jeudi 28 février 2013

Foot : Domenech, futur sélectionneur de la Guinée Equatoriale ?

Va-t-on revoir prochainement Raymond Domenech au bord d'un terrain de foot ? Ce n'est pas impossible. L'ancien sélectionneur des Bleus négocierait actuellement son arrivée à la tête de la sélection de la Guinée Equatoriale.
Raymond Domenech va-t-il reprendre du service ? Selon les informations d'Afrik-Foot, l'ancien sélectionneur des Bleus serait en train de négocier son arrivée à la tête de la sélection de Guinée Equatoriale. Une information qui corrobore les propos du président de la fédération équato-guinéenne, Domingo Mituy Edjang.
"Le prochain entraîneur sera un Européen de renom qui a joué plus de cinquante matchs avec sa sélection et qui a dirigé son pays lors de la dernière Coupe du monde, a-t-il fait savoir lors de l'annonce du récent renvoi de Gilson Paulo. Raymond Domenech compte en effet 79 matches en tant que sélectionneur des Bleus, entre 2004 et 2010.
S'il arrivait à la tête de la sélection de la Guinée Equatoriale, il aura la mission de la qualifier pour la prochaine Coupe du Monde, qui aura lieu au Brésil en 2014. Une mission délicate car les équato-guinéennes sont troisièmes de leur groupe dominé par la Tunisie
 

mardi 26 février 2013

Le classico espagnol Barça- Réal ce soir en live ici

On suit le Classico ici en direct en cliquant sur ce lien .................

Coupe de France: David Beckham titulaire pour PSG-OM

L'Anglais débutera au milieu de terrain en l'absence de Verratti, suspendu...
Plus la peine de scruter le banc des remplaçants pour savoir à quel moment David Beckham va enlever son survêtement. Lors du prochain Classique, mercredi en Coupe de France entre l'OM et le PSG, l'Anglais sera titulaire. Carlo Ancelotti a confirmé mardi que la star parisienne débuterait la rencontre, en l'absence de Verratti, suspendu, et de quelques joueurs fatigués. Le technicien italien a promis quelques changements dans sa composition, trois jours après le premier choc entre les deux équipes, remporté par les Parisiens.
La compo probable du PSG: Douchez - Van der Wiel, Camara, Sakho ou Armand, Maxwell - Menez, Beckham, Matuidi, Pastore - Lavezzi ou Gameiro, Ibrahimovic.

http://www.20minutes.fr/sport/1108215-coupe-france-david-beckham-titulaire-psg-om

lundi 25 février 2013

Tennis : Tsonga remporte le Tournoi de Marseille

Jo-Wilfried Tsonga a remporté dimanche le tournoi ATP de Marseille en battant le Tchèque Tomas Berdych en trois sets lors d'un match très serré. Le numéro un français remporte ainsi le 10e titre de sa carrière.
Jo-Wilfried Tsonga a remporté le dixième titre de sa carrière dimanche en s'imposant en finale du tournoi de tennis de Marseille face au Tchèque Tomas Berdych, battu en trois manches (3-6, 7-6, 6-4). Le numéro un français, déjà vainqueur à Marseille en 2009, restait sur une victoire pour quatre défaites face à l'actuel numéro six mondial, l'une de ses bêtes noires sur le circuit ATP, qui disputait sa première finale du tournoi marseillais.
Le Manceau avait l'avantage de jouer devant un public acquis à sa cause. "Cette victoire, je vous la dois", a-t-il d'ailleurs lancé aux spectateurs avant de recevoir son trophée au terme d'une rencontre serrée, comme prévu. "Ca va déménager, ça va cogner", avait prédit avant la rencontre le vainqueur de son compatriote Gilles Simon samedi en demi-finale, avec l'objectif "de prendre (son adversaire) à la gorge et de ne pas le laisser souffler".
Deux aces pour remporter le deuxième set
En début de match, il en va tout autrement, et c'est Berdych, qui avait expédié le Russe Tursunov la veille, qui s'impose tranquillement lors d'un premier set où Tsonga multiplie les fautes directes. Le Tchèque fait le break au sixième jeu pour mener 4-2 tandis que le Français s'énerve et court davantage que son adversaire. Signe de sa confiance, Berdych remporte la manche 6-3 sur un coup droit de volée à mi-court.
La deuxième manche est plus serrée, même si la qualité de service du sixième mondial lui permet de remporter ses jeux plus facilement que le numéro un français et huitième mondial : Tsonga sauve une balle de break à 4-4, quand son adversaire égalise à 5-5 sur un jeu blanc. Les deux suivants se ressemblent et amènent les deux joueurs au jeu décisif. Tsonga mène 4-1, mais le solide Berdych égalise et s'offre même une balle de match. Tsonga sort alors deux aces au bon moment et remporte le set 7-6 (huit points à six).
Cette victoire, "je la mérite"
Galvanisé, il lâche enfin ses coups dans la dernière manche et joue beaucoup mieux, tandis que Berdych met à son tour des balles dans le filet ou trop longues. Le Manceau fait alors le break pour mener 2-1, puis 3-1 sur deux belles montées. A 5-4, il sert pour la victoire et ne laisse pas passer sa première balle de match.
"C'est toujours très frustrant, a déclaré Berdych après la rencontre. Cela se joue sur peu de points, à de petits détails. J'ai eu l'occasion de conclure au deuxième set, mais Jo a été capable de bien servir à ce moment-là. "Dans un match comme ça, on survit", a reconnu l'intéressé, refusant néanmoins de qualifier sa victoire de "hold-up": "Je la mérite parce que je suis resté dans le match même quand c'était difficile, je n'ai rien lâché alors que beaucoup se seraient découragés à force de recevoir des pains et des parpaings", a-t-il dit, avant de prendre l'avion pour Dubaï où il joue mardi.
Tsonga n'avait plus battu de membre du top 8 depuis presque un an et demi. Sa dernière victoire contre un joueur aussi bien classé remontait à novembre 2011 au Masters à Londres... déjà contre Berdych.

dimanche 24 février 2013

Le classico PSG-OM en live ici ce soir

match le plus attendu de la saison, le joueur le plus attendu de l’année… tout est réuni pour faire de ce PSG-OM le sommet de la Ligue 1. Finis les chocs survendus entre deux équipes de milieu de tableau comme au milieu de la décennie 2000, place à l’opposition entre le premier et le troisième, les probables débuts de la star britannique David Beckham et la présence du meneur de jeu de l’équipe de France Mathieu Valbuena. Rassurez-vous les nostalgiques, il y aura quand même Jérémy Morel sur la pelouse.
>> Parce que le Spice Boy va fouler la pelouse du Parc des Princes, rendez-vous à partir de 20h50 pour suivre ce match en live

Suivez le match PSG-OM en direct ici en cliquant sur ce lien .............

Cyclisme: la France championne du monde

La paire française formée de Vivien Brisse et Morgan Kneisky a remporté la course à l'américaine dans les Championnats du monde de cyclisme sur piste, dimanche à l'Arena Minsk. Brisse et Kneisky ont battu l'Espagne et l'Allemagne au terme des 200 tours de piste entrecoupés de dix sprints.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/24/97001-20130224FILWWW00098-cyclisme-la-france-championne-du-monde.php

samedi 23 février 2013

vendredi 22 février 2013

Transferts suspects à l'OM : des écoutes téléphoniques compromettantes

La police suspecte l'OM d'entretenir des liens avec le milieu du grand banditisme. Des écoutes téléphoniques ont été menées sur plusieurs personnes du club. Et leurs contenus, révélés par RMC, laissent à penser qu'une partie des transferts de certains joueurs serait reversé via des rétro-commissions à des membres de la pègre locale.
L'Olympique de Marseille à nouveau dans la tourmente judiciaire. RMC Sport vient de publier des extraits de conversations téléphoniques particulièrement compromettantes pour le directeur sportif du club, José Anigo. Ces écoutes ont été menées par la police dans le cadre d'une information judiciaire pour extorsion en bandes organisées et associations de malfaiteurs. Selon la radio, le contenu de ces conversations est édifiant sur les pratiques financières du club, notamment en matière de transferts.
Plusieurs transferts suspects intéressent les enquêteurs, notamment ceux de Samir Nasri et d'André-Pierre Gignac. Concernant celui de l'ancien meneur de jeu marseillais, vendu à Arsenal à l'été 2008, José Ango sous-entend qu'une partie du montant du transfert aurait pu finir dans les poches de Pape Diouf, l'ancien président de l'OM.
Extrait : "Sur les transferts qu'il faisait, il était rémunéré parce qu'il y avait les primes. C'est-à-dire que quand il a acheté par exemple un mec à 1 million, s'il le vendait 3 millions, il avait un pourcentage sur la plus-value (...) Quand on vend Nasri 16 millions, je ne m'explique pas tellement comment il reste 10 millions dans les caisses du club (...) Comment ils ont fait M. Fournier (Julien Fournier est l'ancien secrétaire général de l'OM) et M. Diouf pour donner une prime au père de Nasri qui n'est pas agent et au joueur, alors qu'il quitte club (...) Il va se passer que peut-être la justice va tout simplement regarder le transfert de Nasri et où ils sont passés ces 6 millions. Peut-être que Pape Diouf il les a pas mis dans sa poche, mais on peut considérer que le père de Nasri, qui n'est pas agent, il n'a pas le droit d'en toucher une partie (...) On peut considérer que Bernès (Jean-Pierre Bernès est l'agent de Samir Nasri) en a mis une partie. On peut considérer que peut-être quelqu'un en a rétrocédé à un autre."
"Il y a des choses qu'il ne faut pas dire au téléphone"
L'arrivée d'André-Pierre Gignac sur la Canebière aurait également permis de verser des rétro-commissions à divers intermédiaires issus du milieu du grand banditisme marseillais, toujours selon les informations de RMC Sport. Les agents du joueurs, Christophe D'Amico et Jean-Christophe Cano, sont eux-mêmes suspectés d'entretenir des liens avec la pègre locale.
D'autres éléments laissent à penser que les transferts à Marseille font l'objet de rétro-commissions destinées à des personnes extérieures au club. Les enquêteurs évoquent notamment une conversation équivoque entre José Anigo et l'agent du défenseur Nicolas Nkoulou, Maxime Nana. "Anigo lui indique qu'il a surévalué le prix du joueur auprès de ses dirigeants. L'agent s'énerve et rétorque qu'il y a des choses qu'il ne faut pas dire au téléphone. On comprend lors de la conversation suivante entre les deux hommes, que le sujet était celui des rétro-commissions", rapportent les enquêteurs.
Autre révélation, cette fois sans lien direct avec l'enquête, mais qui va intéresser tous les supporters de l'OM. José Anigo confirme l'envie de Margarita Louis-Dreyfus de vendre le club dans les prochains mois, après la fin des travaux du Vélodrome.

Wenger ne démissionnera pas

Arsène Wenger a affirmé qu'il ne quitterait pas son poste à Arsenal, malgré les mauvais résultats de son club cette saison, et fera un point avec ses dirigeants à la fin de son contrat en 2014.

Fidèle au poste. Malgré la défaite à domicile face au Bayern Munich (3-1) en huitième de finale aller de la Ligue des Champions, malgré les féroces critiques son encontre, Arsène Wenger ne quittera pas le navire. Le technicien français l'a affirmé ce vendredi en conférence de presse : il ne démissionnera pas et fera un point avec ses dirigeants à la fin de contrat, en juin 2014. Wenger a insisté ce vendredi : il n'a jamais pensé à partir. "Jamais je n'y pensé. Pas une seule seconde. Je ne pense pas que la volonté d'entraîner ait quelque chose à voir avec l'âge. C'est simplement qui vous êtes et si vous êtes motivés par la volonté de gagner et à quel point vous avez cette mentalité de vainqueur. Si aujourd'hui je joue en un-contre-un avec vous, vous verrez que je vous bats. Et au moins, si je ne vous bats pas, je vais vouloir vous battre. Cela ne changera jamais tant que je pourrai bouger", a confié Wenger, à la veille d'une match à domicile face à Aston Villa.
"Ce qui est important pour moi est le prochain match et faire de mon mieux, comme les joueurs. Il faut que nous restions unis et soudés" a-t-il poursuivi. Jeudi, Wenger a participé au conseil d'administration mensuel du club, en compagnie notamment de l'actionnaire majoritaire, le milliardaire américain Stan Kroenke, qui avait assisté mardi au match face au Bayern. "La réunion s'est passée normalement, comme d'habitude. On a parlé de plusieurs choses, le coté commercial, le prix des places, les plans sur le long terme. J'ai aussi fait mon rapport technique. Bien sûr, il n'y avait pas d'euphorie après la déception de mardi", a expliqué Wenger qui a été conforté dans ses fonctions par le conseil d'administration.
"J'ai un contrat jusqu'à la fin (de la saison) 2014 et nous sommes sur un plan à court terme pour deux raisons: parce que je suis là depuis longtemps et parce que je vais devoir décider sur ce que je veux faire. Tout cela sera décidé en 2014, pas avant", a conclu le Français.

http://www.eurosport.fr/football/premier-league/2012-2013/arsenal-arsene-wenger-ne-demissionnera-pas-et-ira-jusqu-en-2014_sto3634781/story-lci.shtml

jeudi 21 février 2013

Un an après, Abidal peut rejouer

Éric Abidal a reçu le feu vert des médecins du FC Barcelone pour rejouer avec l'équipe première, indique le club espagnol sur son site officiel.

C'était le 26 février 2012, soit il y a presqu'un an jour pour jour, le dernier match officiel disputé par Éric Abidal. Une victoire sur le terrain de l'Atletico Madrid (1-2). Puis il y a eu l'opération, la rééducation et enfin la résurrection : le voilà à disposition de Tito Vilanova, prêt à rejouer sous le maillot barcelonais. Le latéral tricolore a reçu le feu vert du corps médical du club catalan, annonce le leader de la Liga sur son site officiel.
"Après l'entraînement de ce matin (NDLR: jeudi), Eric Abidal a reçu la bonne nouvelle : il a obtenu le feu vert des médecins et est ainsi à disposition de l'équipe pour la fin de la saison", explique le communiqué. Transplanté d'un rein le 10 avril 2012, l'ancien Lyonnais s'est d'abord longuement reposé avant de passer un séjour, en octobre, au Val d'Aran, où il a pu retoucher au ballon lors d'un stage d'entraînement spécifique.
Nul ne sait si Tito Vilanova a l'idée de le faire jouer rapidement. L'international français a en tout cas fait son retour à l'entraînement il y a peu et participe aux séances sur un rythme élevé. Près de dix mois après son opération, il ne s'expose à aucun risque majeur et les coups externes ne pourront pas affecter sa cicatrice.

http://www.eurosport.fr/football/liga-1/2012-2013/barca-eric-abidal-autorise-a-rejouer-par-les-medecins_sto3633142/story-lci.shtml

mercredi 20 février 2013

La revanche de Pervis

Sept mois après sa déception des JO de Londres, pour lesquels il n'était que remplaçant en vitesse par équipes, François Pervis a décroché l’or sur le kilomètre aux Mondiaux sur piste.

François Pervis a remporté mercredi le kilomètre, le premier titre décerné dans les Championnats du monde sur piste à Minsk. Pervis, qui n'avait encore jamais enlevé de titre mondial, a été crédité du temps de 1'00''221 pour boucler le kilomètre départ arrêté. Le Lavallois de 28 ans a repoussé à 64 centièmes de seconde le Néo-Zélandais Van Velthooven, troisième l'an passé. L'Allemand Joachim Eilers a pris la troisième place. Pervis a succédé au palmarès des Mondiaux à l'Allemand Stefan Nimke, qui a pris sa retraite internationale après les JO de Londres.

http://www.eurosport.fr/cyclisme/mondiaux-sur-piste/2013/mondiaux-sur-piste-francois-pervis-champion-du-monde-du-kilometre_sto3632007/story-lci.shtml

mardi 19 février 2013

Williams présente sa nouvelle FW35

Williams a présenté mardi sa nouvelle FW35 à moteur Renault, dans les stands du circuit de Barcelone, juste avant le début de la deuxième semaine d'essais de préparation à la saison 2013.

Cette monoplace est "une évolution de la FW34 de 2012, elle est meilleure et plus raffinée, avec plus de 80% de nouvelles pièces", a expliqué le directeur technique de Williams F1, Mike Coughlan, en soulignant que la boîte de vitesses avait déjà effectué plus de 3.200 km sur le banc d'essai de l'écurie anglaise. Il y a moins d'un an, début mai sur cette même piste, le Vénézuélien Pastor Maldonado avait remporté au volant de la Williams-Renault le GP d'Espagne, première et seule victoire de sa carrière en F1, à la surprise générale.
Toujours soutenu par le gouvernement d'Hugo Chavez et la société nationale des pétroles (PDVSA), Maldonado, qui attaque sa troisième saison chez Williams, a changé d'équipier cet hiver: le Finlandais Valtteri Bottas, débutant en F1, a pris la place du Brésilien Bruno Senna qui va se reconvertir en GT, chez Aston Martin. Autre évolution notable et récente, l'Autrichien Toto Wolff, qui apparaissait comme le nouvel homme fort de l'écurie de Grove, a été débauché par Mercedes, comme dirigeant-actionnaire de la marque à l'étoile, chargé de toutes les activités sportives.
A 70 ans, Sir Frank Williams reste donc le seul et unique patron, bien aidé par sa fille Claire: "Un groupe de gens talentueux et courageux, avec beaucoup d'imagination, a beaucoup travaillé pour concevoir cette FW35. Nous pensons qu'elle marque un pas en avant par rapport à celle de l'an dernier, qui était déjà très compétitive", a affirmé Sir Frank.

http://www.eurosport.fr/formule-1/saison-2013/2013/williams-presente-sa-nouvelle-fw35-a-barcelone_sto3629838/story-lci.shtml

lundi 18 février 2013

Clerc: "Casser la dynamique négative"

Auteur de 34 essais avec les Bleus, le "match-winner" Vincent Clerc fait son retour au sein du groupe, remis de sa lésion musculaire qui l’a privé des deux premiers matchs du Tournoi des 6 Nations.

