoires contre Agen (44-24) et Bourgoin (43-12).

Attendu au tournant après une saison 2009/2010 achevée à la huitième place, le Stade Français s'est illustré pour les débuts de son nouveau directeur sportif Michael Cheika en inscrivant cinq essais, dans un stade Charléty sonnant creux.

Le Stade Toulousain, lui, n'a fait qu'une bouchée d'Agen, le champion de Pro D2 qui a connu l'enfer au stade Ernest-Wallon en encaissant six essais, dont un doublé de Maxime Médard, contre trois inscrits.

Annoncé comme un des favoris de l'épreuve, Toulon a en revanche chuté à domicile contre Bayonne (22-26), auteur de la surprise de cette première journée avec un doublé de Yoann Huguet et 10 points de leur nouvel ouvreur, l'ex-Berjallien Benjamin Boyet. Les Toulonnais n'avaient plus connu la défaite à domicile en Top 14 depuis le 14 mars 2009.

Castres ouvre sa saison samedi soir chez le second promu, La Rochelle.

Résultats de la 1ère journée du Championnat de France Top 14 de rugby:

vendredi

Stade Toulousain - Agen 44 - 24

Brive - Racing-Métro 18 - 23

Biarritz - Montpellier 30 - 22

Toulon - Bayonne 22 - 26

Stade Français - Bourgoin 43 - 12

Perpignan - Clermont 21 - 13

Samedi:

(20h45) La Rochelle - Castres
http://www.lepoint.fr/sport/top-14-perpignan-se-venge-de-clermont-toulon-chute-a-mayol-14-08-2010-1225138_26.php

vendredi 13 août 2010

Matche amical - Plus que positif

La première sortie de l'équipe de France version Laurent Blanc vous a plu. La défaite concédée en Norvège (2-1) est plutôt anecdotique. Selon vous, l'essentiel était ailleurs et les Bleus ont bien commencé leur opération rédemption. Vous avez envie de revoir cette équipe et certains mutins.
Laurent Blanc le sait mieux que quiconque. Toutes ses défaites à la tête des Bleus ne seront pas aussi bien accueillies que celle concédée mercredi à Oslo face à la Norvège (2-1). Mais le sélectionneur des Bleus a insufflé quelque chose de nouveau. Un souffle dont ces Tricolores avaient bien besoin après les événements de Knysna. Avec une formation 100% renouvelée, Laurent Blanc a réussi sa première selon vous. Notamment Dolphivir qui juge que "pour deux heures d'entrainement collectif et beaucoup de nouveaux sélectionnés, le résultat n'est pas bon sur le papier mais la manière est encourageante. Je pense que l'état d'esprit était là."

Thomas Grandremy est encore plus positif : "Depuis la fin de la Coupe du monde 2006 et le départ définitif de Zidane, l'équipe de France était plate, sans intérêt, sa vitesse d'antan avait disparu, et les offensives fulgurantes se sont transformées en jeu à sept, constitué de passes interminables devant la défense adverse sans aucune créativité... Lors de Norvège-France, certes l'équipe était jeune et fougueuse, et s'avèrera sûrement différente de celle que l'on aura prochainement lors du retour des 23, mais au moins elle m'a de nouveau fait vibrer devant ma télé." Beaucoup d'entre vous ont été séduit par la prestation d'un nouveau, Guillaume Hoarau. L'attaquant du PSG n'a pas marqué mais, pour Geremy Freire, a "réalisé une bonne prestation". Même crédit pour Yann M'Vila qui, selon cet internaute, "a fait preuve de beaucoup de sang froid et de maturité pour son premier match".

Quelques grévistes en plus et ce sera bon

Nassim Beneddra est un peu plus mesuré, en raison de la seconde période des Bleus. Celle où la bande de Blanc a ouvert le score... mais pris deux buts : "La puissance physique des Norvégiens a empêché les Bleus d'ajuster les passes et de prendre le dessus dans l'entrejeu. Si quelques joueurs ont tiré leur épingle du jeu, comme Nasri et Ben Arfa, d'autres se sont montrés un peu timorés. Le retour de quelques cadres devraient permettre aux jeunes de se débarrasser de la pression et de se libérer."

Les cadres, justement, avez-vous envie de les revoir ? La réponse est oui. Mais pas tous. La majorité d'entre vous pense qu'il faut conserver une bonne partie des Bleus qui ont joué mercredi et ne pas leur couper les ailes après une première prometteuse. Cependant, l'apport de quelques Mondialistes devrait faire du bien. Robin Lefèvre juge "qu'il est grand temps que reviennent certains joueurs comme Diaby, Malouda ou Lloris." Laurent Blanc vous suivra-t-il ? Réponse le 26 août.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/13082010/70/matches-amicaux-plus-que-positif.html

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Top 14 - Clermont, un statut à assumer

C’est l’équipe à battre. Clermont est désormais dans le viseur de tous ses concurrents. Le club qui perd (dix échecs en finale) est devenu le 29 mai dernier celui qui gagne. Et ils sont nombreux à vouloir couper court au règne des Auvergnats. A commencer par Perpignan, ce soir, forcément revanchard après s’être incliné en finale (6-19) même si Jacques Brunel, le manager de l’équipe s’en défend : « Il n’y a pas de revanche. La finale est perdue, elle est finie, c’est terminé. On entame une autre saison, une autre histoire, un marathon que l’on doit bien démarrer, et que ce soit contre Clermont c’est tant mieux. » L’Usap, champion de France en 2009, n’a pas l’intention de laisser filer un premier succès. Il devrait aligner tous ses internationaux sur la feuille de match, d’autant qu’il lui faudra se passer de cinq joueurs, dont le talonneur international roumain Marius Tincu (entorse d’un genou).

Seulement deux recrues
Vern Cotter, le coach clermontois, préfère quant à lui laisser au repos ses internationaux, excepté son précieux demi-de-mêlée, Morgan Parra. Les deux seuls renforts néo-zélandais, le talonneur Ti’i Paulo et le troisième- ligne Lauaki, découvriront donc ce soir le Top 14. Le club du Puy-de-Dôme n’a en fait pas beaucoup recruté. Adepte de la continuité depuis plusieurs saisons, l’ASM n’a rien changé à son dispositif qui lui a permis de ramener le bouclier. L’entraîneur néo-zélandais Vern Cotter a prolongé son engagement jusqu’en 2012. Pour remplacer Joe Schmidt, parti aux commandes des Irlandais du Leinster, le club auvergnat s’est attaché les services de Franck Azéma, ex-entraîneur des lignes arrière de Perpignan.

La confiance a été logiquement renouvelée aux acteurs du titre, du capitaine Aurélien Rougerie à Morgan Parra, symbole du Clermont nouveau et décomplexé en passant par Napolioni Nalaga, trois quart aile, craint par tous. « Ce groupe a beaucoup de caractère et il faudra rapidement trouver la performance digne de notre nouveau statut. On sait ce que c’est de perdre la finale, on doit maintenant s’habituer à la gagner », a résumé l’entraîneur. La rencontre se jouera au stade Aimé-Giral à guichets fermés.
http://www.francesoir.fr/rugby/top-14-clermont-un-statut-assumer

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jeudi 12 août 2010

Le championnat d'Europe en live ici

C'est le jour de Bernard?

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Equipe de France...on attend la suite...

La qualité globale du jeu de la France en Norvège n'a échappé à personne, mais la défaite (2-1) n'est jamais une sanction hasardeuse dans le sport de haut niveau. Les Bleus ont passé leur temps à peser et soupeser le pour et le contre de leur prestation, à Oslo. Leurs réflexions... mitigées.

UN DEBUT DE QUELQUE CHOSE : "Le jeu m'a plu"


"On a eu beaucoup plus d'occasions et la possession de balle. Il y a plus de points positifs que négatifs" (Ben Arfa). "Il faut dépasser le score ce soir car j'ai vu des choses intéressantes" (Blanc). "La seule déception, c'est le résultat, il faudra s'en souvenir" (Nasri). Ce n'est pas forcément la tonalité dominante, mais elle est perceptible partout : dans l'absolu, les Bleus n'ont pas raté leur match à Oslo. Ils le savent. Leur prestation a, sur l'essentiel, été conforme aux promesses. Les Français ont joué, osé, tenté, quitte à s'exposer, mais au moins ont-ils pris le match en main. "Le jeu m'a plu, souligne Blanc. On a essayé d'en produire, de jouer à terre. Malheureusement quand on joue comme ça, la moindre erreur technique peut être défavorable." Et l'erreur technique s'est produite à la 71e minute sur ce contrôle manqué de L. Diarra. Malgré les deux buts encaissés, Blanc inclut la défense dans ses pensées positives. "Dans l'axe, on a bien maîtrisé les attaquants norvégiens. Il y a des enseignements positifs même sur le plan défensif."

LE POISON DE LA DÉFAITE : "C'est décourageant"


Il suffisait de regarder les mines déconfites au coup de sifflet final. Il suffit aussi d'écouter Laurent Blanc. "Il n'y a jamais de défaite encourageante. On se prépare pour gagner. Dans le contenu du match il y a des choses très intéressantes... mais il y a le résultat, et c'est décourageant." Le sélectionneur ne se contentera pas, à chaque fois, de se dire que l'équipe "aurait pu espérer mieux". Pas son genre. "Il y a beaucoup de choses positives mais dans le sport, le résultat gomme tout ça" regrette Nasri. Rami espère retenir "une leçon" de cette expérience. "On a pris deux buts qu'on aurait pu éviter..."

LA NORVEGE ? : "En meilleure forme"


L'équipe de France n'a pas ruiné toute seule ses chances de gagner. L'adversaire a formidablement utilisé ses points forts pour battre les Bleus pour la première fois depuis 1987. "L'équipe de Norvège était plus expérimentée et en meilleure forme physique" a estimé Blanc à l'issue de la rencontre. Pas brillante mais cohérente et accrocheuse, l'équipe d'Egil Olsen a été "chanceuse" selon l'évaluation de son propre sélectionneur. Elle a surtout été égale à elle-même en profitant d'un coup franc puis d'un contre. "Elle est dangereuse sur coup de pied arrêté, répète Blanc, c'est d'ailleurs le premier but qu'on prend. Il nous a manqué de la concentration dès qu'on a ouvert le score."

MIEUX EN 4-4-2 : "Il a posé plus de problèmes"


Même s'il faut se méfier du constat, car les deuxièmes mi-temps des matches amicaux sont toujours plus décousues, il fut assez net que l'équipe de France était plus à l'aise et équilibrée en 4-4-2, avant le repos, qu'en 4-2-3-1, après. "Dans les deux systèmes, on peut trouver des satisfactions, nuance Blanc, avant de reconnaître : Le deuxième système (4-2-3-1) a plus favorisé l'équipe de Norvège. Le premier en 4-4-2 leur a posé plus de problèmes". Le profil des joueurs est peut-être plus en cause que l'organisation. Nasri, meneur axial, est apparu en bonne forme tandis que Menez et Ben Arfa, après la pause, ont pas mal dézoné, quitte à occuper parfois la même zone axiale.

MISSION IMPOSSIBLE ? : "On y est presque arrivé..."


"C'était trop court." Face à l'ampleur du chantier, Laurent Blanc n'a pu s'empêcher de regretter la faible durée (trois jours) de son premier stage avec ses joueurs. L'échec, dans ces conditions, s'en serait pas un. "Il fallait mettre système et philosophie en place. Cela fait beaucoup en peu de temps. On y est presque arrivé." Après ce coup d'essai, Nasri pointe ce qui devra changer contre la Biélorissue le 3 septembre : "Il faudra plus de réalisme, plus d'agressivité et de présence dans la surface de réparation. Il faut plus de concentration et après, ça pourra le faire." Mexès : "C'est dans ces matches là qu'on prend de l'expérience". C'est que le projet tricolore n'est pas simple à apprivoiser. Hatem Ben Arfa le résume d'une jolie formule : "On a essayé de jouer collectif tout en s'exprimant individuellement." On attend la suite...

C. R. (Avec AFP) / Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/12082010/70/matches-amicaux-avec-un-enorme-mais.html

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mercredi 11 août 2010

Championnat d'Europe de natation en live ici

A suivre la journée de natation....encore des médailles françaises???
Cliquez sur ce lien


http://www.20minutes.fr/article/587979/Sport-Natation-la-troisieme-journee-des-championnats-d-Europe-a-suivre-en-live-comme-a-la-maison.php


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Vers un 4-4-2 en losange

L'équipe de France devrait se présenter dans un 4-4-2 en losange avec Samir Nasri en meneur de jeu mercredi face à la Norvège. C'est en tout cas ce que laisse suggérer le dernier entraînement des Bleus effectué sur la pelouse de l'Ullevaal Stadium. Initialement, seul le premier quart d'heure était ouvert à la presse. Laurent Blanc a finalement permis aux médias d'assister à l'intégralité de la séance. Si le souci d'une équipe moins repliée sur elle-même qu'elle ne l'a été ces dernières années a sans doute pesé, cette séance ouverte n'est pas un fait inédit. A ses débuts, Raymond Domenech avait également procédé ainsi. Il arrivait même à l'ancien sélectionneur des Bleus de donner son équipe de départ la veille du match.


Rami-Mexès, la charnière titulaire
De ce que l'on a vu, Norvège-France devrait offrir à au moins six novices leur première titularisation -en même temps que leur première cape- en équipe de France. Ruffier, Rami, Cissokho, M'Vila, N'Zogbia et Hoarau sont pressentis pour débuter aux côtés des (à peine) plus expérimentés Fanni, Mexès, Sissoko, Nasri et Rémy. Dans l'éventualité où ce onze de départ venait à se confirmer, il marquerait la volonté du sélectionneur de s'appuyer majoritairement sur des joueurs ayant déjà repris la compétition. Sur les onze probable, huit évoluent en L1. Par rapport à la séance de la veille, Blanc a effectué trois changements Lassana Diarra, Hatem Ben Arfa et Karim Benzema ont cédé leur place à Sissoko, N'Zogbia et Rémy.

