mardi 30 novembre 2010

Edel, pas l'ombre d'un doute ?

Son énorme boulette à quelques minutes du coup de sifflet final, dimanche soir à Lyon (2-2), a coûté deux points précieux au Paris-SG. Et une place de leader qui lui tendait pourtant les bras. Mais Apoula Edel ne doute pas. Ses coéquipiers non plus. Du moins en apparence. (Photo Presse-Sports)


Il est arrivé en zone mixte le regard noir, et le verbe agacé. Pourtant, le gardien parisien Apoula Edel a tenu à faire face à ses responsabilités quelques minutes à peine après son énorme bévue qui a coûté deux points au Paris-SG à Gerland, dimanche soir (2-2). Il aurait pu, comme bon nombre des acteurs de la rencontre, éviter la presse et rejoindre directement le bus. Il ne l'a pas fait. Cette erreur, grossière, lui-même «ne l'explique pas». «On perd deux points de ma faute, lâche-t-il froidement. Mais c'est le foot. Qui ne fait jamais d'erreur ?» Le gardien d'origine camerounaise, devenu titulaire à la place de Grégory Coupet après un match catastrophique à Sochaux (1-3, le 29 août), nous présente un discours de façade, en totale contradiction avec son regard perdu. «Tout cela est derrière moi, jure-t-il pourtant. Je suis déjà concentré sur le match de jeudi, contre Séville». Vraiment ?


«On va tous le soutenir, l'aider»
En toute logique, les quelques Parisiens qui ont accepté de répondre à nos questions ont abondé dans son sens. «Ce sont des choses qui arrivent, a d'abord lancé Zoumana Camara. Edel nous a apporté beaucoup de points par le passé et il va continuer de le faire. Il va falloir le soutenir, c'est un bon gardien et on a tous confiance en lui». «C'est un sport collectif, donc on se soutient tous les uns les autres, a confirmé Guillaume Hoarau. Il faut continuer de travailler. Après ce but, il va se faire taper dessus, mais il sait qu'il peut compter sur nous.» Antoine Kombouaré, le coach parisien, a tenu à peu de choses près le même discours. «Edel fait une bévue qui nous coûte la victoire. J'ai une pensée pour lui. Aujourd'hui, c'est lui qui souffre le plus. Maintenant, on va tous le soutenir, l'aider. Mais c'est à lui de se prendre en main pour gommer ça. Il faut avancer. Il faut qu'il ait un caractère costaud pour relever la tête. Mais je n'ai pas de doute là-dessus, il a un gros mental».


Il vient de refuser une prolongation de trois ans
Selon toute vraisemblance, Edel devrait donc avoir l'occasion de se refaire une santé dès jeudi, en Coupe d'Europe. «On a la chance de pouvoir rebondir tout de suite dans une autre compétition avec la réception de Séville, jeudi» a ajouté le coach parisien en réponse au cas Edel. Ce qui, lu entre les lignes, veut dire que le gardien naturalisé arménien sera de nouveau titulaire. «C'est bien qu'il y ait un match tout de suite, a ajouté Camara, ça lui permettra de moins cogiter». A condition de ne pas se louper à nouveau. Les supporters parisiens, qui ont dans l'ensemble toujours plus ou moins douté de ses capacités à être un véritable numéro un, l'auront à l'oeil. La moindre relance douteuse, la moindre sortie ratée, et le Parc pourrait vite le prendre en grippe, comme ce fut le cas avec Mickaël Landreau il y a deux saisons de cela. On connaît la suite : un départ devenu inévitable. Edel, qui vient de refuser une offre de prolongation de trois ans de la part de ses dirigeants, est aujourd'hui à un tournant. En fin de contrat en juin prochain, il exigeait un statut de titulaire assuré pour resigner. Il va désormais devoir se reconcentrer sur le terrain avant de pouvoir reparler gros sous
http://www.francefootball.fr/FF/breves2010/20101129_122502_edel-pas-l-ombre-d-un-doute.html
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Coupe Davis - Monfils, leader à part

Insaisissable, imprévisible selon ses propres mots, Gaël Monfils est à Belgrade le leader de l'équipe de France de Coupe Davis. C'est lui qui est indiscutable en simple, c'est lui le N.1 français. Excessif ou plus éteint, il ne fera pas du Tsonga. Guy Forget témoigne.


L'équipe de France avait trouvé sa locomotive en la personne de Jo-Wilfried Tsonga, elle a trouvé son grand huit avec Gaël Monfils. Un joueur qui transforme ses matches voire ses saisons en montagnes russes (ou serbes en l'occurrence) et donne le tournis aussi bien à ses adversaires qu'à son staff. Il se qualifie lui-même de "bizarre", remarque que "ce qui est chiant" avec lui, c'est son "côté imprévisible". Il laisse souvent perplexe. Guy Forget y compris. "Gaël, plus que tous les autres, c'est quelqu'un que tu gères au quotidien. Je ne dirai pas d'une demi-journée à l'autre, mais c'est difficile de planifier avec lui sur la durée. A plus forte raison sur une fin de saison. Ce n'est pas simple pour moi, mais ce n'est pas simple pour lui non plus. Tout le temps... Faire le yoyo..."


"On repousse la charge de travail prévue, on repousse, on repousse..."


Gaël Monfils mène sa barque, il ne mène pas encore l'équipe de France comme on dirige un porte-avions. Sous les ordres d'un capitaine qui commence à mieux le cerner, Monfils est fidèle à lui-même. Cela peut-il pénaliser l'équipe de France ? "Heureusement, on s'adapte, explique le capitaine. Lionel Roux, qui est en contact avec tous les entraîneurs, assure le relais entre son staff et celui de la Coupe Davis. Moi, je suis en contact avec Roger Rasheed que je croise sur le circuit toute l'année. Quand il nous dit qu'il n'est pas bien, on repousse la charge de travail prévue. On repousse, on repousse, on repousse..." Malgré dix jours de préparation, "l'idée c'était surtout de ne pas prendre trop de retard."


A Saint-Cyprien, il n'y a finalement pas eu de problème. C'est que Forget connaît "mieux" le gaillard : "Monfils est comme ça tout au long de l'année. Son staff gère ce genre de choses tout au long de l'année. Il est parfois excessif dans l'engagement physique et il a eu plein de petits pépins. Depuis deux ans, il a été souvent arrêté. Ce qui ne l'a pas empêché de faire des résultats, notamment à Roland-Garros. [...] A Bercy, on se demandait s'il allait commencer le tournoi. Je me souviens qu'il m'avait dit qu'il n'était pas très bien, après que le court était trop rapide et qu'il n'aimait pas jouer sur ce genre de surface... En finale, je lui ai dit : 'C'est quand même pas mal, tu bats Murray et Federer, alors que si on t'avait dit sur quelle surface tu aimerais jouer Federer, la dernière surface dont tu aurais parlé, cela aurait été l'indoor rapide !' "


"Lui plus qu'un autre, est capable d'élever son niveau de jeu de manière incroyable"


Pour la finale, les Serbes s'étaient focalisés dans un premier temps sur Tsonga. Le jeu moins identifiable de Monfils pourrait être finalement un atout. Tsonga est un leader "rentre-dedans", Monfils est un leader déconcertant. Qui connaît cependant les codes du groupe : "Le leader de l'équipe pour moi, c'est le capitaine", résumait-il sobrement en Martinique. Forget sait de son côté que son potentiel va bien au-delà du "simple soldat" de Coupe Davis: "Lui plus qu'un autre, est capable, même avec des jours d'entraînement en moins, de retrouver très vite le haut niveau. [...] Il est extrêmement polyvalent et capable d'élever son niveau de jeu de manière incroyable alors que deux jours avant tu avais l'impression qu'il était à l'article de la mort. [...] Il a cette faculté d'occulter son retard, à aller au-delà, à oublier ce qui s'est passé hier et se concentrer sur le présent."


Monfils n'est pas obnubilé par l'histoire du tennis, il est plutôt du genre à "twitter" entre deux matches. S'il n'est pas du genre à connaître le palmarès des Mousquetaires sur le bout des doigts, il a aussi compris, après un premier match douloureux, qu'on ne pouvait pas prendre la Coupe Davis à la légère. "Le maillot de l'équipe de France pèse lourd", disait-il en début d'année. Malgré un organisme souvent en souffrance, malgré une sensibilité aux évolutions météorologiques de ses émotions, il a prouvé récemment qu'il avait les épaules assez larges pour alléger le fardeau de ses responsabilités. Si Monfils vit Belgrade au présent, non seulement on pourra suivre la finale grâce à ses tweets, mais ses coéquipiers pourront suivre l'exemple.