Dans quel état d’esprit avez-vous retrouvé vos partenaires après les deux défaites inaugurales ?
Vincent CLERC: Je crois que la semaine de coupure a fait du bien. Tout le monde a la banane. L’envie d’en découdre aussi. L’ambiance est studieuse aux entraînements. Tu sens la perspective d’un gros match. Il y a de l’enthousiasme au sein du groupe, il ne reste plus qu’à le retranscrire sur le terrain.
Comment avez-vous vécu les deux premières rencontres ?
C.V: Personnellement, la petite blessure m’a permis de me régénérer. Après, c’est difficile quand tu n’es pas acteur. Il y a beaucoup de frustration à vivre les matchs devant ton écran de télévision. Tu aimes participer à ce genre de match, pas être spectateur. Après, je ne pense pas qu’il faille tout remettre en question. Il faut poursuivre le travail entrepris et je suis sûr que cela va se débloquer très vite. C’est la vie d’une sélection nationale de connaître des hauts et des bas.
Que représente un match face aux Anglais ?
C.V: Un choc. Un grand moment à vivre. Face aux Anglais, il y a une rivalité sportive que tu retrouves dans toutes les confrontations. Même en club, lorsqu’en Coupe d’Europe, tu affrontes une formation anglaise. Souvent, ce match permet à l’une ou l’autre équipe de casser le rêve de son adversaire notamment lors des Coupes du monde. Ils l’ont fait à deux reprises en 2003 et 2007 en demi-finale, on l’a fait en 2011 en quart.
Une victoire samedi est-elle réellement possible ?
C.V: Pourquoi pas. De toutes les façons, nous sommes des compétiteurs et l’on entre toujours sur un terrain avec l’espoir de battre son adversaire. Après, gagner à Twickenham, ce serait un authentique exploit. Cela nous permettrait de casser cette dynamique négative. D’emmagasiner à nouveau de la confiance.

http://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2013/xv-de-france-clerc-casser-la-dynamique-negative_sto3628962/story-lci.shtml

dimanche 17 février 2013

Marta Dominguez aurait été cliente du docteur Fuentes

De nouvelles révélations dans l'affaire Fuentes. D'après le quotidien El Pais, Marta Dominguez aurait été cliente du sulfureux médecin espagnol et ce dès 1997. Elle est considérée comme la meilleure athlète espagnole de tous les temps.

L'athlète espagnole Marta Dominguez, ancienne championne du monde du 3000 m steeple, aurait été, selon l'édition dominicale du journal El Pais, cliente "depuis au moins décembre 1997" du docteur Fuentes, principal accusé dans le procès de l'affaire de dopage Puerto. Le quotidien espagnol, qui a eu accès aux documents saisis chez Fuentes par la Guardia Civil en 2006, mentionne l'inscription "MARTA DGZ" retrouvée sur une prescription de Fuentes datant de décembre 1997 ainsi qu'un autre planning de dopage marqué "MZD" en 2005.
"Tous ces documents indiqueraient que Marta Dominguez, la meilleure athlète espagnole de tous les temps et élue sénatrice du Parti populaire en 2012 à Palencia (...) fut cliente présumée de Fuentes depuis au moins décemmbre 1997, quand elle avait 22 ans", écrit le journal. El Pais se sert particulièrement de ce dernier document pour étayer ses accusations contre l'ancienne championne du monde, en faisant remarquer que les dates de compétition indiquées sur la feuille correspondent en tous points aux dates de la saison 2005 de Marta Dominguez.
El Pais a rappelé une autre coïncidence troublante: l'existence de deux poches de sang au nom d'Urco dans les quelque 200 poches saisies en 2006 chez Fuentes, quand Marta Dominguez a par le passé admis avoir eu un chien s'appelant Urco. Or, la semaine dernière, les cyclistes Basso et Jaksche avaient reconnu devant la juge de l'affaire Puerto qu'ils avaient choisi les noms de leurs chiens comme noms de code pour identifier leurs poches de sang. De son côté, l'avocat de l'athlète, José Rodriguez, a lui expliqué que sa cliente niait toute implication dans l'affaire Puerto: "Marta Dominguez nie toute relation médicale avec le docteur Fuentes, de la même manière qu'elle nie l'usage de substances et de méthodes interdites. Ma cliente fait savoir qu'elle exigera des responsabilités civiles ou pénales à quelconque article contenant des affirmations inexactes".
Marta Dominguez, désormais âgée de 37 ans, avait précédemment été citée dans l'affaire Galgo, concernant un réseau de dopage démantelé en 2009 dans les milieux de l'athlétisme. Mais l'athlète avait ensuite été mise hors de cause, la justice ayant estimé que les écoutes téléphoniques ayant servi à étayer l'affaire étaient insuffisamment motivées et devaient être annulées.

http://www.eurosport.fr/athletisme/espagne-marta-dominguez-aurait-ete-cliente-du-docteur-fuentes-(presse)_sto3627189/story-lci.shtml

samedi 16 février 2013

Ligue 1 : Marseille bat Valenciennes

L'Olympique de Marseille a arraché la victoire à domicile face à Valenciennes (1-0) grâce à un but de Rod Fanni dans les arrêts de jeu. Grâce à ce succès difficile, les Phocéens reprennent la deuxième place du championnat avec un point d'avance sur Lyon qui jouera demain à Bordeaux.

Résultats de la 25e journée :
Vendredi 15 février
Lille Rennes 2-0

Samedi 16 février
Marseille Valenciennes 1-0

20h00
Bastia - Nice
Brest - Ajaccio
Lorient - Evian
Montpellier - Nancy
Toulouse - Troyes

Dimanche 17 février 14h00
Bordeaux - Lyon

17h00
Reims - Saint-Etienne

21h00
Sochaux - Paris SG


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/16/97001-20130216FILWWW00423-ligue-1-marseille-bat-valenciennes.php

vendredi 15 février 2013

Ménez, vive explication avec Ancelotti et Leonardo

Frustré par son temps de jeu, Jérémy Ménez aurait eu une altercation avec Carlo Ancelotti et Leonardo d’après Le Parisien. L’international français songerait même à un départ lors de l’été.

L’assemblage de stars ne fait pas que des heureux au sein du vestiaire parisien. Selon Le Parisien du jour, Jérémy Ménez, qui n’était pas titulaire mardi pour le huitième de finale aller de la Ligue des Champions à Valence (2-1), aurait eu une vive explication avec Carlo Ancelotti et surtout Leonardo après la rencontre.
Selon le quotidien, l’ancien Sochalien, rentré à la 76e minute, a poussé un coup de gueule devant son faible temps de jeu lors d’un match de cette importance. Il pourrait écoper d’une sanction. Mais sa frustration ne se résume pas à cette rencontre. Depuis l’arrivée de Lucas, l’ancien joueur de la Roma et de Monaco a vu son statut évoluer et ses minutes diminuer.
Régulièrement titulaire jusque-là, il n’a été aligné que trois fois d’entrée en sept matches depuis. Une nouvelle donne qui lui reste en travers de la gorge. D’après Le Parisien, il pourrait ainsi réfléchir à un départ en juin prochain, face à cette intense concurrence.

http://mercato.eurosport.fr/football/ligue-1/2012-2013/psg-jeremy-menez-a-eu-une-vive-explication-avec-carlo-ancelotti-et-leonardo_sto3623765/story-lci.shtml

"Meurtre avec préméditation" pour Pistorius ?

Oscar Pistorius va rester incarcéré après le renvoi de l'audience. Le parquet s'apprête à demander à requalifier l'affaire en "meurtre avec préméditation", selon un magistrat.

Oscar Pistorius a comparu ce vendredi pour la première fois devant le tribunal de Pretoria. Vêtu d'un costume noir sur une chemise bleu ciel, Pistorius est entré vers 11H30 dans une salle d'audience trop petite pour contenir les nombreux médias venus du monde entier, et devant laquelle il s'est effondré. Le coureur de 26 ans aux lames de carbone, dont la ténacité avait forcé l'admiration de millions de fans dans le monde, a longuement sangloté, se couvrant le visage et fixant le sol tandis que l'acte d'accusation lui était lu, a constaté une journaliste de l'AFP sur place.
La justice sud-africaine a désigné dans cette affaire un magistrat coutumier des grands procès, Desmond Nair, mais Pistorius ne l'a pas regardé quand celui-ci l'a salué puis lui a demandé de se calmer et de s'asseoir. De nombreux proches de l'athlète, dont son père Henke et sa soeur Aimee assis au premier rang, étaient présents, muets face à la presse et visiblement anéantis. Ils ont pu s'approcher de l'accusé et lui prodiguer des tapes dans le dos pour le réconforter. Le juge a ensuite renvoyé à mardi et mercredi les audiences au cours desquelles la défense de Pistorius pourra demander une hypothétique remise en liberté sous caution. La police avait déjà exclu la thèse de l'accident jeudi et le parquet va même demander à requalifier l'affaire en "meurtre avec préméditation" passible d'une peine de prison pouvant aller jusqu'à la perpétuité. Il y a trois ans, Pistorius s'était déclaré favorable à la peine de mort, abolie en Afrique du Sud en 1995, pour les crimes de sang.
"Habillez-vous en noir vendredi"
A l'issue de l'audience devant le tribunal de Pretoria, qui a duré moins d'une heure, l'athlète a été transféré en cellule au commissariat de Brooklyn, un quartier aisé de Pretoria. Star dans son pays, légende de l'athlétisme mondial et exemple pour des millions de jeunes sportifs, Oscar Pistorius est le seul suspect dans le meurtre de Reeva, un mannequin sud-africaine de 29 ans, blonde comme toutes les conquêtes du coureur qui la fréquentait depuis novembre. Selon le quotidien afrikaner Beeld, Pistorius aurait tiré sur Reeva à travers la porte de la salle de bains où le corps de la jeune femme a été retrouvée, vêtue d'un déshabillé. Une information non confirmée dans l'immédiat par la police. La jeune femme s'était fait une joie de cette première Saint-Valentin avec Pistorius. Mais selon Beeld, la police a été appelée une première fois dans la soirée par des voisins après des cris d'une dispute provenant du logement de Pistorius, situé dans un complexe résidentiel haut de gamme très sécurisé. La police a été appelée une seconde fois dans la nuit après les coups de feu.
Au lendemain du drame, c'est le portrait d'un Oscar Pistorius caractériel et à l'opposé de l'image admirable qu'il donnait de lui sur les pistes d'athlétisme qui émergeaient dans de nombreux articles de la presse sud-africaine. Mais de nombreux fans avaient toujours du mal à y croire: "C'est quelque chose qui pourrait arriver à n'importe qui", affirmait Shadrack Mafutsa, un étudiant en droit de 32 ans, convaincu que Pistorius a confondu sa petite amie avec un voleur. La police a de son côté achevé son enquête sur le lieu du crime jeudi après-midi. Vendredi, le corps de Reeva était toujours en cours d'autopsie et sa famille devait venir l'identifier formellement.
La veille de son décès, la jeune femme avait pris fait et cause dans un tweet pour la défense des femmes victimes de violences sexuelles, dans un pays où la fréquence des viols s'aligne sur celle d'un pays en guerre. Elle avait fait suivre sur son micro-blog un message militant: "Habillez-vous en noir vendredi pour soutenir la campagne contre le viol et les violences faites aux femmes", se joignant à l'indignation générale suscitée par le récent viol collectif d'une adolescente début février près du Cap. La jeune femme figure au casting d'une émission de télé-réalité tournée à la Jamaïque qui doit être diffusée à partir de samedi et dont la chaîne publique SABC veut maintenir la diffusion comme prévu.
http://www.eurosport.fr/athletisme/pistorius-le-parquet-veut-requalifier-l-affaire-en-meurtre-avec-premeditation_sto3624052/story-lci.shtml

jeudi 14 février 2013

Martin Fourcade champion du monde

Le Français Martin Fourcade a remporté le 20 km des Championnats du monde 2013 de biathlon, aujourd'hui à Nove Mesto.

Fourcade, déjà triple médaillé d'argent à Nove Mesto (relais mixte, sprint, poursuite), a décroché à 24 ans le cinquième titre mondial de sa carrière.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/02/14/97001-20130214FILWWW00688-martin-fourcade-champion-du-monde.php

Le chef d'oeuvre de Worley

Vingt ans après Carole Merle, Tessa Worley est devenue championne du monde de géant, à Schladming. La quatrième médaille pour la France, la deuxième en or. En tête à mi-course, la Française a survolé la seconde manche pour signer le meilleur temps des deux passages. Tina Maze et Anna Fenninger ont complété le podium.

Après Marion Rolland, en descente, Tessa Worley a offert une deuxième médaille d'or au camp tricolore, ce jeudi, à Schladming. Meilleur temps des deux manches, la Bornandine de 23 ans a survolé l'épreuve pour décrocher le titre suprême. Tina Maze et Anna Fenninger ont complété le podium, reléguées très loin derrière la Française. L'équipe de France n'avait pas été à pareille fête depuis 1993 et Carole Merle dans cette discipline.
En 2'08"06, la technicienne tricolore a relégué la concurrence à des années-lumière : la Slovène, tenante du titre, impériale depuis Sölden dans la discipline et assurée du globe de cristal avant même la fin de la saison, et l'Autrichienne ont respectivement accusé 1"12 et 1"18 à l'issue des deux passages. Un fossé provoqué par une fantastique Tessa Worley qui était bien la plus forte sur une Planai verglacée.
Partie avec le dossard un le matin, la Française avait créé d'énormes écarts à mi-course. A la recherche d'un premier succès cet hiver, Worley a choisi idéalement son heure. Il y a deux ans, à Garmisch-Partenkirchen, après être passée à côté le matin, elle avait lâché les chevaux ensuite pour se parer de bronze. Cette fois-ci, il n'y a pas eu de retard à l'allumage. Ultra-dominatrice, Worley a vécu une journée de rêve : "Je n'en reviens pas. C'était hyper difficile car je la voulais tellement celle-là, s'est félicité la souriante compagne de Julien Lizeroux, présent en bas de la piste et venu supporter sa dulcinée. "J'ai fait mon ski à fond à fond et je voulais gagner les deux manche. J'ai atteint ce but.Maintenant, j'ai envie de savourer ce moment, cette journée jusqu'à la dernière minute".

http://www.eurosport.fr/ski-alpin/mondiaux-schladming/2012-2013/mondiaux-schladming-tessa-worley-championne-du-monde-de-geant_sto3622840/story-lci.shtml

Natation : Federica Pellegrini s'entraînera à nouveau avec Philippe Lucas

La championne olympique Federica Pellegrini va réintégrer l'équipe de nageurs de Philippe Lucas. Elle entraînera à Narbonne jusqu'au prochain JO de Rio en 2016.
L'Italienne Federica Pellegrini, championne olympique du 200m nage libre en 2008, rejoindra en septembre prochain son ancien entraîneur Philippe Lucas à Narbonne, dans l'Aude. L'information n'a cependant pas été confirmée par Philippe Lucas, qui s'occupe à Narbonne d'un groupe de nageurs, dont Amaury Leveaux, champion olympique du 4X100m et vice-champion du 4X200m à Londres l'été dernier.
La quadruple championne du monde, qui devrait être accompagnée de son compagnon, le nageur Filippo Magnini, avait déjà été entraînée durant six mois à partir de février 2011 par Philippe Lucas, avec lequel elle a remporté son dernier titre de championne du monde du 400m nage libre à Shanghai. Au retour des Mondiaux 2011, elle s'était séparée de lui pour rejoindre l'Italien Federico Bonifacenti.
Federica Pellegrini, 24 ans, "restera à Narbonne jusqu'aux jeux Olympiques de Rio" en 2016, a affirmé son porte-parole Marco Del Checcolo au quotidien L'Indépendant. "Elle définira tous les détails de sa future collaboration avec Philippe Lucas lorsqu'il viendra en stage à Vérone le 24 février", a-t-il ajouté

mercredi 13 février 2013

LIVE PSG TV...premier entrainement de David Beckham


LIVE PSG TV par PSG

Vercruysse ne mâche pas ses mots

Dans une longue interview qu'il nous a accordée à l'occasion de son séjour à Dinard, où il suit actuellement, au Campus Sport Bretagne (1), sa formation d'entraîneur, l'ancien milieu international (12 sélections) Philippe Vercruysse (51 ans) a abordé nombre de sujets liés au football. Le métier d'entraîneur et ses aspirations (voir notre édition papier), bien sûr, mais pas que... Les médias, le football français, l'équipe de France, Houllier, Platini, Tapie : Vercruysse ne mâche pas ses mots. "Je suis honnête, je dis ce que je pense", assène-t-il.

Le "système français".
"C'est simple, en France, on ne fait pas jouer les meilleurs joueurs", assure
Philippe Vercruysse. Avant d'illustrer ses propos : "On a perdu la Coupe d'Europe contre l'Etoile Rouge Belgrade (1991, défaite de l'OM, 0-0, 5-3 aux tab) à cause de ça : on a mis des gens sur le terrain parce qu'ils étaient plus jeunes donc avec une valeur marchande plus importante. Et on a mis Tigana dans les tribunes (sur le banc en réalité, N.D.L.R.).
Mais rien qu'avec lui, je ne parle même pas de moi (Vercruysse était remplaçant mais entré en jeu à la 75e minute), non, rien qu'avec Tigana sur le terrain, on gagnait la Coupe d'Europe. Se permettre de mettre en tribune un tel joueur, avec un tel volume de jeu, il faut être fou. Même à 35 ans, il avait sa place. Et là on parle d'une finale de Coupe d'Europe, pas d'un match amical.
Regardez à l'étranger : Thierry Henry, même avec son gros salaire, il était sur le banc à Barcelone. C'est Pedro qui jouait. Parce qu'il était meilleur !"

Carrière semée d'embûches.
"S'il y avait eu la loi Bosman avant (2), peut-être que je ne serais resté qu'un quart d'heure dans le
football français. Juste le temps de faire mes valises !" Par ces mots, l'ancien milieu de terrain résume une carrière que beaucoup lui promettaient radieuse, en club comme en équipe de France, mais qui n'a pas atteint les sommets promis.
En équipe de France, d'abord. "Au Mondial 86, lors du match pour la troisième place, la nouvelle génération était sur le terrain. Sauf qu'après, les dirigeants se sont mis à faire n'importe quoi : l'équipe changeait sans arrêt. Résultat : on rate la Coupe du monde 90, on rate 94..."
Le débit est rapide, le discours vif et acéré, la réaction épidermique. Les souvenirs ravivent, plus de vingt ans après, une déception incommensurable. "Bien sûr, j'aurais aimé jouer plus en équipe de France. Mais, à son arrivée (comme sélectionneur, en 1988), Platini disait que les numéros 10 ne servaient plus à rien dans le
football. Puis Houllier derrière... Forcément, ma carrière internationale était terminée."
Et en club ? Il a connu la belle époque marseillaise quand même ! De bons souvenirs : "On réalise le doublé Coupe-championnat en 89. Et c'était avant l'arrivée des Francescoli, Stojkovic, Waddle, Mozer, Amoros, Abedi Pelé ! J'avais fait à peu près 34 matchs (35) sur 38 matchs de D1 cette saison-là, j'avais grandement participé à ce doublé." Et de moins bons souvenirs : "Je me suis souvent retrouvé sur le banc ensuite. Mais bon, c'était de notoriété publique, Tapie faisait l'équipe."
"Tapie, Bez... des présidents condamnés par la justice. Je les ai collectionnés...", souffle Vercruysse.

Il devait être le successeur de Platini...
"C'est une erreur de comparer les joueurs. Les médias ne devraient pas faire ça, ce n'est pas bon quand on est jeune. Platini et moi, Platini et Zidane, Zidane et Gourcuff... J'ai été victime d'injustice. On m'a mis au placard en équipe de France, on ne va pas répéter l'histoire avec Gourcuff (retrouver ses propos sur le milieu breton dans notre édition papier, N.D.L.R.) !"
Aujourd'hui encore, Vercruysse conserve de la considération pour Platini. Il admirait et admire toujours le joueur, il est bien moins élogieux avec l'homme, intronisé sélectionneur en 88. "Platini, c'était mon idole, un vrai numéro 10, le meilleur de tous les temps selon moi. Pelé est sur une autre planète, Maradona, Cruyff, Messi, eux, ce sont des génies, des électrons libres. Platini était un numéro 10 : il avait une vision du jeu fabuleuse, il faisait jouer les autres, avait le génie de la passe, il était en plus un grand buteur. Mais l'homme m'a beaucoup déçu, il n'a pas aidé la nouvelle génération. Il a tendance à être jaloux. C'était lui et personne d'autre."

L'équipe de France.
Le préambule est sans concession pour Raymond Domenech, sélectionneur de 2004 à 2010. "Son livre (Tout seul, sorti en 2012), je ne l'ai même pas lu : on est dans le ridicule. Il attaque les joueurs, mais il ne fallait pas les sélectionner !"
Et Vercruysse de dresser un système de starification des joueurs qui conduirait inévitablement à l'échec : "On donne beaucoup d'argent aux joueurs, on dit que ce sont les meilleurs du monde. Mais il faut qu'ils aient des résultats avant, qu'ils aient prouvé quelque chose. S'ils n'ont rien prouvé et qu'on les met déjà sur un piédestal, qu'on les mythifie, qu'on les statufie... Que voulez-vous leur dire après ? Vous ne pouvez plus émettre une seule critique. C'est terminé !
Une certaine presse est aussi responsable de ça. Car elle fait des papiers pour "vendre" ces joueurs. Ribéry, c'est un exemple. Je n'ai rien contre lui mais il est resté cinq ans sans marquer un but en équipe de France (trois ans pour être exact, du 1er avril 2009 au 27 mai 2012).
Ginola, lui, il a manqué un centre (contre la Bulgarie 1-2, match qualificatif pour le Mondial 94 qui a vu l'élimination des Bleus)... Et encore, je ne devrais pas dire ça. On rate un penalty, oui, pas un centre."

Ginola - Houllier.
"Ginola, on a dit qu'il avait commis un crime. Il manquait un point contre Israël et la Bulgarie pour se qualifier (pour le Mondial 94). France - Israël, David Ginola marque un but splendide et fait marquer le deuxième. Gérard Houllier, il le sort : son meilleur joueur sur le terrain !
Et, par contre, on en prend trois (buts) - contre Israël sans dénigrer - et Houllier ne sort pas un seul des gars de derrière. Faut-il vraiment un diplôme d'entraîneur pour voir ça ? Le match qui suit, Ginola est sur le banc. Houllier, c'est lui qui devait qualifier l'équipe, or Ginola était en train de lui voler la vedette. Il est là, le problème. Or un entraîneur doit rester dans l'ombre. La lumière, elle est sur les joueurs. Houllier, c'était lui la star. Je le connais, c'est un faux-modeste. Il a un ego surdimensionné. Il devait qualifier l'équipe de France. Or Ginola était en train de lui voler la vedette. Un entraîneur ne doit pas être mégalo."

L'argent.
"Avant, on parlait d'abord de titres, de coupes. On pensait au palmarès, l'argent n'était pas le moteur. A mes débuts, en 1980, pendant quatre ans j'ai gagné 800.000 francs anciens par mois (1.200 euros). Et j'étais déjà international.
Le basculement dans l'argent a eu lieu vers 86 et, aujourd'hui, on ne parle plus que d'argent. Les clubs n'en ont jamais assez. Tout le monde se focalise sur le côté financier. Marseille est resté 17 ans sans rien gagner (de 1993 à 2010) alors qu'il avait l'un des hommes les plus riches du monde à sa tête (Robert Louis-Dreyfus).
A un moment donné, l'argent n'est plus le problème. Avant d'en avoir plus, il faut bien l'utiliser. Il y a peut-être un problème de compétences !"

Lyon, son exemple français.
Bien que le septuple champion de France (2002 à 2008) a perdu de sa superbe depuis quelques années, l'Olympique Lyonnais demeure LA structure française de référence aux yeux de
Philippe Vercruysse : "Depuis très longtemps, je suis persuadé que la formation est très importante. Dans cette optique, Lyon est un exemple sur les quinze dernières années en France. Le club a sorti des jeunes, a fait de belles coupes d'Europe et a gagné des titres en France.
Aulas (Jean-Michel, le président lyonnais) a fait du bon boulot. Après, on aime ou on n'aime pas le personnage, mais il faut lui reconnaître ça."

L'entraîneur.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que la vision de
Philippe Vercruysse est tranchée. Voire totalement iconoclaste. "Il n'y a pas de bons entraîneurs, que de bons joueurs ou pas. C'est eux qui font les entraîneurs."
Et si les résultats ne suivent pas ou que les joueurs n'adhèrent pas au discours de l'entraîneur, le couperet doit tomber. "C'est normal. S'il y a de bons résultats, on est dans le vrai. Sinon, c'est qu'il y a des problèmes et l'entraîneur est responsable", appuie l'ancien Bleu, qui s'inspire de l'étranger où le rôle de manager-entraîneur est répandu : "C'est plus simple. L'entraîneur a les pleins pouvoirs. S'il n'a pas les résultats, dehors (il siffle et accompagne la parole d'un balayage de la main)."

1. Ex-Creps, centre régional d'éducation populaire et de sport.
2. L'arrêt Bosman, du nom du joueur belge Jean-Marc Bosman, a contribué, à partir de 1996, à ouvrir les frontières et à libéraliser les transferts sur le continent européen.


http://www.letelegramme.com/sports/football/football-vercruysse-ne-mache-pas-ses-mots-13-02-2013-2003246.php

mardi 12 février 2013

Ligue des champions: Beckham a rejoint le PSG à Valence

Et il s'entraînera mercredi au Camp des Loges...
Le milieu anglais David Beckham est arrivé mardi à Valence en provenance des Etats-Unis pour rejoindre le Paris SG et assister dans la soirée au 8e de finale aller de Ligue des champions de sa nouvelle équipe, a constaté un journaliste de l'AFP.
Après être arrivé dans la matinée à l'aéroport, le joueur de 37 ans, qui s'est engagé le 31 janvier pour une durée de cinq mois en faveur du PSG, a rallié directement à 11h30 française (10h30 GMT) l'hôtel «The Westin», dans le centre-ville de Valence et à 200 mètres du stade Mestalla, dans une berline noire aux vitres teintées.
Accompagné seulement du directeur sportif adjoint Olivier Letang, il en est sorti en souriant et habillé en civil avant de pénétrer dans l'hôtel, suivi par les membres de la sécurité missionnés par le club. En revanche, aucun autre dirigeant ne se trouvait à l'extérieur pour l'accueillir.
L'hôtel avait fait disposer quelques barrières dans le périmètre pour laisser à bonne distance la vingtaine de journalistes, dont quelques-uns de médias espagnols, et la trentaine de curieux venus pour l'occasion. L'un d'eux arborait même un maillot bleu et rouge du PSG.
Aucun membre des forces de l'ordre n'était en revanche visible aux alentours de l'hôtel.
Dans la soirée, le PSG affronte le club local en Ligue des champions.
Beckham, qui a passé le week-end à New York dans le cadre d'un défilé de mode organisé par sa femme, s'est entraîné seul ces derniers jours à Londres avec des membres du staff mis à sa disposition par son club.
A l'issue du match, il doit rentrer à Paris avec ses nouveaux coéquipiers et effectuer avec eux sa première séance d'entraînement mercredi après-midi au Camp des Loges.

http://www.20minutes.fr/sport/1099219-ligue-champions-beckham-rejoint-paris-sg-a-valence

Le scandale Evra

lundi 11 février 2013

Le Castrais Antonie Claassen est la grosse surprise de la liste des 23 pour affronter l'Angleterre. Saint-André a effectué cinq changements. Retour de Clerc.

Le Castrais Antonie Claassen est la grosse surprise de la liste des 23 pour affronter l'Angleterre. Saint-André a effectué cinq changements. Retour de Clerc.

Pas encore une révolution, mais bien une évolution franche. Deux jours après la déroute des Bleus au Stade de France face au pays de Galles (6-16) et alors qu’ils pointent à une indigne dernière place dans le Tournoi des VI nations 2013, le staff de l’équipe de France a décidé de procéder à cinq changements dans le groupe des 23 joueurs appelés à préparer la rencontre face à l’Angleterre, dans deux semaines à Twickenham. Exit Yannick Forestier, Romain Taofifenua, Damien Chouly, Fulgence Ouedraogo et Maxime Mermoz. En remplacement, Philippe Saint-André a rappelé le Clermontois Thomas Domingo en première ligne, le Castrais Christophe Samson en deuxième, Vincent Clerc revient derrière alors qu’en troisième ligne, on note le retour du Toulousain Yannick Nyanga et la surprise du chef: la première sélection du Castrais d’origine sud-africaine Antonie Claassen. "Il était nécessaire de régénérer le groupe mentalement et physiquement. Loin d’être une sanction vis-à-vis des joueurs qui nous quittent, nous voulons retrouver cet état d’esprit qui nous a permis de réaliser un beau mois de novembre. Il fallait se donner des options stratégiques supplémentaires dès lors que ces joueurs étaient sélectionnables", explique Saint-André dans un communiqué.
Fofana au centre, Claassen première
Le double-échec de ce début de Tournoi aura donc fait tomber les premières têtes. Et notamment celles de Maxime Mermoz et Yannick Forestier, titulaires face à l’Italie et au pays de Galles et particulièrement décevant, alors qu’ils faisaient également partie de l’aventure victorieuse de novembre. Pour le premier, il fait aussi les frais de la fin de la blessure de Vincent Clerc, qui sera donc apte pour le déplacement en Angleterre et dont le retour dans le groupe en position d’ailier augure d’un replacement au centre du Clermontois Fofana.
Pour remplacer le second, le retour de Thomas Domingo, grand oublié de la première liste confiera intégralement le poste de pilier gauche à une doublette clermontoise en compagnie de Vincent Debaty. Concernant Claassen, enfin, le changement fait figure de double surprise: il devrait remplacer numériquement Damien Chouly, toujours remplaçant sous l’ère Saint-André et qui n’avait jusque-là eu que peu l’occasion de s’exprimer. L’arrivée en Bleu du Castrais confirme aussi que le sélectionneur n’est pas réfractaire à l’idée de sélectionner des joueurs d’origine étrangère. "Antonie Claassen est le profil de joueur qui va nous apporter de la puissance et son déplacement dans le jeu. Polyvalent en 6 et en 8, nous le suivons depuis 15 mois à Brive, à Castres et avec les Barbarians Français. Il est très bien intégré, parle couramment le français depuis les 6 années qu’il joue en France", précise Saint-André. Et on repense, dès lors, aux hypothèses Vosloo ou Vakatawa...

http://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2013/xv-de-france-claassen-et-clerc-appeles-contre-l-angleterre_sto3618271/story-lci.shtml

dimanche 10 février 2013

Rolland, la course d'une vie !

Sensationnelle Marion Rolland ! La Française est devenue championne du monde de descente à Schladming, dimanche. Partie avec le dossard 22, Rolland a devancé l'Italienne Nadia Fanchini et l'Allemande Maria Hoefl-Riesch. C'est la troisième médaille pour une équipe de France euphorique, la première en or.

http://www.eurosport.fr/ski-alpin/mondiaux-garmisch/2012-2013/mondiaux-schladming-marion-rolland-championne-du-monde-de-descente_sto3616697/story-lci.shtml

Cristiano Ronaldo fait rugir le Real

Emmené par un Cristiano Ronaldo de gala, auteur d’un triplé et d’une passe décisive, le Real Madrid a largement battu le FC Séville (4-1) lors de la 23e journée de Liga.

Santiago-Bernabeu attendait une réaction de son Real après le triste revers concédé la semaine passée à Grenade (1-0). Il a été servi. Porté par un magnifique Cristiano Ronaldo, le club merengue a facilement disposé du FC Séville (4-1) lors de la 23e journée de Liga. Un succès qui permet aux Madrilènes, troisièmes au classement, de revenir provisoirement à quatre longueurs de l’Atletico Madrid, dauphin du Barça. Et qui doit énormément au talent de CR7, auteur d’un triplé et d’une passe décisive.
Si l’attaquant portugais voulait envoyer un message avant ses retrouvailles avec Manchester United, mercredi en 8e de finale de la Ligue des champions, il a particulièrement bien réussi son coup. Après avoir ponctué un débordement d’un centre pour Karim Benzema sur l’ouverture du score du Real (1-0, 18e), Cristiano Ronaldo a signé un but exceptionnel, d’une frappe du gauche somptueuse à la sortie d’un dribble déroutant (2-0, 26e). Un geste magnifique synonyme de break pour la Maison Blanche, et de coup de massue pour une formation andalouse qui avait pourtant réussi un très bon premier quart d’heure dans l’antre madrilène.
Cristiano Ronaldo n’en est pas resté là. Dès la reprise, le Portugais a idéalement exploité une erreur de Fazio sur un ballon en profondeur pour tromper le portier sévillan du pied gauche (3-0, 46e). En état de grâce, CR7 s’est offert son troisième but personnel sur un service impeccable d’Higuain, au terme d’un contre qu’il avait lui-même initié (4-0, 59e). L’expulsion de l’attaquant international argentin pour un deuxième carton jaune (66e) et la réduction du score en fin de match de Del Moral (4-1, 87e) resteront les seuls bémols d’une très belle soirée pour le Real et CR7, qui en est désormais à 24 buts en 23 journées en Liga. Le rendez-vous avec le Manchester United de Robin van Persie promet d’être spectaculaire.
http://www.eurosport.fr/football/liga-1/2012-2013/cristiano-ronaldo-fait-rugir-le-real-madrid-face-a-seville-(4-1)_sto3616256/story-lci.shtml
 

samedi 9 février 2013

Tellement désespérants

Battu à Rome pour l'ouverture du Tournoi, le XV de France a définitivement sombré en s'inclinant face au pays de Galles (6-16). Sans génie et inspiration, les Bleus de Saint-André ne méritaient pas mieux.


Le mal était donc bien profond. Une semaine après avoir été battu à Rome par l'Italie, l'équipe de France s'est inclinée, samedi au Stade de France, face au pays de Galles (6-16). Une défaite finalement logique tant les Bleus n'ont rien produit. Le XV du Poireau, qui restait sur huit défaites d'affilée depuis son Grand Chelem de l'an passé, s'impose pour la première fois à Saint-Denis depuis 2005 ! Samedi, les Bleus ont été atones, incapables de produire un mouvement d'envergure et incapable de forcer son destin.
Contrairement à leur entame de match ratée contre les Irlandais, les Gallois ont investi d'entrée le camp tricolore, les Français étant obligés de camper dans leur moitié de terrain durant les dix premières minutes. Mais les mouvements des coéquipiers de Phillips étaient trop brouillons, entachés de fautes de main. La première charge de Bastareaud (13e), énorme, faisait des dégâts dans la défense adverse et les Bleus s'en remettaient à leur supériorité en mêlée fermée pour ouvrir le score par Michalak (3-0, 15e), imité quelques instants plus tard par Halfpenny (3-3, 18e) après une longue séquence galloise dans les 22 mètres français.
Les Tricolores se montraient enfin un peu dangereux par la suite, mais Huget oubliait Fofana sur son aile, gâchant l'occasion la plus dangereuse du début de match (22e). Sans inspiration, les Bleus tentaient alors d'insister dans l'axe pour fixer la défense galloise mais ils ne parvenaient jamais à faire de différences. Le jeu des deux équipes était stéréotypé au possible… Seul Bastareaud, à l'abattage physique impressionnant, se mettait en évidence. Et les Bleus regagnaient les vestiaires sous les sifflets.
Le pire est à craindre
A la reprise, le XV du Poireau attaquait tambour battant, Halfenny donnait l'avantage aux siens (3-6, 43e). Trinh-Duc, entré à l'arrière en remplacement de Fall, ratait un drop facile (45e) suite à un long pilonnage des Bleus. Face à des Diables rouges qui essayaient de mettre du rythme dans la partie, les joueurs de Saint-André, défensivement en place, colmataient les brèches. Français et Gallois se lançaient dans une partie de «ping-pong rugby». Le coaching battait ensuite son plein, sans que le XV de France n'arrive à se mettre en évidence.
A trop subir, sans rien produire, les Bleus s'exposaient au pire. Et il finit par arriver avec un superbe essai de North (72e), inscrit après un judicieux coup de pied par-dessus la défense. Transformation réussie par Halfpenny, qui dans la foulée passait une autre pénalité (6-16, 76e). Coup de froid sur un Stade de France déjà passablement gelé.
Les Bleus doivent maintenant se déplacer en Angleterre, dans quinze jours, puis en Irlande. Le pire est à craindre. Si les joueurs de Saint-André s'inclinent lors de ses deux déplacement, c'est la cuillère de bois que la France disputera en clôture du Tournoi contre l'Ecosse. On est bien loin des rêves de Grand Chelem claironnés en début de compétition… Triste équipe de France.

http://www.lefigaro.fr/rugby/2013/02/09/02002-20130209ARTSPO00310-france-pays-de-galles-en-direct.php

vendredi 8 février 2013

La Ferrari pète le feu !

Matinée très difficile pour Ferrari ce vendredi lors des essais de Jerez. La monoplace de Pedro de la Rosa a pris feu suite à un problème de boîte de vitesse. L'Espagnol n'a couru que deux tours. C'est le premier gros incident technique pour la Scuderia lors des essais hivernaux.

Il ne s’agit pas que d’une expression. La nouvelle Ferrari F138 pétait littéralement le feu ce vendredi matin à Jerez, lors de la quatrième et dernière journée d’essais hivernaux sur le tracé andalou. Pedro de la Rosa a été victime d’un problème au niveau de sa boîte de vitesses, ce qui a provoqué un début d’incendie sur sa monoplace. Ferrari, qui n’avait rencontré aucun incident jusqu’à présent, espère être en mesure de reprendre ses essais dans l’après-midi. Elle n'a couvert que deux tours depuis 9 heures.
Au niveau du classement de la séance, Sebastian Vettel était crédité de la meilleure performance – à sept dixièmes toutefois du chrono signé hier par Felipe Massa – avant la pause déjeuner. Le triple Champion du monde en titre devançait la Sauber d’Esteban Gutiérrez et la Lotus de Kimi Räikkönen, dont on a appris son divorce ce matin. Cette ultime journée d’essais à Jerez met également en scène trois pilotes tricolores : Jules Bianchi, Jean-Eric Vergne et Charles Pic. Le premier est toujours en lice pour le second baquet de titulaire chez Force India pour épauler Paul di Resta cette saison.
Cliquez ici pour suivre en direct les tests F1 2013 à Jerez ou cliquez ici pour découvrir les photos des essais.
Retrouvez ci-dessous le classement complet des essais à la mi-journée :
Retrouvez l’ensemble de l’article sur F1i

http://www.eurosport.fr/formule-1/saison-2013/2013/jerez-mi-journee-la-ferrari-pete-le-feu_sto3613742/story-lci.shtml

jeudi 7 février 2013

Matches truqués: les 300 nouveaux cas

Les 300 nouveaux matches suspects révélés par la vaste enquête d'Europol sur les rencontres arrangées dans le monde du football ont eu lieu en Afrique, Asie et Amérique latine, a indiqué jeudi l'enquêteur en chef de la police de Bochum, en Allemagne, Friedhelm Althans.
"Nous avons de premiers éléments de preuves dans environ 150 de ces 300 cas", a déclaré Althans au site internet Sportingintelligence.com, trois jours après la conférence de presse durant laquelle Europol avait également fait le point sur son enquête initiale qui avait déjà mis au jour 380 matches truqués en Europe. "Cela signifie que les investigations ont débouché sur des résultats qui sont plus que des soupçons. Nous pourrions savoir dans environ six mois combien au total sont plus que suspects", a-t-il précisé.
"Dans 90 pour cent des cas, il s'agit de matches internationaux", qui ont eu lieu "pour la plupart en 2009, 2010 et 2011" et ont concerné "environ 50" équipes internationales, a-t-il ajouté. "Mais les équipes internationales n'étaient pas forcément impliquées dans le trucage, ces matches pouvaient avoir été arrangées par les arbitres et les officiels", a-t-il précisé.
Les enquêteurs ont relié ces 300 matches au cartel de Singapour qui était déjà impliqué dans les 380 matches recensés en Europe ces dernières années par Europol, dans lesquels environ 425 arbitres, dirigeants de clubs et joueurs ont été impliqués.
 

Prudhomme : "Il n'y a pas que des cyclistes dans l'affaire Puerto"

Christian Prudhomme, directeur du Tour de France, attend désespérément le grand déballage dans l'affaire de dopage Puerto. Car on s'apercevrait selon lui que le cyclisme n'est pas seulement concerné.

Le directeur du Tour de France, Christian Prudhomme, a regretté jeudi que les noms des sportifs autres que cyclistes, en cause dans l'affaire de dopage Puerto, ne soient pas dévoilés dans le procès en cours à Madrid. "Chacun a bien compris qu'il n'y avait pas que des coureurs cyclistes. On a su dès le départ les noms des coureurs cyclistes, on n'a jamais su jusque-là, et peut-être ne saura-t-on jamais, les noms des autres", a déclaré Christian Prudhomme, en marge de la présentation de Paris-Nice à Versailles. "Le sport cycliste a beaucoup fauté et, quand on fait des erreurs, il faut balayer d'abord devant sa porte. Mais on n'a qu'une petite partie de la vérité de l'affaire et il serait dommage qu'à l'issue du procès 'la' vérité n'éclate pas au grand jour", a ajouté le directeur du Tour.
"Tous les tricheurs, tous les menteurs, ne sont évidemment pas rassemblés dans le sport cycliste. Il n'y a pas de barrière qui s'élèverait entre le cyclisme et les autres sports pour certains produits. Il y a des gens formidables dans toutes les disciplines, aussi dans le vélo, et il y a des tricheurs, pas seulement dans le vélo. Si toutes les disciplines étaient mises à égalité, ça me satisferait", a-t-il conclu. Mercredi, le président de la Fédération française de cyclisme (FFC), David Lappartient, avait qualifié le procès Puerto de "véritable farce".
"Un des accusés est prêt à donner des noms et on ne les lui demande pas, s'était-il indigné. Il y a eu sans doute des protections en très haut lieu, notamment étatiques". Dans le procès Puerto, qui a commencé la semaine passée, la justice espagnole a refusé de demander au Dr Eufemiano Fuentes, personnage central de l'affaire, d'identifier les propriétaires des poches de sang saisies lors du démantèlement du réseau en 2006, ce que réclamait le comité olympique italien.

http://www.eurosport.fr/cyclisme/dopage-christian-prudhomme-(aso)-il-n-y-a-pas-que-des-cyclistes-dans-l-affaire-puerto_sto3612393/story-lci.shtml

Résumé match France-Allemagne (1-2) 06/02/2013

Rafael Nadal fait le point dans L'Equipe sur son état de santé. Oui son genou va bien même si des douleurs persistent. L'Espagnol se laisse en tout cas deux mois pour retrouver toutes ses capacités physiques et revenir concurrencer le duel Djokovic-Murray qui devient de plus en plus incontournable sur le circuit ATP.

Au lendemain de sa première prestation en solo sur un court de tennis, Rafael Nadal reprend la parole. Non pas qu'il soit resté muet jusque là, mais loin des micros des conférences de presse, l'Espagnol a dévoilé les coulisses de son retour à la compétition dans une pleine page du journal L'Equipe. Il décrit un processus lent, mais nécessaire pour guérir son mal qui devrait s'estomper au fil des jours. D'ici deux mois, apparemment tout ira pour le mieux. La concurrence n'a qu'à bien se tenir.
LE PASSAGE CLEF
Rafael Nadal n’est encore complètement le champion tout-terrain que l’on a connu, mais il compte bien le redevenir à court terme. "Je suis le même. J’ai toujours la même passion. (…) Si tout va bien, j’aurai évidemment d’autres objectifs dans deux mois. Ce que je vise, c’est d’être à cent pour cent pour attaquer Monte-Carlo et la tournée sur terre en Europe." Plus qu’un résultat, ce sont donc des sensations qu’il est venu chercher au Chili, pour confirmer que son état physique est au beau fixe. "Mais l’essentiel ici, c’est comment je me sens et comment réagit mon genou. Perdre ici, ce n’est pas un problème. Je dois perdre ici. Ce serait logique. Le drame serait que mon genou fasse trop mal."
S’il a repris la compétition, ce n’est pas pour jouer un second rôle dans les tournois majeurs. C’est pour briller au plus haut niveau et remporter des titres. Son obsession n’est pas pour autant son classement, mais sa capacité à redevenir compétitif le plus vite possible. "Repasser quatrième, vu tous les points que j’ai à défendre, ce sera difficile d’ici à fin mai. Après est-ce que j’en ai besoin pour gagner Roland-Garros ? Non. Je sais que je peux avoir retrouvé le niveau du Top 4 sans y être. (…) C’est vrai que je ne serai pas le favori à Paris, mais je n’ai pas besoin de l’être pour gagner."
Du haut de son cinquième rang mondial, la rivalité première du circuit de plus en plus marquée de l’empreinte Djokovic-Murray ne le gêne pas. Au contraire, cela le stimule plus encore à revenir pour chambouler cet ordre établi en son absence : "Je n’ai qu’un an de plus que Djokovic et Murray. Ce n’est peut-être pas déjà le moment de m’enterrer. Je vais essayer de m’incruster dans l’époque Djokovic-Murray."
CE QU’IL N’AVAIT JAMAIS DIT
Il était officiellement forfait à l’Open d’Australie pour un virus stomacal, mais surtout parce qu’il savait qu’il ne pourrait pas gagner à Melbourne. C’est cette raison là, à demi-cachée, qui l’a fait renoncer. Surtout sur une surface (dur) aussi exigeante physiquement pour un genou qui lui fait toujours un peu mal. S’il est aussi direct dans ses déclarations, c’est que son moral est bon. A l’entendre ces derniers jours, l’Espagnol était encore dans l’expectative avec ce genou qui semble toujours le tirailler un peu. Mais cette douleur semble être plus somatisée qu’autre chose.
"La vérité, c’est qu’aujourd’hui, mon genou gauche est magnifique par rapport à l’autre. Je sais qu’en rejouant maintenant je ne cours aucun risque que le tendon 'pète'. Les docteurs me l’ont promis. Donc ça va, pas d’angoisse. Même si le tendon continue de me faire mal. (…) La douleur est normale. Elle va disparaitre petit à petit. Logiquement, fin février, elle sera passée. Je pourrai alors retrouver ma pleine mobilité sur le terrain. Il faut juste laisser le temps à mon tendon rotulien de se réhabituer aux efforts violents."
On comprend que son temps de récupération a été allongé pour ne pas brûler les étapes et éviter toute rechute. Parfois même au détriment de compétitions importantes à ses yeux. Un traumatisme d’autant plus marquant que l’Espagnol sentait que son jeu était au beau fixe, à défaut de son physique. "Le pire, c’est quand j’ai compris que je ne jouerai pas les Jeux Olympiques. Au début, j’ai cru guérir vite. Ce qui a été difficile, c’est que mon genou a lâché au meilleur moment de ma carrière. En 2012, je jouais vraiment mieux que les autres années. La finale de l’Open d’Australie contre Djokovic, même perdue, c’était grand."
LES PHRASES A RETENIR
Questionné à demi-mots sur le sujet, Rafael Nadal ne parle pas de problème de dopage dans le tennis, comme Christophe Rochus l'a fait ouvertement en janvier. Il dénonce surtout le manque de transparence de la Fédération Internationale et de l’Agence Mondiale Antidopage qui ne communiquent pas assez pour stopper les rumeurs qui peuvent le toucher, lui comme d’autres. "Ce genre de rumeur existe parce que les contrôles ne sont pas publics. L’ITF doit jouer la transparence. L’AMA pareil. Sinon, ça continuera et je devrai écouter Christophe Rochus faire des commentaires stupides."
Selon ses propres dires, neuf contrôles ont été effectués durant sa convalescence : trois sanguins et six urinaires. "Pour quelqu’un qui est coincé à la maison et qui ne peut plus jouer, c’est beaucoup", estime-t-il. Et visiblement plus que Novak Djokovic, qui avouait dernièrement à l’Open d’Australie ne pas avoir subi de contrôles depuis plusieurs mois alors qu’il est en pleine activité.
"Passeport biologique, procès Puerto, je ne connais pas ce monde. Ce qui se passe en ce moment en Espagne avec la justice, je le comprends pas. Je ne comprends pas pourquoi ce docteur Fuentes ne donne pas les noms. Et que le juge ne lui ai pas demandé de le faire. Ça m’a déçu à un point… (…) Je ne comprends pas pourquoi on ne va pas au bout des choses. Il faut tout nettoyer. (…) Moi, en tant que sportif, tout ça me nuit. A cause des gens comme Armstrong, nous avons tous une image douteuse." (…) "Je veux juste être sûr que celui qui joue en face de moi est aussi propre que moi." A bon entendeur.
     http://www.eurosport.fr/tennis/atp-tour/2013/rafael-nadal-le-drame-serait-que-mon-genou-fasse-trop-mal_sto3612154/story-lci.shtml

mercredi 6 février 2013

France Allemagne en live ce soir

Cliquez sur ce lien pour suivre le match en direct.... une pensée pour Thierry !
On clique ...

Didier Deschamps évoque France - Allemagne

Football: Allemands et Français, amis sincères ou simples voisins?

Au-delà des clichés, la France reste une référence en matière de formation...
Depuis son salon, Valérien Ismaël ne prendra pas parti lors de France-Allemagne mercredi soir. Question de respect pour le pays qui l’a accueilli il y a dix ans, lorsqu’il était encore joueur et où il travaille aujourd’hui en tant qu’entraîneur des jeunes à Hannovre. «Je suis identifié aux deux pays, donc je n’ai pas de préférence. Pour moi c’est du 50-50.» Celui qui est marié à une Allemande sait donc parfaitement quel regard porte le voisin germain sur la France. «Il n’y a pas trop de clichés, c’est très français ça», enchaîne Ismaël, balayant toute idée de patriotisme exacerbé, pull marinière, baguette, french kiss et propension à faire grève en permanence.
En matière de football, la France reste une équipe «très respectée», selon Peter Zeidler, coach allemand désormais à la tête de la réserve du Red Bull Salzbourg. L’équipe de «Kaiser Franck», le surnom local de Ribéry, a regagné beaucoup de crédit l’année dernière en s’imposant en Allemagne, à Brême en amical. «On sait qu’il y a de gros talents en France. Le football français reste un exemple de formation, note Ismaël. Les Allemands ont beaucoup observé la façon dont les Français travaillent dans les centres de formation. Maintenant, l’élève a dépassé le maître.»
«Harald Schumacher, un homme respectable»
Côté image, les remous des Bleus lors de la Coupe du monde 2010 ont beaucoup choqué en Allemagne. «Les médias allemands se sont aussi beaucoup acharnés sur les Français. C’est un long processus pour regagner du crédit», décrypte Ismaël. Récemment, la défaite de Lille 6-1 à Munich a même réveillé quelques moqueries. «Doggystle» avait titré un grand quotidien local, forçant les Français à faire profil bas. Une fois de plus face à l’Allemagne.
Avant chaque rendez-vous franco-allemand, les mêmes souvenirs remontent à la surface: Séville 82, l’attentat d’Harald Shumacher, les dents cassées de Battiston. «C’est vrai qu’on n’est pas très fier de ce qu’il a fait», reconnaît Peter Zeidler. Schumacher, c’était cette image de l’Allemand qui boit, joue aux cartes et est arrogant. Mais ça a changé.» Aujourd’hui, l’ancien gardien allemand est vice-président de Cologne et considéré comme un homme tout à fait respectable. «Il est d’abord connu en tant que gloire du foot allemand. C’est un homme d’affaires, quelqu’un de reconnu.» Même si les deux pays célèbrent les 50 ans de leur traité d’amitié, il faudra encore attendre un peu pour que cette «reconnaissance» franchisse le Rhin.

http://www.20minutes.fr/sport/football/1094465-football-allemands-francais-amis-sinceres-simples-voisins

mardi 5 février 2013

Saint-André veut assumer

Le sélectionneur des Bleus, Philippe Saint-André, s'était désolé de la préparation française avant l'ouverture du Tournoi. La défaite en Italie lui a donné raison. Et pourtant, il s'est refusé à remettre le sujet sur la table.

Il avait livré sa vision des choses lors de la présentation officielle du Tournoi des 6 Nations. Philippe Saint-André, sélectionneur des Bleus, avait donné son ressenti d'une métaphore athlétique: "On a l'impression que lorsque nous préparons les compétitions, nous faisons un 110 mètres haies quand nos adversaires font un 100 mètres". Un exemple ? "On se rend compte qu'on est le seul pays a avoir eu une journée de championnat vendredi et jeudi alors que les Anglais sont en stage depuis dimanche dernier (le 20 janvier), comme les Écossais, les Irlandais et même les Italiens". Les Italiens qui ont donc triomphé à Rome. Puisque Philippe Saint-André avait essayé d'interpeller avant l'ouverture du Tournoi, il aurait été tentant de ressortir les différences de préparation lundi matin en conférence de presse à l'hôtel Westin Excelsior de Rome pour analyser la défaite des Bleus, la troisième depuis 1997. D'autant qu'un constat était imparable: "Les deux ou trois fois où nous sommes allées au-delà d'une séquence de deux minutes, nous avons eu du mal dans la réorganisation", disait Saint-André.
"J'en ai parlé, je n'en parlerai plus"
Patrice Lagisquet la veille avait reconnu: "Peut-être que quelques joueurs sont moins fringants qu'en novembre", mais il avait précisé: "Il ne faut pas se cacher derrière ça". Les Bleus alignés à Rome s'y refusaient tous. Yoann Maestri, Louis Picamoles, Fulgence Ouedraogo étaient sur la même longueur d'ondes. "On ne se cherche pas d'excuse. Nous sommes tout le temps dans ce même contexte, tout le temps dans l'urgence...". Et Philippe Saint-André s'y est refusé. Il a parlé d'un jeu trop individualiste, de la tentation de "vouloir sauver la patrie" qui a fini par envahir ses joueurs, du 100% de réussite italien, des occasions française manquées, de la faiblesse sous les renvois. Mais surtout pas de la préparation française désormais archaïque. "J'en ai parlé il y a dix jours, je n'en parlerai plus. On a dit aux dirigeants ce qu'on voulait: à eux de prendre leurs responsabilités. On a des problèmes et on a des solutions à trouver. Ca, on en parlera entre nous". Saint-André a demandé à ses joueurs "d'enfiler le casque à pointe, de relever la tête, de mettre le bleu de chauffe". Pour montrer l'exemple, il s'est donc interdit de théoriser sur des arguments pourtant légitimes. Annonce définitive: "Nous sommes dans la compétition. La fraîcheur est aussi dans le bulbe. Il faut se rafraîchir moralement pour être prêt mentalement". Pas d'excuse donc face au pays de Galles. Mais pas d'autre choix que la victoire. Voilà l'équation française

http://www.rugbyrama.fr/rugby/6-nations/2013/xv-de-france-philippe-saint-andre-veut-assumer-apres-l-echec-face-a-l-italie_sto3609631/story-lci.shtml

Françoise Boulain, épouse de Thierry Roland : Il était vendu avec le poste

CAN2013: Marcel Desailly gifle un journaliste

Après le match Afrique du Sud - Mali...
Marcel Desailly est-il le Cyril Jeunechamp des consultants? Samedi soir, il aurait réagi de la même façon en zone mixte en giflant un journaliste algérien qui aurait souhaité recueillir ses impressions. Plusieurs médias, algériens rapportent la scène qui aurait éclaté dans les couloirs du stade de Durban, peu après le quart de finale de la CAN entre l’Afrique du Sud et le Mali. Un journaliste algérien lui aurait alors tendu son micro, mais le champion du monde 98 l’aurait d’abord éconduit.
Le journaliste lui aurait alors lancé un «T’as pas la classe Marcel, c’est Zizou qui a la classe». Ce qui aurait fait sortir Desailly de ses gonds. Après l’avoir giflé, il aurait invité le journaliste à se battre. Pour info, Cyril Jeunechamp purge actuellement une suspension d’un an pour le même type d’écart en zone mixte.

http://www.20minutes.fr/sport/football/1093927-can2013-marcel-desailly-gifle-journaliste

lundi 4 février 2013

Mercredi, le Stade de France inaugure la tribune Thierry-Roland

partir de mercredi, une tribune du Stade de France portera le nom de Thierry Roland, l'ancien commentateur vedette.
La tribune de presse rebaptisée Thierry-Roland, à la mémoire de l’ex-commentateur des matches de l’équipe de France sur TF1, sera inaugurée ce mercredi au Stade de France lors de l’amical des Bleus contre l’Allemagne. C’est ce qu’a indiqué ce lundi le Variétés Club de France.
« À l’occasion du match France-Allemagne du 6 février prochain, le Stade de France baptisera sa tribune de presse : tribune de presse Thierry-Roland », explique le Variétés dans un communiqué transmis par son président Jacques Vendroux, directeur du service des sports de Radio France et proche de Thierry Roland.
Une plaque commémorative
Cette cérémonie se tiendra en présence de la femme et du fils de la célèbre « voix du foot », ainsi que du président de la FFF Noël Le Graët et de Jacques Vendroux, qui dévoileront une plaque commémorative.