Au rayon des certitudes : Blanc mise indéniablement sur la charnière Rami-Mexès. Lors des deux séances effectuées lundi et mardi, les défenseurs du LOSC et de la Roma n'ont jamais quitté l'équipe dite des titulaires. En conférence de presse, l'ancien entraîneur des Girondins a réaffirmé que la défense était le secteur «à bâtir» en priorité. «C'est pour ça que les changements que j'effectuerai en cours de match concerneront surtout le milieu et l'attaque». Dans l'idéal, Blanc aimerait profiter de ce premier match amical pour tester les deux systèmes de jeu mis en place du temps où il entraînait Bordeaux : le 4-4-2 en losange et le 4-2-3-1. «Après, tout dépendra du déroulé du match».
http://www.lequipe.fr/Football/breves2010/20100810_192723_vers-un-4-4-2-en-losange.html

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mardi 10 août 2010

Championnats d'europe en live ici

17h16: Enorme Lacourt!!!!! 52'11, nouveau record d'Europe, sans la combinaison s'il vous plaît. Le beau gosse de Marseille est sur le toit de l'Europe. Stravius prend l'argent tranquille. Doublé français sur le 100 m dos
Suivez la journée des championnats d'Europe en direct en cliquant sur ce lien
à partir de 17h00


http://www.20minutes.fr/article/587851/Sport-Championnat-d-Europe-la-deuxieme-journee-a-suivre-en-live-comme-dans-la-piscine.php



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Ch. d'Europe Budapest - La naissance d'un grand

Annoncé comme la nouvelle étoile de la natation tricolore, Yannick Agnel n'a pas déçu lundi à Budapest. Sacré champion d'Europe du 400m libre devant Biedermann avec une incroyable autorité, il a ensuite conquis l'argent lors du relais. A 18 ans, c'est bien un phénomène que tient l'équipe de France.
De l'or dans une main, de l'argent dans l'autre. Yannick Agnel est le grand bonhomme de cette première journée des Championnats d'Europe 2010. Budapest restera sans doute comme le théâtre de la naissance d'un grand champion. Certes, le Niçois était annoncé. Son talent naturel, sa progression fulgurante, ses cinq médailles au dernier Euro juniors... Tout indiquait son avènement. N'empêche. Sa victoire sur le 400m nage libre, lundi, à l'issue duquel il a maté Paul Biedermann en personne, a marqué les esprits.

En Yannick Agnel, la natation française tient incontestablement un phénomène. C'est un talent à la Manaudou. Un joyau comme on en voit rarement à ce niveau. Un incroyable talent, doublé d'une forme d'insouciance qui tient autant à sa personnalité qu'à son âge. Il a accueilli sa victoire avec un naturel désarmant. On lui parle d'exploit, on sort les superlatifs, mais lui reste calme. "Je savais que gagner était une possibilité après mon titre à Helsinki, mais je n'avais aucune pression", explique-t-il. Avec lui, tout parait simple. A ses côtés nageait quand même le champion du monde en titre et détenteur du record du monde. Oui, et alors? "Franchement, je n'ai aucun complexe. J'ai beaucoup de respect pour Biedermannn comme pour tous les autres, mais je vais faire ma course, sans m'occuper de personne", avait-il lancé après les séries du matin.

Détermination, décontraction, insouciance

Facile à dire, sauf qu'Agnel a transformé ses paroles en actes lors de la finale. Sans s'occuper des autres, il a nagé devant. Comme s'il était seul. "Comme je savais qu'il fallait passer vite au 200 m, j'ai pris comme base, le 200 m d'Helsinki (NDLR: lors des Championnats d'Europe juniors en juillet), confie l'Azuréen. Et après j'ai voulu vivre ma course. Je n'ai regardé personne. De toute façon, j'avais les côtés des lunettes usés et de la buée (il sourit). Il y a juste dans les derniers mètres que j'ai jeté un coup d'oeil furtif. Mais globalement, j'ai fait la course pour moi. J'ai juste pris du plaisir à vivre ça."

Décidément, tout est simple avec lui... Après un tel triomphe, il a accueilli l'argent du relais comme une cerise sur son gros gâteau. Déception collective, peut-être, mais à titre individuel, c'est un bonheur supplémentaire. "Il faut aussi arrêter d'être pessimiste, peste-t-il quand on parle d'échec pour le relais. On peut aussi se réjouir d'obtenir l'argent. Fabien et Alain étaient déçus, c'est sûr. Ca m'a chagriné pour eux. Mais pour nous (Meynard et Agnel) c'est la première médaille de ce genre. Il ne faut pas non plus faire tout un flan de ce résultat." Même dans la défaite, il apparait dans le clan des vainqueurs.

Détermination, décontraction, insouciance

Cette heure et demie, entre le 400 et le 4x100, a changé son statut. De grand espoir, il est devenu grand champion. Dans quelques années, quand il se penchera sur sa carrière, Agnel n'en reviendra pas en pensant à 2010. Une année folle pour lui. Premier nageur à battre un record de France en avril, sur 200m libre, depuis la suppression des combinaisons. Deux mois plus tard, il se paye le luxe de battre Michael Phelps sur cette distance. Puis 5 titres à l'Euro juniors et, enfin, la consécration chez les grands à Budapest. Il ne faut pas tout à fait être un champion comme les autres pour réussir un truc pareil. Surtout quand, dans le même temps, il s'est entraîné moitié moins que ses concurrents pour préparer son Bac, qu'il a brillamment obtenu, avec mention bien s'il vous plait. "Oui, on peut dire que cette année est assez riche en émotions et en événements", sourit l'intéressé.

Et dire qu'à Budapest, il ne s'alignera même pas sur sa distance de prédilection, le 200m, pour n'avoir pas rempli les critères de sélection. Le 200m, la course de ses rêves, celle de ses idoles d'enfance, Van den Hoogenband et Thorpe. Celle où il se verrait bien écrire ses plus belles pages à l'avenir. Mais attention. Le temps de l'innocence ne durera pas éternellement. Le plus dur est sans doute à venir. Est-il à l'abri d'une trajectoire à la Laure Manaudou, montée si vite au firmament mais qui n'a pu (ou su) durer aussi longtemps qu'on l'imaginait? Fabrice Pellerin, son entraîneur, le croit. "C'est un mélange de détermination, de décontraction, et d'insouciance, dit-il à propos de son poulain. Il est capable de bosser comme un dingue tout en chantant à l'entraînement." Chaque destin est singulier. Chaque champion est différent. Mais une chose est sûre. Yannick Agnel, lui, est unique.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/09082010/70/ch-d-europe-budapest-la-naissance-d-un-grand.html

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lundi 9 août 2010

Championnats d'europe en live ici


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Natation - Agnel, un joyau taillé pour gagner

La natation française a de la chance, à moins qu’elle ne dispose d’un talent unique pour révéler des nageurs de classe mondiale. Car après Laure Manaudou et Alain Bernard, un nouveau phénomène est sur le point d’éclore. Alors, bien sûr, rien n’est acquis, mais l’équipe de France tient peut-être en Yannick Agnel, jeune homme longiligne et passionné de science-fiction, un nageur digne de ses illustres aînés.

Le Nîmois d’origine s’est d’abord fait connaître par son franc-parler. En avril 2009, lors des Championnats de France à Montpellier marqués par la polémique des combinaisons, l’élève de Fabrice Pellerin à l’Olympic Nice Natation crève l’écran en s’alignant en maillot de bain. Du haut de ses 16 ans, il justifie son choix de ne pas revêtir de seconde peau en polyuréthane avec la maturité d’un taulier. « On parle plus des combis que des nageurs. Pourtant, il faut voir comme on s’entraîne dur. La nouvelle génération de combinaison a faussé la donne. » Des mots forts, réfléchis, qui scellent dans le marbre le caractère de cette étoile montante.

A Budapest pour apprendre
Le grand blond a la tête sur les épaules, mais c’est aussi un joyau brut. « Il a du talent, confirme Alain Bernard, mais il est jeune, il faut le laisser mûrir et grandir. » Surtout, ne vous fiez pas à son air dégingandé. Dans l’eau, le Niçois est un redoutable prédateur. Aux derniers Championnats de France à Saint-Raphaël (13-18 avril), Agnel a fait étalage de son potentiel en s’adjugeant le 200 m nage libre. Une victoire agrémentée d’une référence nationale (1’46’’35), sa première et la seule de la compétition, et d’une médaille d’argent sur 400 m nage libre, qu’il disputera aux Championnats d’Europe à Budapest. Pour beaucoup, le Sudiste dispose des armes nécessaires pour titiller le favori allemand, Paul Biedermann. « On verra », tempère son coach Fabrice Pellerin. « Yannick est jeune, il découvre l’équipe de France. Il est là pour apprendre, même si cela ne doit pas l’empêcher de donner le meilleur de lui-même. »

Pour cela, pas d’inquiétude. Le Niçois ne goûte que modérément aux deuxièmes places. « Yannick n’est pas du genre à trouver dans les médailles d’argent la consolation d’une médaille d’or », abonde Fabrice Pellerin. A l’Open EDF de Paris (26-27 juin), trois semaines après avoir décroché son baccalauréat, le Français a démontré son insatiable appétit en devançant l’Américain Michael Phelps sur 200 m nage libre. « Phelps est un extraterrestre de la natation. Il réussit tout ce qu’il touche. Sur 200 m, j’ai bien conscience qu’il n’était pas affûté à son maximum. Normalement, il nage quatre secondes de moins. » Mûr, on vous disait, mais aussi lucide et humble.

Insensible à la pression
La révélation tricolore aurait pu se monter la tête, tirer des plans sur la comète ou se la raconter. Pas le genre de la maison. « Son éducation est à saluer, renchérit son entraîneur. Yannick est un nageur exigeant. Il sait précisément ce qui est de nature à le contenter. » Pas question donc de fanfaronner. Pas question non plus de brûler les étapes. « J’ai besoin de progresser à mon rythme », acquiesce l’espoir français. « Aller trop vite n’est pas forcément une bonne chose. A chaque étape il y a des repères à prendre qui seront déterminants pour la suite. » Pas étonnant donc de l’avoir vu s’envoler début juillet pour les Championnats d’Europe juniors à Helsinki. Une dernière sortie en juniors couronnée de succès. Avec cinq titres européens, dont trois en individuel, l’Azuréen a égalé le Néerlandais Pieter Van Den Hoogenband et préparé idéalement les Euro seniors à Budapest.

Rares sont les jeunes athlètes à faire l’unanimité à ce point. A l’instar d’un Christophe Lemaitre en athlétisme, Agnel séduit et convainc à chacune de ses courses. « Et il n’a pas fini de progresser », promet Alain Bernard. Car s’il culmine à 2 mètres, le Niçois manque encore de caisse – il ne pèse que 80 kg. Sous la houlette de son entraîneur, il a bien débuté la musculation cette saison, mais avec parcimonie. Quant à la pression, elle ne semble pas l’atteindre. « Je ne m’occupe pas trop de ce que les gens disent. A chaque course, j’y vais à fond », souligne le jeune homme. Et pour l’heure, il s’agit certainement de la meilleure méthode pour s’imposer !
http://www.francesoir.fr/natation/natation-agnel-un-joyau-taille-pour-gagner

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dimanche 8 août 2010

Caen s'offre le champion

Joueur et réaliste, le promu bas-normand a surpris l'OM en signant un succès mérité samedi soir, au Vélodrome (2-1), lors de la première journée de Ligue 1. Le champion de France en titre tombe de haut. Et Didier Deschamps a encore beaucoup de pain sur la planche.
MARSEILLE - CAEN : 1-2


Buts : Samassa (77e) pour Marseille, Seube (52e) et El Arabi (85e) pour Caen

Franck Dumas parle "d'un exploit". Les mots de l'entraîneur caennais sont pesés. Ils illustrent parfaitement la prestation bas-normande. On ne gagne pas tous les jours à Marseille. Cela faisait cinq ans que le Stade Malherbe n'en était plus reparti avec trois points dans ses bagages. A vrai dire, sa troisième victoire en onze déplacements sur la Canebière ne souffre d'aucune contestation. Sur ce qu'il a montré samedi soir, le champion de France de Ligue 2 était assez nettement supérieur à celui qui a régné sur la Ligue 1 l'an passé. Amoindri par sept absences, le groupe de seize joueurs emmené par Franck Dumas avait de quoi appréhender son périple sur la Canebière. Au lieu de jouer la peur au ventre, Caen a joué.

Exploitant à merveille les failles d'une défense marseillaise orpheline de Souleymane Diawara et de Gabriel Heinze. Voilà le premier enseignement pour Didier Deschamps : sans son Sénégalais et son Argentin, l'arrière-garde olympienne ouvre des boulevards béants. Une faille aux allures d'aubaine pour la vitesse de Yohan Mollo. L'ancien Monégasque a donné une première sueur froide au Vélodrome en trouvant le poteau droit dans un angle fermé (25e). Nicolas Seube s'est chargé de doucher le public phocéen, d'un tir croisé qui a filé entre les gants d'un Steve Mandanda loin d'être impérial (0-1, 52e). Totalement oublié par Cesar Azpilicueta, Youssef El Arabi n'a eu qu'à piquer sa tête pour la glisser entre les jambes du gardien phocéen. Et sceller la première défaite olympienne au Vélodrome en 2010 (1-2, 87e).

Niang s'est perdu dans l'axe

Dans son expression collective, cet OM 2010-2011 fut pour le moins hésitant. Les quinze premières minutes, frappées du sceau de la maîtrise marseillaise, n'étaient qu'un quart d'heure en trompe-l'œil. La suspension de Brandao avait repositionné Mamadou Niang dans l'axe. Brassard autour du bras, l'attaquant sénégalais s'est noyé dans un océan d'imprécisions. Faut-il y voir un lien de cause à effet avec la fermeté affichée juste avant le coup d'envoi par son président, qui a refermé à double-tour les portes d'un départ vers Fenerbahçe ? Les entrées simultanées d'Hatem Ben Arfa et de Mahamadou Samassa (56e) ont eu un mérite : celui de redonner du peps à une attaque qui en manquait cruellement. C'est grâce à un service du premier - et à une position de hors-jeu - que le second a arraché l'égalisation (1-1, 77e). A l'issue de la rencontre, Didier Deschamps a réaffirmé son besoin de renforts. L'entraîneur marseillais a aussi relevé le manque de percussion et de vitesse de son équipe. Et dire que dans quelques jours, Ben Arfa aura sans doute posé ses valises à Newcastle.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/07082010/70/ligue-1-caen-s-offre-le-champion.html

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samedi 7 août 2010

L'Olympique de Marseille, le défi de l'an II

La moisson de titres de la saison dernière a placé la barre très haut pour Marseille et son entraîneur Didier Deschamps, toujours dans l'attente de ragaillardir un effectif jugé trop court pour enfin passer un tour en Ligue des champions et contraint de composer avec les velléités de départ de son buteur Mamadou Niang. Champion de France, vainqueur de la coupe de la Ligue et du Trophée des champions: après 18 ans de disette nationale, l'OM a tapé fort pour la première saison de Deschamps comme coach.

Le recrutement prestigieux opéré à l'été 2009 y était pour beaucoup. Des abandons de créances décidées avant son décès par l'actionnaire Robert Louis-Dreyfus avaient il est vrai facilité la tâche, dans un contexte interne à l'époque aussi déstabilisé que déstabilisant. Véritable patron du sportif aux prérogatives largement adoubées par le nouveau président Jean-Claude Dassier, Deschamps avait su exploiter au mieux cette marge de manoeuvre, attirant au Vélodrome des hommes qui s'avéraient vraiment décisifs (Lucho, Mbia, Heinze, Diawara).

Les dirigeants marseillais sont conscients des attentes nées de cette saison de tous les succès. Ils ont encore en tête les images de liesse populaire qu'ils ont provoquées. Leur objectif demeure identique : conserver le titre, à tout le moins se qualifier de nouveau pour la Ligue des champions, et enfin passer un tour de cette épreuve. Depuis trois ans, le club échoue en effet là où Lyon ou Bordeaux ont réussi.

Deschamps qui a renforcé son influence avec l'arrivée de son préparateur physique fétiche Antonio Pintus, a identifié de longue date les besoins pour relever le gant: un attaquant de niveau international pour vraiment franchir le cap offensif sur lequel l'équipe a constamment buté à ce niveau-là, et un milieu défensif puissant pour prendre le relais d'Edouard Cissé.

Départs annoncés

A trois jours de la reprise, aucun de ses voeux n'a pourtant été exaucé. C'est que la donne financière a sensiblement changé: la directive du conseil de surveillance de baisser de 10 à 15 % une masse salariale d'environ 65 M EUR limite en effet le champ des possibles. Surtout que, si coup de pouce de l'actionnaire il y a, ce sera cette fois sans abandon de créances...

Crise financière oblige, l'atonie générale du marché, français comme européen, retarde aussi les ventes de joueurs, impératives pour lancer ce mercato. Concilier réalité financière pressante et ambition sportive contraint Deschamps à la patience et à la raison. D'autant que le départ annoncé de Ben Arfa, las de ronger son frein sur le banc, après celui de Koné dépeuple un peu plus son rayon attaquants, et que Niang, pourtant 3e salaire de l'équipe et meilleur buteur du championnat en 2009-2010 (18 réalisations), est bien décidé à rejoindre Fenerbahçe...

En attendant l'arrivée de sang neuf, Deschamps peut néanmoins s'appuyer sur "l'ossature" de la saison dernière, en particulier sur la solidité défensive qui semble avoir survécu à l'été malgré la blessure de Diawara. Il pourrait, par la force des choses, mais pas contre l'air du temps, donner un peu de temps de jeu aux jeunes comme les frères Ayew ou N'Diaye "car doubler les postes avec des joueurs de même valeur sera impossible".
http://www.lepoint.fr/societe/ligue-1-le-duel-marseille-lyon-est-lance-06-08-2010-1222886_23.php

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vendredi 6 août 2010

Mondial-2010 de basket: Boris Diaw fidèle au poste

Alors que la plupart des sélections, dont l'équipe de France, croulent sous les forfaits cet été, Boris Diaw reste fidèle aux Bleus dans l'optique du Mondial-2010 de basket en Turquie.

Capitaine et "jeune ancien" d'un groupe considérablement rajeuni, le joueur de Charlotte entame sa huitième campagne sous le maillot national, content d'être là, ne s'imaginant pas ailleurs. Pourtant ni Tony Parker ni Ronny Turiaf, ses copains de toujours, ont répondu à l'appel cette année, préférant se reposer pour mieux rebondir l'été prochain.

Cela ne semble guère émouvoir Diaw qui, sans bruit, continue à incarner l'amour du maillot. "Plein de joueurs ne viennent pas? On fera avec", souligne-t-il, refusant d'alimenter la polémique, alors que Joakim Noah semble à son tour avoir définitivement renoncé à rejoindre les Bleus.

Plutôt que de crier sur les toits, Diaw préfère donner l'exemple, même s'il n'est pas forcément suivi. "C'est notre capitaine et il porte magnifiquement l'étendard", dit de lui le sélectionneur Vincent Collet qui utilisera son "couteau suisse" aux postes d'ailier et d'ailier-fort lors de cette campagne.

"Pour moi c'est important un Mondial, c'est prestigieux, explique Diaw. Si on est champions du monde, vous verrez que tout le monde sera content." En réalité, il sait bien que ce sera difficile de viser aussi haut. "Ne pas déjouer, ne pas faire de contre-performance", sera une nouvelle fois son unique objectif. Pour les vibrantes déclarations d'intentions, il faudra repasser. Jovial mais prudent, Diaw ne changera plus, surtout à son âge.

"Je suis un vieux maintenant dans l'équipe, le deuxième ancien après Flo (Pietrus) le doyen", constate le joueur de 28 ans. Tellement vieux qu'il est aujourd'hui président - "appelez-moi président-maréchal" - du club de Bordeaux, qui tentera de remonter en ProB, la deuxième division, la saison prochaine.

"Ca change un petit peu mais je ne suis pas non plus ancien ancien. Quand moi je suis arrivé en équipe de France, les anciens étaient bien plus vieux", s'empresse-t-il de rectifier, tout en s'amusant des quelques cheveux blancs qui commencent à pousser sur sa tête.

Hors de question de jouer au vieux sage. Tout juste s'il "essaie d'apporter un peu de (s)on expérience". Pour le reste, Boris Diaw est "en place tranquillement" à la veille de sa 110e sélection, samedi face à la Tunisie.
http://www.lepoint.fr/sport/mondial-2010-de-basket-boris-diaw-fidele-au-poste-06-08-2010-1222830_26.php

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Le point sur les transferts du jour

Dans les infos transferts du jour, Gilardino ou Suarez seraient les deux avant-centres ciblés par Didier Deschamps pour venir renforcer l'attaque marseillaise. A Nice, Loïc Rémy est revenu de Stoke City sans avoir signé.
OM : GILARDINO OU SUAREZ ?

Après l'annonce de Didier Deschamps de l'arrivée d'un attaquant de gros calibre en fin de semaine, beaucoup de noms circulent autour de l'OM. Selon La Provence, Alberto Gilardino serait le mieux placé pour venir à Marseille. Ce dossier serait étudié de très près par les dirigeants. Autre piste sérieuse : celle menant à l'Uruguayen Luis Suarez. Selon nos informations, Deschamps aime particulièrement le profil de l'attaquant de l'Ajax d'Amsterdam.

REMY N'A PAS SIGNE A STOKE

Après avoir visité les installations de Stoke City, jeudi, l'attaquant Loïc Rémy était de retour à Nice dans la soirée. Selon L'Equipe, le joueur n'avait pas l'intention de s'engager et pourrait finalement se rabattre sur la Ligue 1 où Rennes le suit toujours. En cas de départ de Mamadou Niang, l'international ne serait pas non plus contre un mouvement du côté de Marseille.

MANCHESTER CITY VEUT GARDER ADEBAYOR

Manchester City a démenti les rumeurs envoyant Emmanuel Adebayor à la Juventus Turin. "Manchester City n'a aucune intention de vendre Emmanuel Adebayor, c'est notre nouveau numéro 9 pour cette saison - et c'est officiel", a indiqué le club sur le compte Twitter du club.

OU IRA BALOTELLI ?

Le transfert de l'attaquant de l'Inter Milan Mario Balotelli à Manchester City tarde à se concrétiser et d'autres clubs pourraient profiter de l'occasion pour s'attacher les services du joueur. "Manchester City reste notre priorité mais nous avons également d'autres offres que nous allons étudier tranquillement, a déclaré son agent à Sky Italia. Je peux vous dire qu'elles proviennent d'Italie et de l'étranger."

OZIL A MADRID DES CETTE SAISON ?

Alors que le milieu de terrain Kaka sera absent pendant plusieurs mois, le Real Madrid s'interroge sur la possibilité de faire venir le milieu du Werber Brême Mesut Ozil dès cette saison. Selon AS, le club merengue avait dans un premier temps l'intention d'attendre la fin de la saison pour attirer l'international allemand alors en fin de contrat. Mais la blessure de Kaka pourrait accélérer les choses.
http://fr.sports.yahoo.com/06082010/70/transferts-les-infos-en-direct.html

jeudi 5 août 2010

Rémy va visiter Stoke City

Ça se précise pour Loïc Rémy (Photo Presse-Sports). Selon L'Equipe TV, l'attaquant de Nice n'était pas présent, ce jeudi matin, à l'entraînement, il est en fait parti visiter les installations de Stoke City qui s'est récemment positionné, rapporte le site internet de Skysports. Toutefois, l'international français de 23 ans n'est pas le seul joueur ciblé par les Potters puisque Carlton Cole (West Ham) et surtout Kenwyne Jones (Sunderland) ont également été approchés.

http://www.francefootball.fr/FF/breves2010/20100805_103948_remy-va-visiter-stoke-city.html


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Place aux nouvelles têtes chez les Bleus

Il n’y aura que des bleus ! Ou presque. Hormis les retours prévus de Benzema, Nasri et Mexès, Laurent Blanc va dévoiler, ce matin, sa première liste comme sélectionneur avec un cortège de bizuths assez impressionnant. Dix-huit à 20 joueurs vont être retenus pour le Norvège - France amical du 11 août à Oslo. C’est le premier match des Bleus depuis la Coupe du monde et c’est un match sans ces vingt-trois-là.
Très attendue, cette liste en devient excitante.

De la bleusaille à la pelle. Laurent Blanc devrait redonner grâce à quelques visages vus ou entraperçus sous l’ère Domenech. Ainsi, Benzema, Ben Arfa, Nasri, Mexès, Briand, Rémy, Lassana Diarra, Ciani, Mavuba, Rami, Hoarau, Aly Cissokho, Moussa Sissoko, Benoît Cheyrou, Fanni, Mvila ou Ruffier pourraient figurer dans cette première liste de l’ère Blanc.
Mais on s’attend surtout aux appels de Kaboul, Marveaux, Douchez, Debuchy, Chalmé, Trémoulinas, Sakho, Cabaye, Menez (s’il est rétabli du coup reçu au Parc lors du Tournoi de Paris), Le Tallec, Koscielny, voire Sané, le défenseur polyvalent de Bordeaux que Blanc a hissé au niveau Ligue des champions en un an. Pour jouer, voici un groupe probable de 20 noms : Ruffier, Douchez, Chalmé, Debuchy, Mexès, Rami, Sakho, Trémoulinas, Cissokho, Mavuba, Mvila, Diarra, Cabaye, Nasri, Ben Arfa, Benzema, Menez, Hoarau, Rémy, Le Tallec. Leur mission : redonner le goût des Bleus à un public lassé des caprices du Mondial.

Des opportunités à saisir. Avec la retraite internationale de Thierry Henry, l’avenir en pointillés de Nicolas Anelka, les suspensions éventuelles qui planent sur Patrice Evra, William Gallas ou Eric Abidal, il existe quelques places à prendre pour les « vrais » rendez-vous de l’équipe de France à la rentrée : les 3 et 7 septembre face à la Biélorussie et la Bosnie. En attaque, Benzema s’annonce comme un élément incontournable. Son talent, son âge, sa soif de revanche et un sélectionneur qui pourrait enfin le comprendre paraissent des garanties pour assister à son vrai envol international. En défense centrale, Mexès est l’autre vainqueur potentiel de cette première liste. Il possède une chance unique de se relancer sous le maillot national. Lui trouver le bon complément, entre éléments opérationnels immédiatement (Rami, Ciani) et joueur prometteur (Sakho), constituera la vraie difficulté de ce match amical.

Une première tronquée. C’est le revers du faible enjeu sportif qui s’attache au déplacement en Norvège. Quel que soit le match livré par certains, il est bien évident que la majorité des 23 de l’Afrique du Sud reviendra peupler le décor bleu un jour ou l’autre. Lloris, Mandanda, Sagna, Toulalan, Diaby, Gourcuff, Ribéry, Malouda, Alou Diarra, peut-être Valbuena, Clichy, Réveillère, pour n’en citer que quelques-uns, seront sûrement invités à effacer l’image désastreuse laissée à la Coupe du monde.
http://www.leparisien.fr/sports/place-aux-nouvelles-tetes-chez-les-bleus-05-08-2010-1022522.php


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mercredi 4 août 2010

Ligue 1 - Thiriez: "Beaucoup à se faire pardonner"

A quatre jours de la reprise de la Ligue 1, Frédéric Thiriez, le président de la LFP, fait le tour des principales questions qui agitent l'élite : du sort de Raymond Domenech à la FFF à la santé financière des clubs de l'Hexagone.


FREDERIC THIRIEZ, comment réconcilier le foot français et le public ?

F.T. : On a beaucoup à se faire pardonner pour la Coupe du monde. Cela a été un désastre sportif et moral en raison du spectacle lamentable présenté aux Français et à l'opinion internationale. Il faut reconquérir les coeurs en donnant du spectacle. Le foot est d'abord un jeu, ce qui sous-entend une notion de plaisir partagé avec les coéquipiers, les adversaires et le public. L'école française évolue depuis deux ans sous l'influence de Gérard Houllier, tournée vers l'offensive. Cela passe aussi par l'état d'esprit. Il faut retrouver de la proximité avec le public, que les joueurs viennent le saluer, le remercier. Les casques musicaux sont un épiphénomène, c'est l'esprit qui compte.

Un licenciement de Raymond Domenech vous choquerait-il ?

F.T. : Non. Pour moi, un seul fait suffirait à le justifier: le refus de serrer la main de son collègue. C'est une image tellement négative, nuisible, donnée du football français au monde entier, notamment aux gamins, que rien que ça suffit à justifier à mon avis un licenciement. Ce n'est pas ma responsabilité, ni celle du Conseil fédéral, c'est au président de la Fédération, Fernand Duchaussoy, de prendre sa décision, en respectant les procédures.

Les difficultés financières des clubs peuvent-elles nuire un bon parcours européen ?

F.T. : D'abord, la crise est mondiale. L'affluence dans les stades a baissé de 3% en 2009-2010, et de 4,2% en Angleterre et 2,8% en Espagne. Il y a une baisse du sponsoring dans tous les pays et un marché des transferts d'un niveau bas. On va avoir trois années extrêmement difficiles. Pour 2009-2010, le déficit sera probablement le double de celui de la saison précédente. On ne voit pas trop la sortie de crise. On va devoir adapter notre modèle économique, il faudra équilibrer les budgets hors transferts. En 2014, avec la mise en oeuvre des nouveaux stades, la billetterie pourrait passer de 15 à 25% des recettes.

Justement, le prix des places va-t-il augmenter en attendant ?

F.T. : D'abord, il est en France le plus bas d'Europe. Il n'est pas question de pratiquer une hausse générale, le foot doit rester un sport populaire. Mais les recettes billetterie augmentent sensiblement par la modulation du prix des places: on garde un prix bas dans les virages et on l'augmente pour les sièges à prestations et les loges. L'an dernier, les recettes billetterie ont augmenté de 6 à 7%.

Le Trophée des champions est devenu un match de préparation comme un autre: comptez-vous en changer la date ?

F.T. : Il est bien placé, parce que c'est le coup d'envoi officiel de la saison. C'est l'occasion de faire la fête et promouvoir le football français. Il n'y a pas d'autre date. Et mercredi j'ai vu un match agréable, je n'ai pas trouvé que ce soit un match amical.

Où en êtes-vous dans la création d'une chaîne TV ?

F.T. : Nous sommes en pleine discussion avec les distributeurs. Nous voulons une chaîne accessible pour tous les supports, câble, satellite, ADSL voire TNT payante. On va arriver au bout en septembre. Il y a deux options: soit une chaîne de la Ligue autonome et nouvelle, soit une reprise par la Ligue de la chaîne Orange Sport. En 2012, Orange n'achètera plus de droits premium, et on ne sait pas quel montant d'investissement va mettre Canal+, qui restera de toute façon notre partenaire: l'idée d'avoir notre chaîne pour remédier à l'absence de concurrence est une évidence, une nécessité.

AFP / Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/03082010/70/ligue-1-thiriez-beaucoup-a-se-faire-pardonner.html

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mardi 3 août 2010

Gérard Houllier descend Christophe Dugarry

Le foot français n’en finit plus de rejouer son remake de «Petits meurtres entres amis». Sauf que certains membres du foot français ne sont plus amis depuis longtemps. Entre Gérard Houllier et France 98, le torchon brûle. «Cette médaille d’or, on la doit aussi aux clubs et surtout aux clubs qui forment. Il y a eu entre 1996 et 2010 15 Championnats d’Europe des moins de 19 ans. La France en a gagné 5, l’Espagne 4, l’Allemagne 1, l’Italie 1, le Portugal 1», a ainsi lancé le DTN, lundi, en brandissant la médaille d’or des moins de 19 ans au Championnat d’Europe. Avant de s’en prendre à Christophe Dugarry. «Ce qui est important de savoir c’est que l’on continue de travailler. J’avais envie aussi de dédier cette médaille d’or à Christophe Dugarry car il a parlé sans savoir. Il devrait même s’excuser.» Après le fiasco sud-africain, l’ancien international avait fustigé la formation française.
Travail et résultats

A l’occasion de cette conférence de presse, Gérard Houllier a tenu à mettre les choses au clair et à faire la publicité de la DTN. «Ca fait deux ans que les moins de 19 et les moins de 17, filles et garçons, se qualifient pour les tournois finaux. En ce qui concerne l’indice Youth Ranking, on est 2e derrière l’Allemagne. Soyez rassurés, derrière on travaille bien et, contrairement à ce que dit Christophe, on obtient des résultats.» Rendez-vous au prochain épisode.
http://www.20minutes.fr/article/587177/Sport-Gerard-Houllier-descend-Christophe-Dugarry.php

Alberto Contador rejoint l'équipe Bjarne Riis

Comme annoncé la semaine dernière par la presse belge, Alberto Contador quitte Astana (ou il courait depuis 2008) pour rejoindre la Saxo-Bank de Bjarne Riis. L’Espagnol s’est enagagé pour deux ans. «Je suis extrêmement fier et honoré qu'Alberto Contador soit dans notre équipe cycliste l'année prochaine», commenté Riis qui a aussi confirmé que Saxo-Bank poursuivait son partenariat. Contador remplace ainsi comme leader son ami et rival, Andy Schleck, parti avec son frère Franck dans une équipe luxembourgeoise dont le nom n'est pas encore connu.

http://www.20minutes.fr/article/587179/Sport-Alberto-Contador-rejoint-l-equipe-Bjarne-Riis.php

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lundi 2 août 2010

Ligue 1 - Leproux : "Retrouver une situation normale"

Robin Leproux a vu dans le déroulement du Tournoi de Paris les prémisses de ce qu'il souhaite pour le Parc des Princes cette saison : une ambiance saine et une joie d'assister au spectacle. Mais le président du PSG attend évidemment plus de monde au Parc.
"ROBIN LEPROUX, votre dispositif sécurité a fait ses débuts ce week-end à l’occasion du Tournoi de Paris. Etes-vous satisfaits des premiers résultats ?


R.L. : Dans le travail de pacification du Parc que l’on entreprend, aujourd’hui, malgré une affluence assez modeste, on a pu voir par moment de vraies réactions du public. On a même eu des départs de chants. J’ai vu des réactions et un Parc qui s’est enflammé sur le but de Guillaume Hoarau en fin de match. Tout ça est positif. Ce que je souhaite vraiment, c’est que nous retrouvions une situation normale dans les plus brefs délais et que chacun mette de la bonne volonté. Je veux que les spectateurs viennent manifester de la joie pour du bon football. De notre côté, on va essayer d’avoir un jeu spectaculaire et gagner des matches.

Votre équipe a montré de belles choses contre l’AS Rome. Cela doit donc vous réjouir ?


R.L. : L’équipe a montré du talent, du cœur. Ce sont des valeurs qu’on aime beaucoup à Paris. On a eu de nombreuses occasions de buts, on a su revenir au score et on a offert, je crois, un très bon spectacle au public. J’ai entendu des réactions comme je les aime dans un Parc des Princes pas encore assez plein à mon goût mais qui, je l’espère, le sera pour la réception de Saint-Etienne le week-end prochain. Quoi qu’il en soit, ce match nul est une satisfaction. N’oublions pas qu’il s’agissait de l’AS Rome, tout de même.

Nous sommes à moins d’une semaine de la reprise du championnat, quels objectifs avez-vous fixé aux joueurs pour cette nouvelle saison ?


R.L. : Nous voulons montrer une équipe plus compétitive que la saison dernière. Même si nous attendons la fin du mercato pour fixer des objectifs précis, nous pouvons d’ores et déjà affirmer que nous souhaitons faire un bon parcours en Coupe d’Europe et nous retrouver dans les hauteurs du championnat, plutôt que 13e comme la saison dernière.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/02082010/70/ligue-1-leproux-retrouver-une-situation-normale.html

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Ch. Europe 2010 - Ces Bleus sont fous !

Au terme d'une magnifique course d'équipe, Mahiédine Mekhissi-Benabbad est devenu champion d'Europe du 3000m steeple à Barcelone, dimanche, devant son compatriote Bob Tahri. Sur le 1500m, Hind Dehiba a pris la médaille d'argent, tout comme Kafétien Gomis à la longueur
3000M STEEPLE MESSIEURS - FINALE :

LE PODIUM :


1. MAHIEDINE MEKHISSI-BENABBAD (FRA) 8'07"87


2. BOUABDELLAH TAHRI (FRA) 8'09"28


3. JOSE LUIS BLANCO (ESP) 8'19"15

La Français Mahiedine Mekhissi a remporté le titre de champion d'Europe du 3000 m steeple, en 8'07"87, au sprint devant son compatriote Bob Tahri (8'09"28), et les deux loin devant l'Espagnol Jose Luis Blanco (8'19"05), dimanche soir à Barcelone. Mekhissi, vice-champion olympique, et Tahri, médaillé de bronze aux Mondiaux-2009, avaient choisi de faire une course d'équipe en s'isolant de leurs adversaires après 200 m d'observation.

Une tactique logique, décidée en chambre d'appel, au vu du bilan européen de la saison qui plaçait le Messin Tahri et le Rémois Mekhissi 15 et 10 secondes devant leur plus proche adversaire, le Polonais Tomasz Szmkowiak, cinquième à l'arrivée. Se relayant à chaque passage de la rivière jusqu'à un tour de la fin, "Kényans" d'Europe, ils étaient alors assurés du doublé. Plus rapide au sprint, le cadet s'imposait nettement dans la dernière ligne droite, prenant sa revanche des récents Championnats de France.


1500M DAMES - FINALE :

LE PODIUM :


1. NURIA FERNANDEZ (ESP) 4'00"20


2. HIND DEHIBA (FRA) 4'01"17


3. NATALIA RODRIGUEZ (ESP) 4'01"30


LONGUEUR MESSIEURS - FINALE :

LE PODIUM :


1. CHRISTIAN REIF (ALL) 8,47m


2. KAFETIEN GOMIS (FRA) 8,24m


3. CHRIS TOMLINSON (GB) 8,23m

Deux Français étaient parvenus à se qualifier pour la finale de la longueur. L'un était clairement plus favori que l'autre. Et pourtant, c'est bien Kafétien Gomis qui a tiré le mieux son épingle du jeu. Après avoir sauté à 8,00m au premier essai, le Nordiste de 30 ans a dû attendre sa dernière tentative, après quatre sauts mordus consécutifs, pour monter sur le podium. Avec 8,24m, Gomis a pris la 2e place de la finale, dominée par l'Allemand Christian Reif. Avec 8,47m, le dernier 5e des Mondiaux en salle à Doha a signé la meilleure performance mondiale de la saison. En tête après le 1er essai (8,20 m), le Français Salim Sdiri a été relégué finalement à la 4e place. Le Britannique Chris Tomlinson a complété le podium avec un bond à 8,23m. Cette médaille d'argent de Gomis a été la 18e et dernière pour l'équipe de France à Barcelone.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/01082010/70/ch-europe-2010-ces-bleus-sont-fous.html

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dimanche 1 août 2010

Football : matchs amicaux du week end

Lille s'est imposé devant Brest, promu en Ligue 1, en match amical (1-0) grâce à un but de sa nouvelle recrue Moussa Sow en seconde période. Sochaux, lourdement battu par Nancy (0-3), confirme ses difficultés. Saint-Etienne s'est incliné devant Arles-Avignon (2-1).
MATCHES AMICAUX
LILLE - BREST : 1-0


But : Sow (70e)

SOCHAUX - NANCY : 0-3


Buts : Brison (45e), Feret (75e), Alo'o Efoulou (86e)

ARLES-AVIGNON - SAINT-ETIENNE : 2-1


Buts : Marchal (50e) pour Saint-Etienne - Kermorgant (15e), Chapuis (59e) pour Arles-Avignon

LORIENT - LEGIA VARSOVIE : 0-1


But : Rybus (90e+1)

CAEN - RENNES : 1-1


Buts : El Arabi (39e) pour Caen - Bangoura (34e) pour Rennes

MONACO - OLYMPIAKOS VOLOS : 1-0


But : Park Chu-young (5e)

LENS - ATHLETIC BILBAO : 0-2


Buts : Susafta (21e), Aurtenetxe (68e)

TOULOUSE - NICE : 1-1


Buts : Machado (4e) pour Toulouse - Gace (85e) pour Nice

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/31072010/70/match-amical-lille-a-pris-son-temps.html

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