MONFILS EN COUPE DAVIS = 3 victoires / 1 défaite


2010 France-Argentine (5-0) à Lyon (dur) - Demi-finale




Match N.2 : bat David Nalbandian 6-4, 2-6, 6-4, 6-3


2010 France-Espagne (5-0) à Clermont-Ferrand (dur) - Quart de finale




Match N.1 : bat David Ferrer 7-6(7/3,) 6-2, 4-6, 5-7, 6-4


2010 France-Allemagne (4-1) à Toulon (dur) - 1er tour




Match N.1 : bat Philipp Kohlschreiber 6-1, 6-4, 7-6(7/5)


2009 France - Pays-Bas (4-1) à Maastricht (terre battue) - Barrages




Match N.1 : battu par Thiemo De Bakker 3-6, 7-5, 3-6, 4-6


LES FACE-A-FACE AVEC LES SERBES


MONFILS – DJOKOVIC : 0/5




2005 US Open (1er tour) Djokovic 7-5, 4-6, 7-6(5), 0-6, 7-5




2006 Roland-Garros (1/8 de finale) battu par Djokovic 7-6(5), 7-6(5), 6-3




2008 J.O. Pékin (Dur, Quart de finale) battu par Djokovic 4-6, 6-1, 6-4




2009 M1000 Paris-Bercy (Indoor, Finale) battu par Djokovic 6-2, 5-7, 7-6(3)




2010 US Open (Dur, Quart de finale) battu par Djokovic 7-6(2), 6-1, 6-2


MONFILS – TIPSAREVIC : 2/2




2009 M1000 Monte-Carlo (Terre battue, 1er tour) battu par Tipsarevic 6-3, 6-1




2009 Metz (Indoor, Quart de finale) Monfils 6-1, 4-2 abandon




2009 Vienne (Indoor, Quart de finale) battu par Tipsarevic 6-4, 6-7(8), 6-3




2010 US Open (Dur, 3e tour) Monfils 7-6(4), 6-7(4), 6-2, 6-4


MONFILS – TROICKI : Aucune confrontation




MONFILS – ZIMONJIC : Aucune confrontation


SUIVEZ MONFILS SUR TWITTER : http://twitter.com/monfilsgael



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lundi 29 novembre 2010

Transfert : Fanni à l'OM, crédible ou pas ?

Annoncé sur les tablettes de l'Olympique de Marseille depuis la blessure de Cesar Azpilicueta, le latéral droit du Stade Rennais, Rod Fanni (28 ans, 8 matchs en Ligue 1 cette saison), apparait désormais comme l'une des pistes les plus crédibles. Ce lundi, l'entraîneur Frédéric Antonetti a en effet rappelé une donnée importante.


«Il avait un bon de sortie l'été dernier, et à ma connaissance il est toujours valable cet hiver. Cela reste à confirmer par la direction. Mais à partir du moment où il a un bon de sortie, je n'ai pas les moyens de m'y opposer» , a-t-il reconnu.


L'aspect financier, seul obstacle pour Fanni ?


Qu'en pense Didier Deschamps ? Pour l'heure, l'entraîneur marseillais refuse de livrer le nom des joueurs susceptibles de l'intéresser, mais affirme viser à court terme. Autrement dit, dès qu'Azpi reviendra, il reprendra sa place. Dans ces conditions, Fanni qui s'affiche plutôt comme un titulaire potentiel, semble un poisson un peu trop gros.


D'autant qu'aucune rallonge financière n'est prévue par la direction de l'OM. Estimé à 5 M€, l'international français semble donc un peu cher. Toutefois, faut-il prendre les propos de Deschamps pour argent comptant, ou l'entraîneur olympien essaie-t-il de brouiller les pistes ?




Fanni présente en effet l'avantage d'avoir une expérience internationale (en Bleu) tout en étant qualifiable pour la suite de la Ligue des Champions. A un prix somme toute raisonnable, puisqu'Azpi a lui coûté 7 M€ ! Marseille peut-il vraiment se permettre d'aligner pendant toute une demi-saison Julien Faubert (de West Ham) ou un jeune latéral droit peu expérimenté, sans perdre de vue ses objectifs ?


http://www.maxifoot.fr/football/article-11126.htm

Masters Cup Londres - Federer redevient le Maître

Roger Federer a remporté son 5e titre en Masters Cup, après 2003, 2004, 2006 et 2007, en battant Rafael Nadal 6-3, 3-6, 6-1 en finale, dimanche à Londres. Le Suisse, N.2 mondial, rejoint dans la légende Ivan Lendl et Pete Sampras. L'Espagnol terminera tout de même N.1 du classement ATP.

MASTERS CUP 2010 - Finale


Roger Federer (SUI/N.2) bat Rafael Nadal (ESP/N.1) 6-3, 3-6, 6-1


Il n'y avait personne pour battre Roger Federer cette semaine à Londres. Le Suisse a terminé l'année comme il l'avait commencée, en remportant un grand titre, le Masters dimanche à Londres. Avec l'Open d'Australie décroché en janvier, 2010 ne se termine pas si mal pour lui. D'autant que sa dernière victoire de l'année s'est faite aux dépens de son grand rival Rafael Nadal, prouvant ainsi que le temps de sa gloire n'était pas révolu à 29 ans. Le N.2 mondial égale ainsi un record qu'il attendait depuis 2007, celui d'Ivan Lendl et Pete Sampras en enlevant pour la cinquième fois le tournoi des Maîtres. Et pourtant, Federer restait sur six défaites en sept matches contre le Majorquin et ne l'avait plus dominé dans la finale d'un grand événement depuis l'édition 2007 de Wimbledon. C'est le 66e titre ATP du Suisse et le 5e de la saison, son meilleur total en un an depuis... 2007.


A l'aise en indoor, ce qui est loin d'être le cas de son adversaire du jour, le protégé de Paul Annacone a perdu son premier set de la semaine face à Nadal, plus agressif en retour, notamment en secondes balles. Mais c'est le Suisse qui a pris le jeu à son compte. 32 coups gagnants pour lui pour 22 erreurs. L'Espagnol a terminé avec plus de fautes directes que de coups de raquette inspirés (19/11). Reprenant l'initiative dans le dernier set, Federer a fait le break décisif (3-1) en agressant pour la énième fois l'Espagnol sur son deuxième service pour s'envoler définitivement face à un adversaire qui ressentait la fatigue des ses trois heures de bagarre la veille face à Andy Murray.


"Un très bon Federer"


"Je ne vais pas dire que j'ai perdu le match à cause d'hier, résume le N.1 mondial, j'ai perdu parce que je suis tombé contre un très bon Federer. J'étais là, mais ce n'était pas suffisant. Il était injouable au premier set. Son niveau a été très haut, je ne peux que le féliciter." Malgré cette belle victoire sur Nadal, la 8e en 22 rencontres, le Bâlois ne peut pas espérer déloger le Majorquin, auteur du Petit Chelem en 2010, tant son retard au classement est important. "Je suis enchanté de la façon dont j'ai joué toute la semaine, s'est félicité "Rodgeur". C'est superbe de gagner le Masters dans une troisième ville différente après Houston et Shanghai. Je suis ravi d'avoir fini la saison en jouant un de mes meilleurs tennis. J'ai gardé le meilleur pour la fin."


Pour Nadal, malgré la déception de la défaite de première finale de Masters, la semaine a marqué un nouveau pas en avant. L'Espagnol a joué à Londres le meilleur tennis de sa carrière en indoor, dans les conditions qui lui conviennent le moins. "Je suis content de mon match et encore plus de ma semaine, qui a été incroyable. J'ai battu quatre joueurs du top 8 sur une surface difficile pour moi. Cela ne m'était jamais arrivé." Si ce Masters manque encore à son palmarès déjà très étoffé, il a encore tout le temps de rejoindre Andre Agassi, seul joueur à avoir remporté les quatre titres du Grand Chelem, la Coupe Davis, la médaille d'or olympique et le Masters. Après tout, il n'a pas encore 25 ans.


http://fr.sports.yahoo.com/28112010/70/masters-cup-londres-federer-redevient-le-maitre.html

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dimanche 28 novembre 2010

MASTERS DE LONDRES suivez la finale en live ici

MASTERS DE LONDRES
Suivez la finale en direct en cliquant sur ce lien


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Marc Lièvremont: «Au dessus de mes forces d'expliquer l'inexplicable»

Le sélectionneur est apparu meurtri après la déroute de ses joueurs contre l'Australie, samedi au Stade de France...
Hélas, ce XV de France va de record en record. Après l’Argentine et l’Afrique du Sud en juin dernier, les Bleus ont connu la plus lourde défaite de leur histoire contre l’Australie (16-59) avec un humiliant 46-3 en seconde mi-temps. Abattu, défait, le regard dans le vide, Marc Lièvremont a bien eu du mal à analyser ce nouveau Waterloo.


>> Un match à revivre en live ici
http://www.20minutes.fr/article/629921/sports-france-australie-suivre-live-comme-a-la-maison


Comment peut-on expliquer une défaite d’une telle ampleur?


C'est difficile évidemment de trouver une explication rationnelle à cette débâcle, si ce n’est qu’on a joué contre une équipe d'Australie exceptionnelle. Malgré une première période pleine de courage malgré déjà quelques lacunes, j'avoue que c'est assez compliqué de comprendre comment on peut prendre une cinquantaine de points en une demi-heure. Je veux bien assumer cette énorme défaite, mais c'est au-dessus de mes forces d'expliquer l'inexplicable.


Cette défaite remet-elle en cause vos choix pour cette tournée?


Encore une fois, de la même manière qu'il est très difficile d'expliquer cette énorme défaite. Je ne sais pas ce que je peux dire. Certains vont remettre en cause le choix des joueurs, la stratégie, le projet de jeu. J'ai subi un certain nombre de lourdes défaites. On a toujours su rebondir par la suite, tirer des enseignements. Le constat reste que l'on a un groupe de qualité. Et que tout le monde adhère. Mais là, je ne comprends pas.


A un an de la Coupe du monde, est-ce que votre équipe peut rattraper son retard?


Je crois que quelle que soit ma réponse, elle sera déplacée. En 2009, il y avait des motifs de satisfaction après notre grosse défaite contre la Nouvelle-Zélande. Ce soir, Il est très difficile d’en trouver.


http://www.20minutes.fr/article/630053/sports-marc-lievremont-au-dessus-forces-expliquer-inexplicable
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samedi 27 novembre 2010

FRANCE - AUSTRALIE à suivre en live ici

FRANCE - AUSTRALIE
en direct sur ce site en cliquant sur ce lien


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Test Match - Bleus : Le tiers payant ?

Ce samedi contre l'Australie au stade de France, les Bleus tenteront de clôturer ses tests automnaux sur une bonne note. Et au-delà d'une troisième victoire consécutive, les Bleus iront chercher des certitudes dans un match qui revêt peut-être plus d'importance qu'il n'y paraît. Explications


Demandez aux Bleus si ce match contre l'Australie constitue le plus important de leurs tests d'automne. Ils vous répondront tous différemment. "Ce sera le dernier", rétorque succinctement Sébastien Chabal. Pour Yoann Huget, cette rencontre sera "préparée comme les autres". Le jeune international précise : "On a vu beaucoup de choses depuis le début de la tournée, alors il n'y a pas de matchs qui vaillent plus que les autres."


D'accord. Mais cette confrontation revêt tout de même une importance particulière. Comme l'a dit Marc Lièvremont cette semaine, les Bleus se sont "un peu mis ce match dans un coin de la tête, comme ce fut le cas pour celui contre les All Blacks l'an dernier". Avec le résultat que l'on sait (lourde défaite, 12-39). Si celui-là peut paraître essentiel, c'est d'abord parce que les Australiens font figure d'adversaires les plus "sérieux" des Français sur cette tournée. Les Bleus ne les ont d'ailleurs jamais battus sous l'ère Lièvremont. "Nous savions qu'affronter l'Argentine serait compliqué, mais, sans faire injure aux Fidjiens et aux Pumas, l'Australie est au-dessus en termes de jeu, de production et de niveau, confirme Sébastien Chabal. A nous d'essayer de gagner ce dernier match pour que cette tournée soit positive."


Dernière chance avant le Mondial


C'est là aussi que cette confrontation prend son importance : dans le fait qu'elle vient clôturer une tournée marquée jusqu'alors par deux victoires pas totalement convaincantes. "Il faut aboutir à un match plein pour sortir de ces tests avec des certitudes", explique Nicolas Mas. Montrés du doigt pour leurs lacunes dans le secteur offensif lors de leurs deux premières sorties, les Français ont envie de prouver. Et ils assurent en avoir les moyens. "Même si ça a été un peu difficile jusqu'à maintenant, ce sera mieux samedi parce que nous aurons quinze jours de travail ensemble", reprend le pilier catalan.


Autre point considérable : ce sera le dernier match des Bleus contre une nation du Sud avant la Coupe du monde 2011 en Nouvelle-Zélande. L'enjeu parle de lui-même... "Il s'agit réellement d'un test pour voir où on en est dans notre préparation, assure Fulgence Ouedraogo. C'est véritablement une étape dans la construction de l'équipe de France". Morgan Parra ne dit pas le contraire : "Ce match va nous permettre de nous situer par rapport aux nations du Sud mais aussi par rapport à notre travail, par rapport à ce que nous essayons de mettre en place."


Les Bleus ont rendez-vous samedi. Pas seulement avec les Wallabies, mais avec eux-mêmes également. "Nous seront attendus, nous le savons", reconnaît Damien Traille. "Une grosse partie nous attend mais tant mieux, cela s'intègre très bien dans notre optique d'avancer encore et encore", note de son côté Lionel Nallet. Et puis, comme le rappelle Fulgence Ouedraogo, les Français n'ont "jamais réussi à finir une tournée avec trois victoires" depuis l'arrivée du nouveau staff en 2008. Existerait-il meilleur moment pour y parvenir ?


Emilie DUDON, envoyée spéciale Midi Olympique-Rugbyrama.fr /
http://fr.sports.yahoo.com/26112010/70/test-match-bleus-le-tiers-payant.html
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vendredi 26 novembre 2010

directeur général de la FFF claque la porte

Jacques Lambert, directeur général de la Fédération française de football (FFF) depuis 2005 a démissionné ce vendredi matin lors du Conseil fédéral de l'institution.


Cette décision était totalement inattendue et a surpris tout les membres du Conseil fédéral. A l'issue de la réunion, l'intéressé a refusé de s'exprimer.
«Il ne pouvait plus travailler dans ce milieu d'intrigants. Ce n'est pas son style », a simplement commenté Noël Le Graët, président du club de Guingamp (L2) et vice président de la FFF.


Jacques Lambert était pressenti pour mener à bien le dossier de l'euro 2016 qui sera organisé en France.

http://www.leparisien.fr/sports/football/le-directeur-general-de-la-fff-claque-la-porte-26-11-2010-1167039.php

Davis Cup - Llodra-Clément, double-tranchant et doublure

La logique voudrait que Michaël Llodra et Arnaud Clément jouent le double de la finale de Coupe Davis. Le premier espère cependant jouer aussi en rôle en simple, et le second sait que toute la confiance de Guy Forget n'équivaut pas à des certitudes
Michaël Llodra et Arnaud Clément sont venus séparément nous parler ce jeudi à Canet-en-Roussillon, avant leur séance d'entraînement de l'après-midi. Le premier assume son côté boutte-en-train tout en rappelant la rigueur dont il sait faire preuve. Le second sait qu'il a raté des occasions de jouer des finales de Coupe Davis (2001 et surtout 2002), et qu'il doit sa place à un concours de circonstances. Deux situations inédites pour une paire, qui, si elle n'est plus aussi soudée que par le passé, peut marquer l'histoire du tennis français. Pour des raisons différentes, ils ne se projettent pas aussi facilement que Gilles Simon ou Gaël Monfils sur la finale de Belgrade, la semaine prochaine.


"Mika" et "La Clé", c'est une histoire longue de huit ans. Leur première rencontre date de 2002... Quelques jours avant la finale perdue à Bercy par la France et à laquelle Clément n'avait pas pu participer. "J'ai vécu en 2002 un moment dur, confie Clément. Devoir déclarer forfait à cause d'une blessure... J'étais sans doute le joueur le mieux placé pour jouer le deuxième simple. Et là, au bout d'une saison où intrinsèquement, je ne mérite pas ma place, j'ai la chance de pouvoir participer. Le sentiment est étrange. Mais je n'ai aucun sentiment de culpabilité parce que ce n'est pas moi qui les ai blessés (NDLR : Tsonga et Benneteau) !"


2002, un moment dur dans la carrière de Clément


Michaël Llodra est dans une situation à la fois plus confortable : sa participation est acquise, mais où ? Llodra est le squelette du double. Il faudrait qu'il se blesse le premier jour en simple pour ne pas y participer. Forget prendra-t-il le risque ? Llodra ne peut pas "visualiser" aussi facilement son match que Gilles Simon ("On ne me demande pas de jouer le double hein ?" ironisait "Gilou" la veille). Après un formidable Bercy, Llodra a coupé "quatre jours", puis il a joué samedi dernier avec son club (Villa Primrose). "Au bout de trois jours d'entraînement, je sens que les sensations reviennent très facilement, encore plus facilement quand on est en confiance."


Clément veut être prêt le jour J, et ne pas être obnubilé par la participation : "Je suis dans un mode de préparation. Je ne suis pas encore projeté dans le fait que ça peut être une finale de Coupe Davis sur le court. J'essaie de prendre le plus de recul possible. [...] Quand Julien (Benneteau, ndlr) a annoncé son forfait. Je me suis mis pour la première fois dans la peau d'une doublure. Un remplaçant comme un joueur de foot qui rentre sur le court quand le titulaire se blesse. C'est une des premières fois que je suis dans cette situation. A chaque fois que Guy (Forget) m'a sélectionné, c'est parce que je représentais la meilleure solution. Là, c'est différent. J'en suis conscient. Pour ma préparation, cela ne change pas grand chose, mais c'est un sentiment assez particulier. J'essaie de ne pas m'enflammer."


Llodra, la déconne et la rigueur


Llodra est dans une excellente dynamique, dans un groupe dans lequel il est à l'aise, et au sein duquel il pourrait prendre une autre dimension, dans la continuité de sa performance contre l'Argentine notamment. Il peut également compter sur son capitaine pour tirer le meilleur de son tennis : "Guy a un mode de fonctionnement différent avec tout le monde, mais comme je le connais depuis longtemps, il a peut-être moins de retenue avec moi. On a vraiment identifié les points sur lesquels il fallait faire attention. C'est une chance pour lui d'avoir des joueurs différents."


"Depuis quelques rencontres, c'est une autre approche. Avant j'étais catalogué "joueur de double". J'essaie de mettre en place mon jeu et comme mon jeu de simple se rapproche de ce que je fais en double, cela ne change pas grand chose. Hormis qu'il faut jouer un peu plus de points de simple." Et prendre un peu plus de responsabilités ? Llodra est aujourd'hui le joueur le plus capé de ce groupe, il le note mais ne revendique rien : "Quand on fait un stage comme ça, je ne vais pas changer mes habitudes. Les mecs ont l'habitude que ça chambre, que je déconne. Et ça fait la vie de groupe. La rigolade, des temps faibles, du sérieux, des temps forts. Je peux apporter ma touche de folie et être aussi très rigoureux sur les heures de travail. Si à un moment donné dans l'équipe, je ressens le besoin d'apporter quelque chose à un de mes potes, je le ferai."


"Aujourd'hui, rien n'est arrêté, souligne Clément. On ne sait pas encore à 100% qui va jouer à côté de Mika en double". Richard Gasquet est encore une possibilité, une version plus surprenante de la configuration actuelle. Improbable. Gasquet lui-même estimait la veille que la "logique" serait de voir les deux trublions historiques du groupe associés.


Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/26112010/70/davis-cup-llodra-clement-double-tranchant-et-doublure.html
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jeudi 25 novembre 2010

Masters Cup Londres - Nadal proche du but

Rafael Nadal a dominé Novak Djokovic (7-5, 6-2) dans le 4e match du groupe A de Masters Cup, mercredi à Londres. C'est la 2e victoire conscutive pour l'Espagnol qui prend la tête de la poule. Si le N.1 mondial n'est pas encore mathématiquement qualifié pour les demies, le Serbe n'est pas éliminé.


MASTERS CUP - Round Robin - GROUPE A


Rafael Nadal (ESP/N.1) bat Novak Djokovic (SER/N.3) 7-5, 6-2


Novak Djokovic avait le mauvais oeil sur lui. S'il est difficile de desceller l'info de l'intox chez le N.3 mondial, le Serbe a semblé gêné pendant la rencontre par un problème de lentilles. A un moment où le match s'est joué : en fin de premier set, alors que la bataille faisait rage entre le N.1 et le N.3 mondiaux. Il a continué à défendre ses chances, se créant même trois balles de débreak tout à la fin de la première manche, mais il n'a plus cessé de se frotter l'oeil entre les échanges. Si l'on ne peut guère savoir à quel point son jeu a été affecté par l'incident, sa concentration, elle, en a souffert sans aucun doute. Une fois la première manche bouclée, le Majorquin s'est envolé dans la seconde face à un adversaire complètement sorti du match.


La 23e édition de ce grand classique de la décennie -pour comparaison il n'y a eu "que" 21 Federer-Nadal- se terminait, en queue de poisson, par une 16e victoire de l'Espagnol, la deuxième consécutive après la finale de l'US Open en septembre. La faute à 31 fautes directes de Djokovic, le double de Nadal pour le même nombre de coups gagnants (17). Déjà peu inspiré à la volée (9 points incrits sur 20 possibles), le Serbe a laissé la partie lui échapper dès le début du second set, en perdant son service deux fois de suite.


Nadal, déjà vainqueur de l'Américain Andy Roddick pour son entrée en lice, n'est pas encore assuré de jouer sa troisième demi-finale du Masters en quatre participations. Mais il faudrait une nette défaite contre Tomas Berdych vendredi assortie d'un concours de circonstances pour qu'il en soit privé. De son côté, Djokovic garde encore ses chances d'accéder au dernier carré, en affrontant Roddick, défait pour la 2e fois en deux matches dans cette Masters Cup.


Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/24112010/70/masters-cup-londres-nadal-proche-du-but.html
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mercredi 24 novembre 2010

Ligue des Champions - Même match, même résultat

Auxerre s'est incliné sur sa pelouse contre l'AC Milan sur deux buts d'Ibrahimovic et Ronaldinho. Avec cette défaite, les Auxerrois, battus comme l'aller, sont sortis de la course aux huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Mais ils peuvent toujours rêver de la Ligue Europa.


AUXERRE - MILAN : 0-2




Buts : Ibrahimovic (64e), Ronaldinho (90e+1).


Il y a comme un goût de déjà-vu. Comme au match aller à San Siro (2-0), l'AJ Auxerre n'a pas démérité face au Milan AC. Mais comme au match aller, l'équipe icaunaise a cédé devant le talent des Milanais après l'heure de jeu. Zlatan Ibrahimovic a d’abord remis une couche. Auteur d'un doublé lors de la première confrontation entre les deux équipes, le Suédois a encore revêtu le costume de bourreau de l'AJA. Après une intervention approximative de Dudka, le buteur milanais a placé un tir puissant qui est allé se loger sous la barre (0-1, 64e). Sur la première frappe cadrée des Milanais ! Puis Ronaldinho a enfoncé le clou à la 90e sur le deuxième tir cadré des Italiens. On peut appeler cela du réalisme.


Avec cette défaite, Auxerre laisse ses rêves de participer aux huitièmes de finale de la Ligue des Champions au placard. Suite au large succès du Real Madrid contre l'Ajax Amsterdam (0-4), les Rossoneri s'assurent la deuxième place. Mais Auxerre aura encore un coup à jouer le 8 décembre prochain. Malgré un bilan négatif (trois défaites, une victoire), l'équipe de Jean Fernandez peut toujours accrocher le troisième strapontin du groupe G. Il faudra toutefois ramener un résultat du Real Madrid, déjà assuré de terminer à la première place du groupe pour passer devant l'Ajax, qui se rendra à Milan et compte un point d'avance. Une victoire ou un nul en fonction du résultat des Néerlandais sera requis. Pas une mince affaire. Mardi, pour son cinquième match de la saison dans cette phase de poule de la Ligue des Champions, Auxerre est en tout cas tombé sur plus fort mais a encore montré un visage séduisant.


Parfaitement entrés dans leur match, les coéquipiers de Pedretti ont d'abord imposé une pression constante pendant un peu plus de 20 minutes avant de voir le leader de la Serie A revenir dans le match. Bien en place, les deux équipes ont alors livré une prestation sérieuse. Et si les Milanais ont mis le pied sur le ballon, l'AJA a tenté de placer quelques contre-attaques dont elle a le secret sans jamais inquiéter outre-mesure Abbiati, auteur d'une belle parade sur un coup franc de Dudka à la 13e minute. La défense auxerroise a longtemps tenu bon malgré une première alerte de Gattuso, qui n'a pas trouvé le cadre après avoir profité d'une erreur de Coulibaly (39e). Mais voilà, le talent des stars milanaises a encore douché les rêves auxerrois. Ibra d'abord puis Ronnie, tout juste entré en jeu et après une belle action de Robinho, ont mis un terme à la belle série auxerroise (huit matches d'affilée sans défaite toutes compétitions confondues). Auxerre, qui a pêché en attaque, ne pouvait que constater les dégâts. Comme souvent dans cette phase de poule de la C1.


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mardi 23 novembre 2010

Masters Cup Londres - Nadal en homme d'intérieur

Rafael Nadal, pour son premier tournoi indoor de l'année, a réussi son entrée en battant Andy Roddick dans le Groupe A de la Masters Cup à Londres (3-6, 7-6 (5), 6-4). Après une entame poussive, le numéro un mondial a retrouvé ses réglages et confirmé ses remarquables capacités d'adaptation.


Il aura fallu un set à Rafael Nadal pour remettre la machine en marche. Lui qui disputait dans l'O2 Arena de Londres son premier match 2010 en indoor a prouvé qu'il pouvait rapidement s'adapter à toutes les conditions de jeu. Et il a déjà fait mieux que l'an passé où il avait été sorti dès les phases de poules avec trois défaites au compteur. Son épaule a rassuré et le fameux rebond londonien, critiqué par beaucoup pour sa lenteur, a été apprivoisé. Pourtant, malgré tous ces voyants au vert, l'Espagnol a bien failli se prendre un stop. La faute à un Roddick décomplexé, scotché à sa ligne de fond de court et offensif à souhait. Une tactique plus que payante au cours de la première manche qui voit l'homme à la casquette breaker d'entrée le Majorquin et ne plus lâcher sa proie. Timoré dans ses frappes, loin d'avoir retrouvé l'efficacité au service qui lui avait permis de remporter de nombreux points gratuits, notamment à l'US Open, Nadal renâcle et concède le set 6-3.


Roddick, impérial au service ne baisse pas de régime à l'entame de la seconde manche. Il le faut car si le numéro un mondial retrouve peu à peu de la longueur dans ses balles et de la précision dans ses passings. Pugnace, l'Américain lui rend coup pour coup au point de l'acculer au jeu décisif. Menant 3 points à 2 dans ce tie-break, "A-Rod" coince en première balle et entrouvre la porte à l'Espagnol. Ce dernier s'y engouffre et la claque violemment (7 points à 5). Roddick, qui a remporté leur dernier duel en demi-finale à Miami, a laissé passer sa chance. Une merveille de passing de revers court croisé permet à Nadal de ravir l'engagement US à 2-2 dans le dernier set. En dépit de tous ses efforts et de quelques montées kamikazes au filet, Roddick doit s'incliner pour la sixième fois en neuf confrontations sur un dernier revers en demi-volée qui conclut ce match en beauté pour l'Espagnol. Ce dernier qui arrivait en Angleterre dans l'inconnu s'est sans doute rassuré. Et peut désormais songer à augmenter son pourcentage de victoire en tournoi indoor sur l'ensemble de sa carrière (un sur 43 titres, soit 2,3% !)


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lundi 22 novembre 2010

Ligue 1 - Lille prend son tour

La Ligue 1 a (encore) un nouveau leader. Lille n'a pas laissé passer l'occasion de prendre la tête dimanche en s'imposant à domicile face à Monaco (2-1). Les Nordistes devancent Montpellier à la différence de buts. C'est Obraniak qui a libéré un LOSC dominateur mais étourdi face aux Monégasques
Lille - Monaco : 2-1




Buts : Frau (39e), Obraniak (78e) pour Lille; Adriano (57e) pour Monaco


Lille n'a pas manqué son rendez-vous. Grâce à la victoire obtenue aux dépens de Monaco (2-1), le LOSC s'empare de la première place de la Ligue 1 en devançant Montpellier grâce à une différence de buts plus favorable. Ce troisième succès consécutif en championnat mérité a eu du mal à se dessiner malgré la domination nordiste. Sow et Gervinho ont été maladroits devant le but à plusieurs reprises. Mais Frau a trouvé la faille en fin de première période. Sur une magnifique déviation d'Hazard, l'ancien Parisien est servi. D'un extérieur du pied, il a éliminé son défenseur pour décocher une frappe du droit à l'entrée de la surface dont la trajectoire a surpris Ruffier battu (1-0, 39e).


Au retour des vestiaires, les deux changements effectués par Guy Lacombe (Haruna et Gakpé sont entrés à la place de Mendy et Aubameyang) ont redynamisé une équipe de Monaco un peu amorphe jusque-là. Le club de la Principauté est rapidement récompensé de ses efforts grâce à l'égalisation d'Adriano. Sur un coup de Mangani dévié par Frau, le ballon est arrivé sur le latéral droit brésilien qui a marqué d'un magnifique retourné acrobatique (1-1, 57e). Ce but a eu le mérite de relancer les Lillois qui ont repris la maîtrise de la partie. A force de pousser, Monaco a fini par craquer. Sur un centre en retrait d'Hazard, Obraniak a inscrit sa première réalisation personnelle de la saison en reprenant le ballon du plat du pied gauche au point de penalty (2-1, 78e).


Deux passes décisives pour Hazard


Cette nouvelle victoire confirme la forte impression laissée par les hommes de Rudi Garcia en ce mois de novembre. Avec 24 buts depuis le début de la saison, le nouveau leader a confirmé son statut de meilleure attaque du championnat. Mieux, la formation nordiste poursuit sa série en cours de dix-huit rencontres consécutives toutes compétitions confondues en ayant trouvé au moins une fois le chemin des filets adverses. Conscient du potentiel offensif de son équipe, l'entraîneur lillois n'a d'ailleurs pas hésité à aligner un attaquant supplémentaire au coup d'envoi face à Monaco avec la présence de Frau aux côtés d'Hazard, Sow et Gervinho. Une prise de risque audacieuse qui s'est avérée payante.


Symbole de cette réussite, le jeune international belge a été flamboyant. Deux passes décisives, des gestes de grande classe, de la vitesse, de la percussion, des passes précises. Il retrouve peu à peu son meilleur niveau. Nul doute qu'avec un tel joueur au sommet de son art, Lille peut nourrir de belles ambitions pour la suite de la saison et pourquoi pas viser le titre. "On aura notre mot à dire, c'est sûr. Mais on vise les cinq premières places, on ne changera pas" a tempéré Hazard au micro de Foot+ à l'issue de la partie. Même son de cloche du côté du Président Seydoux qui préfère mettre en avant les quelques lacunes de sa formation pour tempérer les ardeurs. "Malheureusement, on prend encore un but. Pour continuer à progresser, il faudrait en prendre un peu moins." Le déplacement à Bordeaux samedi prochain servira de premier révélateur.


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dimanche 21 novembre 2010

Test Match - Après la pluie, l'ennui

La France a vaincu sa bête noire, l'Argentine, ce samedi à La Mosson, 15-9. Dans un match sans essai et sans flamboyance, les Bleus ont souffert et dû s'appuyer sur leur conquête, leur défense et la botte de Morgan Parra pour l'emporter. Mais ils ont montré des lacunes dans le secteur offensif.


Ils tiennent leur revanche, même si elle fut loin d'être éclatante. Les Bleus sont venus à bout de l'Argentine ce samedi à Montpellier. Face à leurs derniers bourreaux, ils se sont appliqués à rester disciplinés. Pénalisés seulement à cinq reprises, ils se sont ensuite appuyés sur les fautes adverses (13) pour garder le contrôle de la rencontre et s'imposer par une marge insuffisante pour parler de triompher (15-9).


Mais cette équipe de France, solide en conquête et en place défensivement, n'a jamais trouvé de solutions pour prendre à revers les Pumas qui se sont concentrés à couper les extérieurs. Et malgré la puissance affichée au niveau du triangle 10-12-13, les Tricolores se sont heurtés à un mur au centre du terrain, notamment en raison d'un Damien Traille peu imaginatif dans son rôle de chef d'orchestre. Aurélien Rougerie franchissait une seule fois pendant le premier acte mais il manquait de soutien et sa course de quarante mètres restait vaine. Face à des Argentins toujours aussi doués pour imposer le rythme qu'ils souhaitent à un match, les occasions d'essais pour les Français étaient bien maigres. Un manque de solutions offensives criant et symbolisé par le choix du capitaine Thierry Dusautoir à la 32e minute. Après plusieurs mêlées à cinq mètres de l'en-but argentin, le troisième ligne toulousain décidait de tenter la pénalité. Cette fois-ci, la pluie, qui avait servi d'excuse à Nantes, n'était pas là pour justifier le manque d'ambition des Français.


Important mais pas emballant


En deuxième période, les occasions d'essais se résumaient à un départ d'Imanol Harinordoquy après avoir récupéré le ballon sur une mêlée en faveur des Argentins. Le troisième ligne de Biarritz négociait mal le deux contre un qu'il avait à jouer avec Marc Andreu. C'était bien la seule fois où le public de la Mosson devait se lever sur une offensive française. Et les quelques sifflets au coup de sifflet final n'étaient pas neutres même s'il ne faut pas oublier que la ligne d'attaque était une nouvelle fois expérimentale.


Bien sûr, les Bleus pouvaient se rassurer par leur faculté à gagner leurs duels face à des Argentins qui les avaient châtiés au mois de juin mais la copie offensive restait bien pauvre au terme de 80 minutes où Morgan Parra (quatre pénalités) et Damien Traille (un drop) se sont chargés de sanctionner l'indiscipline des Pumas. Personne ne devrait bomber le torse dans le camp français surtout avant d'affronter l'Australie au Stade de France. La seule équipe que Marc Lièvremont n'a toujours pas battu depuis son arrivée à la tête de la sélection.


Rugbyrama
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samedi 20 novembre 2010

France Argentine en live ici ce soir

Face à l'Argentine ce soir à Montpellier, les Français tenteront de passer la vitesse supérieure après leur victoire contre les Fidji.

Suivez France Argentine en direct ce soir en cliquant sur ce lien


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Test Match - Les Bleus n’ont pas oublié…

A Montpellier, samedi, les Bleus retrouvent leur bête noire, l’Argentine. Cette fameuse équipe qui leur avait infligé une véritable correction en juin dernier à Velez Sarsfield (41-13). Les joueurs présents n’ont pas oublié. Ils voudront s’appuyer sur leur envie de revanche pour disposer des Pumas.


Depuis 2002, affronter l’Argentine n’a pas souvent souri aux Bleus. En neuf confrontations, la France s’est inclinée à sept reprises. Certains revers ont fait très mal moralement, notamment les deux concédés lors de la Coupe du monde 2007. Celui enregistré en juin dernier à Buenos Aires ressemblait à une véritable humiliation (41-13). Personne n’a oublié. Les principaux protagonistes en premier. Et ils assument. "Nous n'étions pas dedans cet été, pas là, pas présent. Nous sommes passés totalement à côté avons cherché à nous trouver des excuses infondées", avoue le deuxième ligne clermontois Julien Pierre.


"La dernière défaite en Argentine nous a fait mal", déclare le Racingman Lionel Nallet. "Nous n'étions tout simplement pas au niveau. Nous étions en fin de saison et pas assez impliqués", rajoute le troisième ligne Julien Bonnaire."En regardant la vidéo de notre match en juin, c'était impressionnant. Ce n'était pas nous. C'est malheureux mais là-bas, rien n'a marché", précise le demi de mêlée champion de France Morgan Parra. Les Bleus n’ont qu’une obsession: laver cet affront. Et prendre leur revanche.


Rougerie : "Les Pumas sont favoris"


Toutefois, le sélectionneur Marc Lièvremont souhaite tempérer les ardeurs de ses joueurs. "Ce serait un piège que d'avoir un esprit de revanche. Il ne faut pas chercher à vouloir se réhabiliter. Nous avons un projet de jeu à tenir et entrer sur le terrain avec un esprit de revanche serait la meilleure manière de se planter. Cela a desservi l'équipe de France dans le passé face à l'Argentine. Nous devons au contraire rester bien concentrés sur notre jeu et ne pas se tromper d'objectif". Après une partition correcte contre les Fidji samedi, les Bleus sont attendus au tournant. Notamment sur leur fond de jeu.


Outre l’idée de revanche, les Bleus veulent briser la série noire face aux coéquipiers de Felipe Contepomi. "L’histoire parle pour eux. Il faut aussi accepter le fait que l'Argentine est une vraie terre de rugby et qu'elle possède une équipe nationale complète. Alors c'est clair, les Pumas sont favoris", soupire Aurélien Rougerie, qui débutera au centre. "Toute série doit s'arrêter. Pour battre l'Argentine, la technique, nous l'avons. Il faut maintenant passer un cap sur le plan mental", argumente Julien Bonnaire. "Il faut se servir de la défaite à Buenos Aires comme une source de motivation personnelle", prévient Lionel Nallet. "Attention, il faut aborder cette rencontre comme une autre, même si je le répète, individuellement, chaque joueur qui était là-bas a des choses à prouver." Les Bleus ont encore cette humiliation dans un coin de leur tête. Ils comptent bien faire payer la note. Et prendre un ascendant psychologique à moins d’un an du Mondial.


http://fr.sports.yahoo.com/19112010/70/test-match-les-bleus-n-ont-pas-oublie.html

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vendredi 19 novembre 2010

Bundesliga: Franck Ribéry se fait (déjà) tailler par Louis van Gaal

Le Français n'a pas donné assez lors d'un match amical...
De retour sur les terrains depuis moins d’une semaine, Franck Ribéry a déjà trouvé le moyen de se faire allumer par son entraîneur, Louis van Gaal. Pour le coach batave, le milieu français n’a tout simplement rien foutu sur un terrain lors d’un match amical organisé pour qu’il reprenne le rythme. «Il n’a pas fait d’effort et n’a fait preuve d’aucun engagement, c’est dommage», balance LVG. «Ce n’est pas pour moi que j’organise des matchs amicaux. Aucun des joueurs ne s’est bougé, mais la palme revient à Ribéry.»


Si bien que le Français n’a «aucune base physique: sa préparation n’a pas été bonne». Du coup, il pourrait bien être remplaçant ce week-end à Leverkusen. On ne se paye pas la tête de Louis van Gaal impunément.


http://www.20minutes.fr/article/625629/sports-bundesliga-franck-ribery-fait-deja-tailler-louis-van-gaal

Raymond Domenech entraîneur... des moins de 10 ans !

Tout avait été tenu secret. Alors que les Bleus s'apprêtaient à jouer mercredi face à l'Angleterre, l'ex-sélectionneur national Raymond Domenech a enfilé son survêtement et ses crampons pour entraîner les poussins de l'Athlétic Club de Boulogne-Billancourt sur un terrain de Marnes-la-Coquette (Hauts-de-Seine), a révélé L'Equipe ce matin.
«C'est de sa part un engagement à long terme, pas de passage. Il les entraîne tous les mercredis. Il le fait à titre bénévole, pour se ressourcer avec les gamins», explique au quotidien le président de la section foot du club, Jacques Migaud.


Selon un témoin de la scène, interrogé par leparisien.fr, «les jeunes n'avaient pas été mis dans la confidence, ils ont été très surpris, leurs parents aussi. ll a été bien accueilli et a serré beaucoup de mains», raconte-t-il. Après plus d'une heure d'entraînement en milieu d'après-midi, «certains gamins l'ont salué d'un Salut Raymond ! Ensuite, il est reparti seul au volant de sa voiture, et des enfants couraient derrière», poursuit-il.


La scène devrait se répéter : «Il va être régulièrement avec ce groupe d'enfants né en 2000, soit 80 gamins répartis en huit équipes», confie Jacques Migaud à L'Equipe.


Une annonce qui pourrait redorer le blason de l'ancien entraîneur après ses ennuis liés au fiasco des Bleus en Afrique du Sud : licencié par la FFF pour faute grave en septembre, Raymond Domenech a saisi le tribunal des prud'hommes début novembre, réclamant 2,9 millions d'euros d'indemnités et provoquant la colère de la Fédération.


http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/raymond-domenech-entraineur-des-moins-de-10-ans-18-11-2010-1155935.php

jeudi 18 novembre 2010

Matches amicaux - Le Portugal humilie l'Espagne

Le Portugal a réussi une belle performance en s'imposant largement devant l'Espagne (4-0), championne du monde et d'Europe en titre, à Lisbonne en match amical. Les Portugais y trouveront une petite consolation après leur défaite face aux Espagnols en huitième de finale du dernier Mondial.


PORTUGAL - ESPAGNE : 4-0




Buts : Martins (45e) , Hélder Postiga (49e, 68e), Almeida (93e)


Une opposition entre Portugais et Espagnols est rarement purement amicale. Si les deux équipes avaient annoncé vouloir absolument remporter la victoire, ce sont Cristiano Ronaldo et ses partenaires qui ont mis leurs paroles en action. D'abord en étant plus combattifs. Il fallait voir la rage de l'attaquant madrilène sur les loupés de ses coéquipiers ou sur son but refusé pour un hors-jeu de Nani (36e) pour s'en convaincre.


Les Portugais ont également été mieux organisés et plus réalistes. Les champions du monde ont certes eu une possession de balle légèrement supérieure durant les 45 premières minutes, mais leur domination a été stérile, se résumant à une accélération suivie d'un tir d'Iniesta (11e) et à une tête non cadrée de Silva, seul dans la surface, (30e). Après avoir bien géré ce temps faible, c'est au contraire Carlos Martins qui a ouvert le score après un tir de Cristiano mal repoussée par Casillas (1-0, 45e).


L'Espagne s'effondre en deuxième période.


Est-ce à cause des nombreux changements à la pause (Fabregas pour Xavi, Marchena pour Piqué et Torres pour Villa) que la Roja s'est délitée après le repos ? Toujours est-il que les Portugais, solides en défense et appliqués au milieu, ont cette fois surclassés des Espagnols désunis et sans réaction. Postiga y allait de son doublé en signant rapidement une Madjer (2-0, 50e) puis une frappe enroulée (3-0, 68e).


De quoi décourager définitivement Iniesta, Xavi et consorts, d'autant que Vicente Del Bosque a continué à faire participer son banc à la débâcle. Le dernier but d'Almeida était presque anecdotique (4-0, 93e), la Roja avait lâché le match depuis longtemps. Elle va devoir se ressaisir rapidement.


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http://fr.sports.yahoo.com/17112010/70/matches-amicaux-le-portugal-humilie-l-espagne.html
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mercredi 17 novembre 2010

ASM : au tour de Ruffier de faire du pied au PSG

Décidément, c’est un poste qui suscite un grand intérêt ! Après Nicolas Douchez et David Ospina, c’est au tour de Stéphane Ruffier, le gardien de Monaco, de se déclarer candidat à la succession d’Apoula Edel et Grégory Coupet au Paris Saint-Germain. En effet, interrogé par RMC lors de l’émission Luis Attaque, le dernier rempart monégasque n’a pas nié son attirance pour le club de la capitale.


« J’avais déjà eu des contacts avec Paris la saison passée. Cela n’avait pas pu se faire. Paris, c’est réputé pour son stade et ses supporters. Bien sûr que le challenge m’intéresse. Mais d’abord je veux bien finir la saison avec Monaco et sortir mon club de cette situation. On verra en fin de saison pour prendre une décision », a-t-il ainsi déclaré. Effectivement, Ruffier a déjà été en contact à plusieurs reprises avec les dirigeants parisiens. Il était même cité pour prendre la succession de Landreau il y a deux ans, avant l’arrivée de Coupet. Ce même Coupet arrive en fin de contrat à l’issue de cette saison, et il ne devrait pas prolonger.


Du côté d’Edel, on est bien plus proche d’une prolongation. Suivi par l’Olympiakos, le portier arméno-camerounais privilégie la stabilité au PSG, lui qui a gagné ses galons de titulaire cette saison. Quoi qu’il en soit, les dirigeants franciliens savent qu’ils vont devoir recruter à ce poste. Et au regard des candidatures qui parsèment les médias ces derniers jours, ils ne devraient pas avoir trop de mal à trouver leur bonheur !


http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/asm-au-tour-de-ruffier-de-faire-du-pied-au-psg_58247
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mardi 16 novembre 2010

Robert Pires va signer à Aston Villa !

S’il y a bien un joueur qui n’a de cesse de faire parler de lui ces dernières semaines dans le monde des transferts, c’est Robert Pires. Du haut de ses 37 printemps, l’ancien international français cherche en effet désespérément un club. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce ne sont pas les propositions qui manquent. De Leicester City (D2 Anglaise) à Birmingham (Premier League) en passant par le club thaïlandais de Muangthong United... Tous ont tenté leur chance auprès de l’ancien joueur d’Arsenal, sans pour autant avoir réussi à priori à le convaincre de signer.


Et si ces destinations exotiques au challenge sportif apparemment jugé inintéressant ne semblent pas avoir convaincu le natif de Reims, voilà qu’un club bien plus prestigieux serait sur le point d’obtenir ses faveurs. En effet, d’après L’Équipe, Robert Pires devrait s’engager dans les jours qui viennent en faveur d’Aston Villa. Devant faire face à des blessures en cascade au sein de son effectif, Gérard Houllier a donc décidé de mettre les bouchées doubles sur le marché des transferts. Et alors que de nombreux renforts sont attendus, l’ancien de Villarreal semble voué à être la toute première recrue.


Vous l’aurez donc compris, Robert Pires n’a pas voulu mettre la charrue avant les bœufs avant de se décider, et bien lui en a pris. Loin de vouloir terminer sa carrière en prenant la poudre d’escampettes pour une destination exotique, le champion du monde 1998 a donc finalement trouvé son bonheur au sein d’un club ambitieux en Premier League. Si rien n’est encore signé, l’officialisation de ce transfert devrait intervenir dans les prochains jours. Reste à savoir quel état de forme affichera l’ancien Bleu sur les pelouses anglaises. De quoi peut-être donner des regrets aux clubs de Ligue 1, qui ne se sont pas bousculés au portillon pour sauver le soldat Pires.


http://www.footmercato.net/premier-league/transferts/robert-pires-va-signer-a-aston-villa_58207
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lundi 15 novembre 2010

Monfils perd sa finale face à Soderling à Paris-Bercy

Encore raté... Comme l'an passé, le Français Gaël Monfils s'est incliné dimanche en finale du tournoi de Paris-Bercy, face au Suédois Robin Soderling. Il a aura fallu deux sets, 6-1, 7-6 (7/1), au Suédois pour battre le jeune Français.


Gaël Monfils a vécu une semaine complètement folle avant de s'arrêter, comme l'année dernière, en finale. Le Parisien a défendu la bagatelle de sept balles de matches, deux en huitièmes face à Fernando Verdasco, et cinq samedi contre Roger Federer, battant également Murray en quarts. Mais il a calé en finale face à un adversaire qui ne lui convient pas et qui l'avait déjà battu 6-3, 6-2 la semaine dernière à Valence. Usé par ses exploits à répétition, le Français, 14e mondial, a également semblé manquer de jus et de ressort pour contrer l'énorme force de frappe du Suédois, notamment au service.


Il a été balayé dans la première manche où Soderling, en plus de servir le plomb, a dominé Monfils en puissance du fond du court. Moins percutant au service au deuxième set, le Suédois a continué à se régaler du fond du court avec des coups de fusil à hauteur de hanche. Acculé en défense, Monfils n'a jamais réussi à trouver les trajectoires propres à sortir Soderling de son rythme et a fini par craquer logiquement dans le tie-break, sans avoir eu la moindre balle de break du match.


Battu en finale de Roland-Garros par Roger Federer en 2009 et Rafael Nadal cette année, Soderling, 26 ans, devient le premier Suédois à s'imposer à Bercy depuis Thomas Enqvist en 1996 et le premier à remporter un Masters 1000 depuis le même Enqvist à Cincinnati il y a dix ans. Il a également vécu une semaine incroyable à Paris où il a notamment sauvé trois balles de match face à Michaël Llodra samedi en demi-finales. Gilles Simon, Stanislas Wawrinka et Andy Roddick ont été les autres victimes de Soderling qui ravira lundi la place de N.4 mondial à Andy Murray, son meilleur classement.


http://lci.tf1.fr/sport/monfils-perd-sa-finale-face-a-soderling-a-paris-bercy-6142658.html
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dimanche 14 novembre 2010

UN FAUTEUIL POUR QUATRE ! La course en direct !!!

Cliquez sur ce lien pour suivre la course en live...
http://fr.sports.yahoo.com/14112010/70/grand-prix-d-abou-dhabi-la-course-en-direct.html
Pour tout comprendre
Si le Grand Prix d'Abou Dhabi se résumait à deux manches - la qualification et la course - on estimerait que Fernando Alonso (Ferrari) a remporté la première, samedi à Abou Dhabi, dans l'optique du titre. Mais l'incertitude de la seconde nous oblige à dire que l'Espagnol a pris une simple option

Pour retrouver la suie de cet article cliquez sur ce lien....
http://fr.sports.yahoo.com/13112010/70/grand-prix-d-abou-dhabi-le-1er-round-pour-alonso.html

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samedi 13 novembre 2010

Epée : les Français champions du monde

C'était l'ultime chance des Français aux Championnats du monde d'escrime de Paris. Ils ne l'ont pas laissé passer. En clôture de l'épreuve disputée au Grand Palais, l'équipe de France d'épée masculine a conservé son titre, égalant le record de sept victoires de rang dans les grands rendez-vous détenu par l'équipe italienne des années 50.


Le quatuor français - Gauthier Grumier, Jean-Michel Lucenay, Ulrich Robeiri et Jérôme Jeannet - a battu en finale les Etats-Unis par 45 touches à 36 pour poursuivre sept ans d'une domination française entamée aux jeux Olympiques d'Athènes en 2004.


Depuis, la France a mis la main sur deux titres olympiques et cinq titres mondiaux.


L'équipe masculine d'épée apporte à la France sa cinquième et dernière médaille de ces Mondiaux, la deuxième en or, cinq jours après le sacre en individuel de Maureen Nisima déjà à l'épée.


Du coup, la France finit deuxième au tableau des médailles, derrière l'Italie et ses sept médailles dont deux titres.
http://www.leparisien.fr/sports/autres/epee-les-francais-champions-du-monde-13-11-2010-1148532.php
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Masters Paris-Bercy - Monfils prolonge la fête

Pour la première fois de l'histoire, deux Français se hissent en demi-finale du Masters 1000 de Paris-Bercy. Après la très belle performance de Michael Llodra face au Russe Davydenko, Gaël Monfils a régalé le public du POPB en venant à bout de l'Ecossais Andy Murray, numéro 4 mondial, en trois sets


FINALES


Gaël Monfils (Fra, 12) bat Andy Murray (G-B, 3) : 6-2 2-6 6-3




Prochain adversaire : Federer


Roger Federer (Sui, 1) bat Jurgen Melzer (Aut, 11) : 6-1 7-6(4)


Le tennis français est en fête. Après Michael Llodra, auteur d'un parcours sensationnel jusqu'au stade des demi-finales, avec notamment des succès face à Novak Djokovic et Nikolay Davydenko, Gaël Monfils s'est à son tour hissé dans le dernier carré du Masters 1000 de Paris-Bercy, en trouvant des ressources physiques insoupçonnées pour venir à bout d'Andy Murray.


L'Ecossais était pourtant devenu la bête noire du tennis tricolore. Depuis sa défaite au premier tour de l'Open d'Australie face à Jo-Wilfried Tsonga en 2008, le dernier membre du Big Four restait sur 26 victoires consécutives face à un Français. Une longue série à laquelle la Monf' a mis fin, alors qu'il abordait pourtant son quart de finale sur la jante et avec un genou douloureux. Comme la saison dernière, il n'est assurément pas en pleine possession de ses moyens mais il trouve dans le soutien populaire un surplus d'énergie qui lui permet de déplacer des montagnes. La ferveur des supporters n'expliquent cependant pas tout. Depuis quelques semaines, le 14e mondial donne le sentiment d'exprimer enfin sur le court tous les conseils de son entraineur, Roger Rasheed. Enfin, le Parisien ne se contente plus de remettre la balle dans les limites, de s'appuyer uniquement sur ses incomparables qualités défensives, mais fait étalage d'une agressivité nouvelle qui pourrait lui ouvrir de nouveaux horizons. Le match face à Murray en est le parfait exemple.


Tout au long des première et troisième manches, le numéro un tricolore en l'absence de JWT s'est appuyé sur ses nouvelles bonnes intentions pour faire la différence. Grâce à son service et un coup droit tonitruant, capable de creuser des brèches béantes dans n'importe quelle défense, il a pris la direction des échanges, mettant constamment Murray sur le reculoir. Ce Monfils-là, qui n'hésite pas à conclure les points au filet, à varier entre puissance et toucher de balle, peut voir haut, très haut. Celui du deuxième set, nettement moins. Certainement marqué par les efforts consentis face à Verdasco en huitièmes de finale, il a alors logiquement baissé de régime mais a par contre donné le bâton pour se faire battre en retombant dans ses travers, en faisant preuve d'un attentisme coupable dont Murray a parfaitement profité. Un leçon à retenir avant d'affronter l'ancien roi Roger Federer en demi-finale.


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vendredi 12 novembre 2010

Serie A - Inzaghi, ça sent la fin

Reverra-t-on Filippo Inzaghi sur un terrain de football ? Le doute est permis après la terrible blessure dont Super Pippo a été victime mercredi soir lors de la victoire du Milan AC face à Palerme (3-1) en championnat. Alors qu'il était entré en jeu un petit quart d'heure auparavant, l'attaquant italien s'est blessé sur l'action qui a amené le penalty provoqué par Massimo Ambrosini et transformé par Zlatan Ibrahimovic (77e). Les examens passés jeudi ont livré un terrible verdict : Inzaghi souffre d'une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche et du ménisque externe.


" La vie et le football sont comme ça. Une minute, tu es en train de jouer et de tout donner, la suivante tu te tiens le genou de douleur entre les mains", a déclaré Inzaghi dans un communiqué officiel publié sur le site du Milan AC. "Une minute après, tu regardes autour de toi. Ce que j'ai vu autour de moi, c'est vous. Merci. Au fond de vos coeurs, vous savez tous, et moi aussi, que ce sera difficile. Mais je n'abandonnerai pas. Je ferai tout pour que ce ne soit pas la fin. Et je le ferai en grande partie grâce à votre force et votre énergie."


Un monument du Milan AC


Le buteur milanais va subir une opération dans les jours qui viennent. Sa saison est d'ores et déjà terminée. Et la suite de sa carrière s'inscrit désormais en pointillée. A 37 ans, Inzaghi sera indisponible pour une période estimée entre 6 et 9 mois par les médecins. Il est victime de l'une des blessures les plus redoutables pour un footballeur, et il lui faudra à la fois du travail et de la chance pour s'en remettre. D'autre part, l'attaquant transalpin sera en fin de contrat en juin prochain. Compte tenu de son âge et de l'incertitude liée à son état physique, le Milan AC a quelques raisons de ne pas le prolonger. Il y a deux ans, le club lombard s'était retrouvé dans la même situation avec Ronaldo, victime de la même blessure, et avait décidé de ne pas renouveler le contrat du Brésilien.


Le cas d'Inzaghi est différent. Super Pippo est un monument à San Siro, il est le 6e meilleur buteur de l'histoire du club avec 125 réalisations, et sa cote de popularité est restée intacte. "Ça ne peut pas finir et ça ne finira pas. Inzaghi est dans nos coeurs, et nous sommes dans le coeur d'Inzaghi", peut-on lire sur le site officiel du Milan AC. S'il n'est plus un titulaire indiscutable depuis deux saisons, l'attaquant milanais n'en est pas moins resté décisif, comme en témoigne son doublé face au Real Madrid (2-2) lors de la dernière journée de la Ligue des Champions. A cette occasion, il a repris la couronne de meilleur réalisateur toutes Coupes d'Europe confondues à Raul, avec 70 buts contre 69 à l'Espagnol. Il s'agissait peut-être du dernier coup d'éclat de ce buteur inoxydable. A moins que "l'homme qui était né hors-jeu" (dixit Sir Alex Ferguson) surgisse une nouvelle fois là où on ne l'attend pas.
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jeudi 11 novembre 2010

Masters Paris-Bercy - