mercredi 30 juin 2010

Bordeaux séduit par un prometteur buteur tchèque

A Bordeaux, les pistes pour trouver le remplaçant de Marouane Chamakh se multiplient. La dernière en date mène une nouvelle fois à un joueur peu connu du grand public français...

Depuis que Marouane Chamakh a quitté les bords de la Garonne pour rejoindre Arsenal, les Girondins de Bordeaux cherchent désespérément un buteur capable de faire oublier le Marocain. Alors que des pistes plus ou moins réalisables (Bobô, Rémy, Trezeguet, Dagoberto) ont récemment été évoquées, un nouveau nom vient de s’ajouter à la liste des possibles remplaçants du néo Gunner.

En effet, selon RMC il s’agit du jeune attaquant tchèque Tomas Necid. Âgé de 20 ans, le joueur du CSKA Moscou évolue en Russie depuis deux saisons maintenant et affiche un bilan de 11 buts inscrits en 37 matches de Premier Liga. Lié à la formation russe jusqu’en 2013, Necid avait déjà été cité parmi les cibles potentielles du Real Madrid peu avant le mercato estival 2009.

Possédant une valeur marchande comprise entre 8 M€ et 10 M€, l’international tchèque présente un profil longiligne assez similaire à celui de Chamakh. Mesurant 1,90m (80 kg), l’ancien pensionnaire du Slavia Prague pourrait être le joueur idéal pour épauler Fernando Cavenaghi. Mais quand on connait la gourmandise des clubs russes lorsqu’il s’agit de vendre un de leurs titulaires, il n’est pas exclu de voir les enchères grimper.
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/bordeaux-seduit-par-un-prometteur-buteur-tcheque_51713
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Berdych terrasse Federer

Quand Roger Federer perd en quart de finale à Roland-Garros, c'est un (petit) tremblement de terre. Quand Roger Federer perd (6-4, 3-6, 6-1, 6-4 en 2h35') en quart de finale à Wimbledon contre Tomas Berdych, c'est un cataclysme ! Depuis 2003, le Suisse réserve tous ses premiers dimanches de juillet pour la finale de son tournoi fétiche. Ce mercredi 30 juin 2010, il laisse son jardin en jachère et le Tchèque investit le lieu sans complexe. Et lundi prochain, il tombe à la 3e place du classement mondial. Une première depuis 2003.

Au pays de Sherlock Holmes, il faut donc chercher les indices pour analyser le crime parfait de lèse-majesté réalisé par le 13e mondial. Contre Alejandro Falla au premier tour, le sextuple vainqueur de Wimbledon a déjà laissé des traces en sauvant sa tête sur le fil de la tension colombienne. Après sa victoire contre Jürgen Melzer, il a évoqué une douleur à la jambe survenue à Halle, mais il a tout de suite écarté l'excuse. Non, il n'a plus mal. Mais oui, il est fébrile, serait-on tenté d'ajouter... Finalement, il faut attendre le témoignage de la victime en conférence de presse pour voir une partie de la réponse : « Je ne pouvais pas jouer comme je le souhaitais. Je souffre un peu du dos et de la jambe. C'est frustrant. »

Berdych solide, Federer fébrile

Même dans son jardin, il ne possède plus l'emprise psychologique d'antan sur ses adversaires. Et cette situation est décuplée face à un joueur du calibre de Tomas Berdych. Le Tchèque ne craint rien ni personne. Et il a bien raison. Depuis le début de la saison, il montre plus de constance et sa tête suit son potentiel. Il a déjà battu à deux reprises Roger Federer, il sait qu'il peut le refaire. Même sur gazon. Car le numéro 2 mondial a montré des failles. Une première depuis ses sept glorieuses à Londres. Avec ses gênes à la cuisse et au dos, il joue moins juste : « Quand tu as mal, c'est une combinaison de plusieurs choses. Tu n'es pas aussi à l'aise et tu ne peux pas te concentrer sur chaque point parce que tu sens parfois la douleur. Tu as tendance à jouer différemment. »

Sur les points importants, il ne montre plus le flegme habituel (1 balle de break convertie sur 8). Et la manière laisse songeur à l'image de ses deux retours ratés sur des deuxièmes balles à 5-2 au deuxième set et surtout à 5-4 dans la quatrième manche. Le Suisse a même semblé tributaire du jeu adverse. Tomas Berdych a dicté le jeu et la partie a fluctué au gré de sa première balle. Avec sa qualité de frappe et de relance exceptionnelle, le Tchèque a bousculé Roger Federer pour décrocher sa première demi-finale à Wimbledon. Elémentaire, mon cher Watson ? Non, seul un champion peut réussir à "tuer" le mythe, ovationné à sa sortie du Centre Court. Tomas Berdych a bien grandi.
http://www.lequipe.fr/Tennis/breves2010/20100630_164601_berdych-terrasse-federer.html

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L’Atlético vise un deuxième joueur de l’OM et scrute aussi du côté de Monaco

L’Atlético Madrid aime la Ligue 1, c’est un fait. Et le sud de la France plus particulièrement. Alors que la signature du Rennais Rod Fanni est imminente, la formation madrilène a visiblement l’intention de faire ses emplettes sur les bords de la Méditerranée. En effet, plus tôt ce matin nous vous relations l’intérêt des Matelassiers pour le latéral gauche de l’Olympique de Marseille, Taye Taiwo. Mais le Super Eagle n’est pas le seul joueur phocéen suivi.

Selon le quotidien espagnol As, le vainqueur de l’Europe League serait également très intéressé par le jeune Ghanéen André Ayew. Lié à l’OM jusqu’en 2011, le Black Star avait récemment poussé un petit coup de gueule pour se plaindre de son traitement sur la Canebière. Prêté lors des deux dernières saisons, le fils d’Abedi Pelé a critiqué le manque de considération dont il est victime. Un fait qui pourrait être rapidement réparé puisque les dirigeants marseillais auraient désormais envie de prolonger le bail de leur jeune pousse.

Si l’intérêt colchonero se confirme, reste donc à savoir quelle sera la position de l’OM, sachant que l’Atlético aurait fait d’Ayew une de ses pistes privilégiées étant donné que l’autre option (Sergion Leon) est beaucoup plus coûteuse. Un manque de liquidités qui a également influencé la piste menant au joueur de Monaco, Nicolas N’koulou.

Alors que le Brésilien de Benfica, Luisão, était la priorité des Madrilènes, la gourmandise des Lisboètes (25-30 M€) a refroidi les ardeurs espagnoles. Pour sa deuxième année en tant que titulaire au sein de l’axe central monégasque, N’koulou a déjà tapé dans l’œil de clubs tels que l’OM et l’OL. Jeune élément très prometteur de l’équipe princière, le Camerounais pourrait être tenté par un challenge sportif intéressant (coupe d’Europe). Mais les dirigeants monégasques n’ont pas repoussé les avances lyonnaises et marseillaises pour rien...
http://www.footmercato.net/liga/transferts/l-atletico-vise-un-deuxieme-joueur-de-l-om-et-scrute-aussi-du-cote-de-monaco_51698

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OL : L’épineux problème qui bloque l’arrivée d’un crack brésilien

Comme dans la plupart des clubs français, un seul mot revient avec insistance lorsque l’on évoque le mercato estival, dégraissage. Un coup de balai dans l’effectif nécessaire pour réduire la masse salariale, mais également pour tenter de se séparer d’indésirables. Mais à Lyon, c’est également une nécessité pour une autre raison, celui du nombre d’extra-communautaires présents dans l’effectif qui ne peut excéder quatre joueurs. Or, au sein du club rhodanien, ce quota est déjà atteint avec la présence de Cesar Delgado, Michel Bastos, d’Ederson et de Cleber Anderson.

Si les deux premiers souhaitent être conservés par les dirigeants lyonnais, les deux derniers sont clairement sur la sellette. Le départ de Cleber Anderson est plus qu’espéré du côté de Lyon, mais pour l’instant les candidats ne sont pas légions. Il faut dire que le défenseur brésilien n’a plus joué depuis plus d’un an et jouit d’un confortable salaire (150 000 € par an). Concernant Ederson, la situation est différente. L’ancien Niçois n’a pas exprimé clairement de velléités de départ, mais sa valeur reste élevée. Si l’OL devrait faire une moins-value sur un joueur acheté 14 M€, le club rhodanien espère toujours le vendre entre 8 et 10 M€. Mais là encore, ce dernier ne dispose pour le moment d’aucune piste sérieuse malgré quelques touches en Italie.

Selon nos informations, cet épineux problème donne actuellement des sueurs froides aux dirigeants lyonnais qui ont peur de laisser filer leurs deux principales pistes brésiliennes pour une sombre histoire administrative. Toutefois, la prochaine réunion au Brésil entre les représentants de l’OL et ceux de Ganso laisse indiquer qu’une solution est sur le point d’être trouvée par la cellule de recrutement lyonnaise pour l’un de ses deux indésirables. Le temps presse pour l’OL qui s’active sur tous les fronts pour mener tant bien que mal un mercato bien plus calme que la saison passée entre Saône et Rhône
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/ol-l-epineux-probleme-qui-bloque-l-arrivee-d-un-crack-bresilien_51685

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Ces joueurs dont la cote a explosé en une saison

Dans les bureaux du stade du Moustoir, est-on vraiment mécontent de voir partir Laurent Koscielny pour Arsenal ? Car dans l’opération Lorient réalise une superbe plus-value, assez exceptionnel pour un club de cette envergure. Acheté 1,7 M€ à Tours l’été dernier, le talentueux défenseur central devrait être revendu contre la modique somme de 12,5 M€, soit plus de 7 fois le prix déboursé par les Merlus il y a moins d’un an. À l’étranger, c’est Benfica qui réalise pour l’instant la plus belle opération, certes en deux saisons, en ayant vendu Angel Di Maria pour 30 M€, loin, très loin des 3,4 M€ déboursés pour sa venue.

Par le passé, d’autres clubs ont pu se frotter les mains d’une revente rapide agrémentée d’une très belle plus-value. Palmeiras a fait très fort notamment, recrutant fin 2008 le très prometteur Keirrison pour 650 000 avant de le revendre pour 14 M€ une saison plus tard au FC Barcelone. Un bémol cependant, le joueur appartenant en partie à une société, Palmeiras n’a pas pu bénéficier entièrement de la somme déboursée par le Barça.

Ce n’est pas le cas de Newcastle avec Sébastien Bassong. Recruté pour une bouchée de pain au FC Metz qui venait d’être relégué (700 000 €), le défenseur camerounais était revendu une saison plus tard à Tottenham pour 9,5 M€, après de longues semaines de négociation. De quoi compenser un peu la tristesse causée alors par la relégation des Magpies. On peut évoquer également la belle affaire réalisée par Monaco en 2007 avec la vente de Yaya Touré à Barcelone pour 12 M€, après l’avoir acheté pour 5,5 M€ à l’Olympiakos.

L’exemple le plus marquant de ces dernières années reste bien sûr Aly Cissokho, le coup de maître réalisé par le FC Porto en seulement 6 mois. En janvier 2009, le club portugais déboursait 500 000 euros pour arracher ce jeune latéral gauche passé par Guegnon au Vitoria Setubal. Au mois de juin suivant, l’Olympique Lyonnais signait un chèque 30 fois supérieur (15 M€) pour s’attacher les services du Français de 22 ans. Comme souvent, ce sont dans les championnats mineurs que l’on trouve les plus grandes plus-values. Les clubs français, portugais, belges ou néerlandais peuvent réaliser de très belles affaires en une seule petite saison. Lorient peut désormais en témoigner.
http://www.footmercato.net/autre-championnat/ces-joueurs-dont-la-cote-a-explose-en-une-saison_51665

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mardi 29 juin 2010

INFO exclusive du Parisien : PSG : Bodmer à Paris, c'est fait

Le PSG tient enfin sa première recrue. Ce mardi, en fin de journée, les dirigeants parisiens ont trouvé un accord avec Lyon pour le transfert du milieu de terrain, Mathieu Bodmer, 27 ans. Des détails restent encore à finaliser mais l'indémnité serait d'environ 3,5 millions d'euros plus des bonus.

Le joueur doit s'engager demain avec le PSG pour trois ans.
Les Parisiens, qui reprennent le chemin du camp des Loges ce jeudi, pourront donc compter avec un nouveau renfort.
http://www.leparisien.fr/psg-foot-paris-saint-germain/psg-bodmer-a-paris-c-est-fait-29-06-2010-982691.php

Espagne Portugal : Les certitudes ont basculé

La présence de Cristiano Ronaldo dans ses rangs a brouillé notre perception. Les présumées forces du Portugal ne sont pas celles que l'on croyait. Pendant que le manque d'efficacité du Ballon d'Or France Football 2008 monopolisait l'attention des médias, les Lusitaniens se sont extirpés d'un groupe très compliqué (Brésil, Côte d'Ivoire, Corée du Nord) en affichant une solidité remarquable. Sans qu'on le souligne assez. Le 7-0 passé à la modeste Corée du Nord a légèrement éclipsé les deux nuls sans but concédés contre la Côte d'Ivoire (0-0) et le Brésil (0-0). Dans la foulée d'une qualification au Mondial laborieuse, ces deux résultats disent tout, pourtant, des forces et faiblesses actuelles des Portugais. S'ils ne marquent pas énormément de buts, ils en concèdent également très peu.
Depuis le départ de Luiz Felipe Scolari, la Selecçao véhicule l'image d'une sélection en manque de repères, pas franchement celle d'un gagnant potentiel. Entre la façon dont on la dépeint et les chiffres, il y a un monde. Lors de la phase de poules, le Portugal est la seule formation, avec l'Uruguay, à avoir gardé sa cage inviolée, une performance dont seules la Suisse (2006), l'Argentine (1998) et l'Italie (1990) peuvent se targuer. Cette rigueur défensive trouve écho dans les dix-neuf matches sans défaite - trente-quatre buts marqués, seulement trois buts encaissés- que le Portugal vient d'aligner. A l'heure de rencontrer son voisin ibérique, en manque cruel d'efficacité, ce ne peut pas être tout à fait anodin.

L'Espagne peine dans le jeu
Paradoxalement, l'Espagne, désignée comme le grand favori de l'épreuve, semble avancer vers son huitième de finale avec moins de certitudes. «Si elle continue à jouer comme ça, elle ne pourra pas aller très loin», relève son ancien sélectionneur, Louis Aragones. Depuis son entrée dans la Coupe du monde, la Roja peine à assumer dans le jeu ses ambitions mondiales. Même lorsqu'elle gagne, la manière laisse à désirer. Sa circulation de balle est moins fluide qu'en 2008 lorsqu'elle avait conquis le titre européen. Ses entames de match laborieuses inquiètent au moins autant que la maladresse de ses attaquants. Le coupable aux yeux de la presse espagnole ? Vincente del Bosque, forcément.

A chaque rencontre, l'ancien entraîneur du Real Madrid se voit contraint de justifier ses choix, notamment celui d'aligner deux milieux défensifs : Xabi Alonso et Sergio Busquets. On l'accuse de dénaturer le jeu espagnol ? «Si vous y voyez une volonté de jouer différemment, ce n'est pas le cas, répond-il. J'aime bien écouter les commentaires et j'essaie de trouver ces différences, mais j'ai du mal... Je ne me suis pas éloigné de notre modèle.» David Villa, nouveau meilleur buteur espagnol en Coupe du monde (6), lui a pour l'instant permis de s'en sortir sans trop d'égratignures. Tant que l'Espagne gagnera, ce sera le cas. Après
http://www.lequipe.fr/Football/breves2010/20100628_201338_les-certitudes-ont-bascule.html


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Forcément historique...le Japon et le Paraguay en 8°

Personne ne les attendait en huitièmes de finale. Mieux, le Paraguay et le Japon ont l'occasion, ce mardi (16h00) à Pretoria, d'atteindre pour la première histoire les quarts de finale de la Coupe du monde. (Photos Presse-Sports)

Le rêve de disputer un quart de finale de la Coupe du monde est en passe de devenir réalité. Mais pour qui ? Le Paraguay ou le Japon ? Depuis 1986, l'Albirroja a chuté à trois reprises au stade des huitièmes de finale (1986, 1998 et 2002). Quant aux Samouraïs japonais, ils ont déjà goûté à ce second tour une seule fois. C'était en 2002. Mais pour le même résultat : une élimination face à la Turquie (0-1). Alors, ce Paraguay - Japon de ce mardi (16h00) à Pretoria aura forcément une résonance historique... pour le vainqueur.

Roque Santa Cruz ne dit pas le contraire. «Ce match peut être historique pour notre pays, a admis l'attaquant paraguayen de Manchester City, ce lundi en conférence de presse. Nous nous sentons plus forts que jamais. Nous formons un groupe uni qui a la qualité nécessaire pour atteindre le prochain tour.» Le Paraguay, en tête du groupe F lors du premier tour (Nouvelle-Zéalnde, Slovaquie, Italie), a fait preuve d'une solidité défensive certaine (un but encaissé) et d'une efficacité redoutable en contre, que ce soit par Barrios, Valdez ou encore Santa Cruz. Mais la dernière sortie des Paraguayens, face à la Nouvelle-Zélande (0-0), n'a guère été rassurante.

Okada : «Notre force : l'unité de notre équipe»
Face au Japon, la troupe de l'Argentin Gerardo Martino devra impérativement montrer un autre visage. Deuxièmes du groupe E (Cameroun, Pays-Bas, Danemark), les Japonais ont surpris beaucoup de monde par leur jeu offensif et leur générosité à toute épreuve. Sans oublier la révélation de certaines individualités comme Keisuke Honda. Auteur de trois buts en 16 apparitions en Première Division russe depuis janvier sous les couleurs du CSKA Moscou, le milieu offensif de vingt-quatre ans a marqué les esprits en inscrivant le but de la victoire contre le Cameroun (1-0), et surtout lors de sa prestation face au Danemark (3-1), ponctuée d'un superbe coup franc. Mais Honda n'est pas seul dans cette sélection nippone. «Notre point fort, c'est l'unité de notre équipe, a réaffirmé, ce lundi en conférence de presse, Takeshi Okada. Le Paraguay est un sacré obstacle sur notre route, mais depuis le début de ce tournoi, on a appris à négocier les obstacles les uns après les autres.» Et le sélectionneur japonais pense également franchir «l'obstacle» paraguayen
http://www.francefootball.fr/

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Le nouveau maillot du PSG 2010-11 est dévoilé !

Le début du mois de juin est généralement propice au mercato estival et aux lancements des nouveaux maillots. Le Paris Saint Germain ne déroge pas à la règle et vient de présenter sa nouvelle tenue pour la saison 2010-11 sur son site officiel. Le retour à la couleur rouge met à l’honneur les codes du premier maillot du Paris Saint-Germain. Le maillot domicile intègre des impressions graphiques “PSG 1970”, ton sur ton, qui recouvrent le maillot sur toute sa surface. On peut également retrouver la date de création du club, derrière le maillot, inscrite dans le cou. Un blason anniversaire vient frapper le maillot des 40 ans, une broderie dorée encerclant l’écusson traditionnel avec les dates “1970” et”2010”. L’encolure et le liseré des manches de couleur bleu marine viennent surligner la silhouette du maillot. Ce nouveau maillot domicile sera porté pour la première fois par les joueurs lors de la rencontre du 28 juillet prochain face à Marseille. Il se confrontera aux plus grands clubs européens et foulera la pelouse du Parc des Princes lors du tournoi de Paris (31 juillet et 1er août).

Voici le maillot domicile
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http://www.footmercato.net/ligue1/le-nouveau-maillot-du-psg-2009-10-est-devoile_13163

Coupe du monde 2010 - Blatter s'excuse et réagit

Joseph Blatter, le président de la Fifa, s'est excusé auprès de l'Angleterre et du Mexique après les erreurs d'arbitrages survenues lors des huitièmes de finale de la Coupe du monde 2010. Le patron du football mondial a assuré que la vidéo serait évoquée lors de la prochaine réunion de la Fifa.
Alors que la Fifa était restée sans aucune réaction face à la vague d'indignation mondiale provoquée par ces deux erreurs, Sepp Blatter a réuni des journalistes mardi pour livrer ses premiers commentaires.Il a présenté ses excuses à l'Angleterre et au Mexique, les deux équipes victimes de ces incidents et éliminées. Puis il a affirmé que la question de l'arbitrage vidéo serait de nouveau évoquée par la Fifa dès juillet. "J'ai exprimé mes excuses aux deux délégations directement concernées. Je comprends qu'ils ne soient pas contents. Les Anglais m'ont dit merci, les Mexicains ont baissé la tête", a déclaré le patron du football mondial.

"Il est évident qu'après ce que nous venons de vivre, ce serait ridicule de ne pas rouvrir le dossier de l'aide par la technologie en juillet à Cardiff", lors de la prochaine réunion de la Fifa les 21 et 22, a-t-il ajouté. Mais, "le seul principe sur lequel nous allons rouvrir le discussion, c'est la technologie sur la ligne de but", a précisé M. Blatter. "Le football est un jeu de mouvement, et s'il y a une occasion de but, faut-il donner la possibilité à une équipe de réclamer des ralentis une ou deux fois comme au tennis? Pour une situation comme celle du Mexique, vous n'avez pas besoin de technologie", a-t-il argumenté.

Le but hors-jeu de Tevez sur écran géant

Dimanche, un but injustement refusé à l'Anglais Franck Lampard contre l'Allemagne et un but hors-jeu accordé à l'Argentine face au Mexique ont relancé le débat récurrent sur l'arbitrage vidéo, auquel s'opposent pour l'instant la Fifa et surtout l'International Board, l'organisme chargé de définir les lois du jeu. L'arbitre uruguayen Jorge Larrionda n'a pas accordé le but à Lampard contre l'Allemagne, alors que les ralentis télévisés montraient clairement que le ballon avait franchi la ligne de but à la 38e minute du match. Ce but aurait permis à l'Angleterre, alors menée 2-1, de revenir à 2 partout.

En soirée, l'arbitre italien Roberto Rosetti a accordé un but entaché d'un hors-jeu très net à l'Argentin Tevez, contre le Mexique. L'action a été rediffusée sur l'écran géant du stade, mais l'arbitre, conformément au règlement, n'a pas tenu compte des images pour revenir sur sa décision, malgré les protestations des joueurs Mexicains. M. Blatter lui-même, après avoir envisagé en début d'année le recours possible à la "technologie" pour le franchissement de la ligne de but, s'était rangé à l'avis du Board, et avait longuement argumenté contre l'introduction de la vidéo dans l'arbitrage.


AFP / Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29062010/70/coupe-du-monde-2010-blatter-s-excuse-et-reagit.html

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Coupe du monde 2010 - Kaka, Lucio, Bastos et les autres

Zebulon : comment s'est organisé le Brésil, offensivement parlant, face au Chili?


Kaka de retour de suspension, Carlos Dunga a bien évidemment réinstallé le meneur de jeu brésilien dans le onze de départ de son équipe. Si l'on se fie à la feuille de match délivrée par la FIFA avant le début de la rencontre, le joueur du Real Madrid était censé évoluer dans l'axe, derrière Luis Fabiano et Robinho, positionné sur le côté gauche en soutien de l'avant-centre. Dans les faits, la réalité a été tout autre. Kaka ayant plus souvent évolué à gauche quand Robinho a passé plus de temps à droite. Cependant, que ce soit Kaka, Robinho ou Daniel Alves, les trois hommes n'ont pas cessé de permuter, donnant parfois l'impression d'une joyeuse pagaille. A un moment, au coeur de la première période, on a même vu Daniel Alves en pointe. A l'arrivée, ces mouvements incessants ont fait plier le Chili, qui n'avait pas les armes pour résister.

Arthur09 : Y avait-il penalty sur Lucio à la 27e minute du match ?


L'arbitre Howard Webb aurait pu siffler sur l'intervention de Contreras. Sur un corner d'Alves, Lucio s'est retrouvé en possession du ballon à l'angle des 5,50 mètres. Le capitaine de la sélection auriverde a été taclé de manière illicite par Contreras, qui déjà par terre, ne pouvait pas faire grand chose d'autre. Lucio en a rajouté mais ce n'est pas ce qui a influencé l'arbitre en sa défaveur. Celui-ci était très mal placé sur l'action et son horizon semblait bouché par une forêt de joueurs présents dans la surface de réparation. En revanche, son assistant avait le champ visuel complètement libre.

Ronaldinhogoal : Kaka a semblé mieux que lors de l'entame de la compétition...


Suspendu après son carton rouge reçu face à la Côte d'Ivoire, Kaka avait annoncé qu'il profiterait de cette coupure forcée pour travailler et se remettre d'aplomb physiquement. Face au Chili, le Brésilien n'a pas encore fait le match de sa vie mais, au moins, a montré qu'il s'était remis dans le sens de la marche. Et plutôt bien. Très disponible et remuant, il avait faim de ballons, ça s'est vu. Plusieurs fois, on a pu remarquer des gestes de dépit de sa part lorsque, démarqué, il n'était pas servi par l'un de ses partenaires. A noter sa passe décisive pour Luis Fabiano sur le deuxième but brésilien. Meilleur passeur du Mondial, à égalité avec Thomas Müller (3 passes), il aurait pu marquer sur un service de Michel Bastos (69e). Kaka est sorti à dix minutes de la fin.

JeanII : Comme le Mexique face à l'Argentine, le Chili a réalisé une entame plutôt convaincante...


Convaincante est peut-être un terme un peu fort. Dimanche soir, le Mexique a été assez bon lors du début de match face à l'Argentine. Le Chili s'est également bien comporté face au Brésil, lundi. Cependant, la période faste des Chiliens n'a pas dépassé les cinq premières minutes. A partir de ce moment-là, Beausejour et ses copains ont subi et jamais réellement inquiété Cesar qui a passé plutôt tranquille dans ses buts même s'il a dû intervenir sur une frappe du gauche de Suazo à l'orée du dernier quart d'heure (75e). Comme le Mexique, à ceci près qu'il n'a été victime d'aucune erreur d'arbitrage, le Chili a pris deux buts en première période et jamais réussi à laisser imaginer qu'il pourrait inverser la tendance malgré un petit mieux en début de seconde période. A l'heure de jeu, Robinho est venu plier l'affaire.

OLy : Michel Bastos n'a pas été grandiose. Peut-il perdre sa place ?


Michel Bastos avait réussi un premier match plutôt convaincant face à la Corée du Nord. Depuis, le ton est monté et le Lyonnais n'a plus véritablement été à son avantage dans cette équipe du Brésil. Face au Chili, on ne l'a guère vu. Il faut dire qu'il n'a pas non plus été très ennuyé sur son couloir. Mais même sur les phases offensives, l'ancien joueur de Lille s'est montré discret. Il a rarement passé la moitié de terrain sinon sur cette action de la 69e minute où il a bien servi Kaka à l'entrée de la surface ou en toute fin de match lorsqu'il a frappé au but (90+2). De là à ce qu'il perde sa place de titulaire, il n'y a qu'un pas que l'on ne franchira pas encore. La concurrence n'est pas énorme à ce poste en équipe du Brésil. Rien à avoir avec le côté droit (Maicon, Alves).


Oliv-Mont : Le Chili est-il surcoté ?


Au premier tour, les hommes de Bielsa n'ont pas fait un malheur. Deux victoires face au Honduras et à la Suisse, il n'y a pas de quoi se lever la nuit. Quand les choses sérieuses se sont présentées, à savoir face à l'Espagne lors du dernier match de poule, les soucis ont commencé (1-2). Lundi soir, le Brésil a enfoncé le clou sans jamais forcer (3-0). Cela dit, une élimination en huitièmes de finale me semble tout à fait logique et honorable pour cette nation classée au 18e rang du classement FIFA, juste derrière le Mexique (17e).

Lisandroenforce : Le Brésil est une bonne équipe mais, de manière réaliste, il me semble que des formations sont meilleures sur cette Coupe du monde...


Difficile à dire. Le Brésil a joué à sa main. Si ses vingt premières minutes n'ont pas été d'une folle intensité, une fois que la faille a été trouvée, la sélection auriverde a déroulé, face à un adversaire qui lui réussit très bien historiquement et qui n'a pas été au niveau escompté. De là à dire que les Brésiliens ont fait une grosse impression... Le talent est là, c'est une certitude. Derrière, la charnière Lucio - Juan a de l'allure et peut permettre de voyager. Mais il faudra attendre les Pays-Bas et ce quart de finale exceptionnel pour en savoir plus. Ce Mondial semble très ouvert. Plusieurs cadors se tiennent en peu de choses.

Alors, Maxime, l'ambiance ?


Les tribunes ont tenu leurs promesses. Comme très souvent depuis le début de la Coupe du monde, l'ambiance est festive dans les stades. Les vuvuzelas sont évidemment à l'origine de l'essentiel du bruit entendu dans les enceintes. Mais lundi soir, autour et à l'intérieur de l'Ellis Park, les supporters des deux équipes ont donné de la voix. Mention spéciale aux Brésiliens, bien plus nombreux que les Chiliens. Avant même l'entame de la rencontre, ils ont, comme toujours, mis l'ambiance dans les rues de Johannesburg, déguisés l'un en catcheur, l'autre en télévision géante. Bref, tout et n'importe quoi. Mais avec de grands sourires.


Lalura59 : La Fifa pourrait mettre en place un tirage au sort pour les huitièmes finale comme en Ligue des champions. Est-ce une bonne idée ?


Je trouve le principe de tableau de la Coupe du Monde plutôt bien fait. Il me semble logique qu'une équipe classée première de son groupe affronte un deuxième. C'est un petit avantage qui est mérité. En Ligue des champions aussi, les premiers de groupes ne peuvent affronter d'autres premiers.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29062010/70/coupe-du-monde-2010-kaka-lucio-bastos-et-les-autres.html

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Tour de France - Armstrong annonce sa der

Lance Armstrong (RadioShack) vient d'annoncer que ce Tour de France 2010 serait son dernier, par le biais de sa messagerie twitter. L'Américain de 38 ans, qui participera à sa 13e Grande Boucle, ajoute qu'il "espère trois belles semaines à venir".
Cette fois, c'est sûr, il va falloir en profiter. Lance Armstrong a mis fin au suspense en annonçant que ce Tour de France 2010 serait son 13e et dernier. Le coureur de RadioShack a utilisé, comme souvent, sa messagerie twitter pour communiquer. "Et oui, ce sera mon dernier Tour de France. Merci pour la ballade. J'espère trois belles semaine à venir", dit l'Américain de 38 ans. Cette annonce n'est pas vraiment une surprise. On s'attendait simplement à ce qu'il le fasse pendant ou après la Grande Boucle. Cette édition ressemblera donc fort à un jubilé pour le septuple vainqueur.

En revanche, il ne faudra pas s'attendre à ce que Lance Armstrong parade. Troisième l'an dernier, le Texan ne vient pas sans ambition. Jouer la gagne face à Alberto Contador semble difficile malgré la forme affichée sur le dernier Tour de Suisse (2e). Mais il peut à nouveau monter sur le podium et battre ainsi son propre record (8) qu'il co-détient avec Raymond Poulidor. Il sera alors temps pour lui de se consacrer un peu plus à des courses américaines comme le Tour de Californie, au VTT voire à l'Ironman qu'il affectionne. Lance Armstrong dit au revoir à la Grande Boucle, pas au peloton, ni au cyclisme.

SES 12 TOURS DE FRANCE

1993 : Abandon à la12e étape et vainqueur de la 8e étape.


1994 : Abandon à la 15e étape.


1995 : 36e du général et vainqueur de la 18e étape.


1996 : Abandon à la 6e étape.


1999 : Vainqueur du général et de 4 étapes


2000 : Vainqueur du général et de 1 étape


2001 : Vainqueur du général et de 4 étapes


2002 : Vainqueur du général et de 4 étapes


2003 : Vainqueur du général et de 2 étapes


2004 : Vainqueur du général et de 6 étapes


2005 : Vainqueur du général et de 2 étapes


2009 : 3e du général et vainqueur de la 4e étape (clm par équipes).

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28062010/70/tour-de-france-armstrong-annonce-sa-der.html

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lundi 28 juin 2010

Résumé Allemagne - Angleterre (4-1) + but de refusé !!!!!!

Jean-Pierre Escalettes démissionne de la FFF

Le président l'officialisera vendredi...
Selon la Fédération française de football, Jean-Pierre Escalettes démissionne de la présidence de la FFF. Il l'annoncera officiellement vendredi lors de la réunion du Conseil Fédéral, vendredi. «J'assume avec lucidité ma part de responsabilité. Ma décision est essentiellement dictée par la volonté de préserver et de faciliter l'évolution d'une institution que je sers avec passion depuis plusieurs décennies», explique Jean-Pierre Escalettes sur le site de la FFF.


Mis sous pression par le gouvernement et le président de la République, le président de la FFF dit avoir réfléchi tout le week-end à cette décision. Jeudi dernier, Roselyne Bachelot, la ministre de la Santé et des sports avait jugé sur RTL «inéluctable» cette démission après le fiasco des Bleus en Afrique du sud. Mercredi dernier, Nicolas Sarkozy avait lui demandé «aux ministres de faire en sorte que les responsables tirent rapidement les conséquences de ce désastre».Président de la FFF depuis le samedi 12 février 2005, Jean-Pierre Escalettes avait beaucoup pesé en juillet 2008 dans la décision du Conseil fédéral de reconduire Raymond Domenech à la tête de l'équipe de France.
http://www.20minutes.fr/article/581673/Sport-Jean-Pierre-Escalettes-demissionne-de-la-FFF.php

La Seleçao a de la mémoire

Le Brésil et le Chili s'affrontent lundi (20h30), à Johannesburg, pour un remake du huitième de finale qu'ils ont disputé en 1998. Les chiffres plaident pour une nouvelle qualification de la Seleçao. Même si son pouvoir offensif n'est plus ce qu'il était. (Montage photo Presse-Sports)

Douze années se sont écoulées. Mais le souvenir est tenace. En 1998, le Brésil avait étrillé le Chili (4-1), grâce à deux doublés de Cesar Sampaio et Ronaldo. C'était en huitièmes de finale de la Coupe du monde. Déjà. La revanche aura lieu lundi (20h30), à Johannesburg. Et sous le poids du passé, la balance ne penche pas en faveur de la Roja. Il suffit de consulter les archives pour s'en convaincre. Le bilan des 65 précédentes confrontations brésilo-chiliennes est très largement favorable aux quintuples champions du monde : 46 victoires, 12 nuls et 7 défaites, 152 buts inscrits, seulement 55 encaissés.

L'histoire récente accentue même un peu plus cette hégémonie brésilienne. Si la Seleçao avait vécu le séisme d'une lourde défaite (0-3) le 15 août 2000, au début des éliminatoires du Mondial 2002, elle a ensuite enchaîné sur huit victoires et un nul face à son voisin sud-américain. Et, depuis son élimination face à l'Argentine (0-1) en 1990, elle a toujours franchi le cap des huitièmes.

Dunga : «On joue en équipe»
La réalité des statistiques n'augure donc rien de bon pour la Roja. Et celle du terrain ? Le Brésil a bien conclu la phase de poules en tête du groupe G. Mais ses succès face à la Corée du Nord (2-1) et la Côté d'Ivoire (3-1), comme son nul contre le Portugal (0-0), n'ont pas calmé le déchaînement médiatique, exacerbé par l'identité défensive d'une Seleçao moins joueuse et moins spectaculaire que ses devancières. «On joue en équipe», répond Dunga, qui sera probablement privé de Julio Baptista (genou) en attaque. En 1994, le sélectionneur d'aujourd'hui était sur le terrain, brassard autour du bras. Il se souvient qu'à l'exception du duo Bebeto-Romario, ce Brésil-là n'était pas beaucoup plus riche en talents individuels. Qu'il n'avait marqué que 11 buts en 7 matches. Et que cela ne l'avait pas empêché d'accrocher une quatrième étoile à son maillot. Pour Kaka, Luis Fabiano et Robinho, l'héritage est lourd à porter.

Le Chili n'a évidemment pas les mêmes références. Outre son huitième de finale en 1998, son fait d'armes en Coupe du monde - une troisième place, sur ses terres, en 1962 - commence à dater. Lors de ses deux premiers matches, l'équipe de Marcelo Bielsa a montré qu'elle savait jouer au foot. Face à l'Espagne (1-2), vendredi, elle a aussi montré qu'elle perdait facilement ses nerfs. Cela lui a coûté la première place du groupe H. Cela l'oblige à composer avec les suspensions d'Estrada, Gary Medel et Waldo Ponce. Une aubaine pour Pablo Contreras. Cantonné au banc, l'ancien défenseur de Monaco devrait prendre place dans l'axe, aux côtés de Gonzalo Jara. Il fera cette prière : que le Brésil 2010 ne soit pas aussi réaliste que celui de 1994. - Gil BAUDU

Les équipes probables

Brésil : Julio Cesar - Maicon, Lucio, Juan, Bastos - Elano, Gilberto Silva, Felipe Melo (ou Josue) - Kaka - Luis Fabiano, Robinho.

Chili : Bravo - Isla, Contreras, Jara, Vidal - Millar, Carmona - Sanchez, Fernandez, Beauséjour - Suazo.

http://www.francefootball.fr/FF/breves2010/20100628_002022_la-selecao-a-de-la-memoire.html

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Une tournée, des gueules de bois

Ne nous méprenons pas, les symptômes sont bien différents. Mais les équipes de France de football et de rugby semblent se chercher un second souffle dans le secteur des BTP. Un champ de ruine ! Les maisons tricolores se sont effondrées en l'espace de deux semaines. Loin de la gabegie grand-guignolesque des grévistes sud-africains, le XV de France de Marc Lièvremont a rejoint le Vieux Continent «dévasté». Le constat du sélectionneur est même accablant. Extraits : «C'est la désolation... Comment peut-on tomber aussi bas... Etre à ce point ridicule... C'est un cauchemar... Proche du néant... Un groupe transparent...» Des mots cinglants pour une désillusion à faire taire un concerto de vuvuzelas. Mais quel bilan accorder à cette tournée estivale calamiteuse ? Et ce Grand Chelem alors ? Le sacre des Bleus est-il aujourd'hui atrophié par les enjeux internationaux ?
D'une parenthèse embarrassante au lendemain de la fessée springbok (42-17), cette expédition australe a finalement stigmatisé les maux tricolores. Dès que leur conquête n'est plus aussi triomphante, les Bleus se perdent dans un jeu confus accablé par ce sentiment d'introduire un désordre inutile. Une stratégie où vitesse et variété sont bâillonnées. Le XV de France a peut-être acquis lors du Tournoi un sens du sacrifice. Mais forcé de constater que leurs enchaînements offensifs se liquéfient après quatre, cinq temps de jeu.

Apprendre à tenir les temps de jeu
Dans son (prochain) isolement d'observateur du Top 14, condamné «à cinq mois dégueulasses», Marc Lièvremont retiendra peut-être l'expertise d'Alain Penaud. «Le XV de France a du mal à se mettre en place offensivement, à tenir les temps de jeu. Le sélectionneur est focalisé sur les quatre premiers temps de jeu, cinq maximum, pour privilégier l'occupation du terrain. Mais dans les moments importants, il faut savoir tenir le ballon.» On ne ressortira pas ici la rengaine François Trinh-Duc et son leadership en perpétuel gestation. Les lacunes tricolores ne proviennent pas des lancements hésitants de l'ouvreur montpelliérain mais bien d'un projet de jeu à étoffer.

Lauret, seule satisfaction
Cette tournée était de trop, les gueules de bois sans doute inévitables. Que reste-t-il alors de ces deux trempes ? Wenceslas Lauret, seule satisfaction pour Marc Lièvremont. Thierry Dusautoir, lui, a «honte». Davantage qu'à Twickenham en 2009 (34-10). Il est pourtant difficile de penser que les Bleus aient sabordé leur avenir et ces quinze prochains mois à réviser leur Coupe du monde. Ils leur faudra juste admettre que leur salut dans le concert ovale ne peut se satisfaire d'un affrontement de muscles durs et de fronts cabossés

La saison internationale du XV de France
Bilan : 8 victoires, 3 défaites

Tournée d'automne :

France - Afrique du Sud à Toulouse : 20-13
France - Samoa au Stade de France : 43-5
France - Nouvelle Zélande à Marseille : 12-39

Tournoi des VI Nations :

Ecosse - France à Murrayfield : 9-18
France - Irlande au Stade de France : 33-10
Galles - France au Millennium : 20-26
France - Italie au Stade de France : 46-20
France - Angleterre au Stade de France : 12-10

Tournée d'été :

Afrique du Sud - France au Cap : 42-17
Argentine A - France à La Plata : 14-37
Argentine - France à Buenos Aires : 41-13

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http://www.lequipe.fr/Rugby/breves2010/20100627_164329_une-tournee-de-gueule-de-bois.html

La Slovaquie à pas feutrés

Les miracles se produisent parfois !» Vladimir Weiss, le sélectionneur slovaque, croit aux miracles. Avoir éliminé le champion du monde en titre lors du dernier match du premier tour (3-2), il entend bien emmener la Slovaquie encore plus haut lors de son huitième de finale face aux Pays-Bas, lundi (16h00), mais il le cache bien. «Les Pays-Bas sont les ogres de ce match, les top favoris, assurait-il face aux médias dimanche. Nous n'avions rien à perdre face à l'Italie, et ce sera à nouveau le cas face aux Néerlandais. Ce sont eux qui doivent l'emporter. Les attentes sont énormes de leur côté. Personne ne s'attend à ce que nous passions.» Rejeter toute la pression sur l'adversaire, Weiss sait faire, comme ce fut le cas avant la rencontre décisive face à l'Italie : «Ils sont champions du monde en titre, ils ont tout gagné. Ils n'ont pas peur de jouer sous pression, ils ont gagné beaucoup de matches comme celui-là.»
Au final, cette rencontre fut historique pour une sélection slovaque qui dispute sa première Coupe du monde. Parce que son entraîneur a su tirer les leçons de deux premiers matches décevants face à la Nouvelle-Zélande (1-1) puis le Paraguay (0-2). En changeant d'organisation et de joueurs (il n'a pas hésité à sortir son fils du onze de départ), Weiss a su relancer son équipe et exploiter les faiblesses italiennes. «Je sais que c'est un vieux cliché mais depuis le début du Mondial, on a appris que tout est possible dans le foot. C'est dans notre mentalité mais on a quand même une petite expérience. On a montré qu'on pouvait jouer contre des grosses équipes. C'est une très grosse équipe qui nous attend.»


Les Pays-Bas sont en effet l'un des épouvantails de la compétition. Sortis tranquillement des poules avec trois victoires en trois matches, tout en laissant Arjen Robben récupérer totalement de sa blessure à la cuisse gauche, les Oranje s'attaquent au plat de résistance. Avec confiance, même si Bert van Marwijk connaît les vertus d'un adversaire qu'il sait «coriace». «La Slovaquie forme une vraie équipe, sans star mais difficile à manoeuvrer», explique-t-il. Avec leur jeu résolument offensif, caractéristique absente des trois équipes affrontées par la Slovaquie en poules, les Pays-Bas ont évidemment les armes pour se sortir de ce piège. Mais van Marwijk prévient : «Il y a souvent un moment de flottement dans nos matches quand on a pris l'avantage. J'en ai parlé très clairement aux joueurs. Je leur ai dit qu'à partir des huitièmes de finale, on ne pouvait pas se permettre ça. A ce niveau ça ne passera pas.» Surtout face à un adversaire tapi dans l'ombre, mais qui saura exploiter la moindre faille

http://www.lequipe.fr/Football/breves2010/20100628_001248_la-slovaquie-a-pas-feutres.html

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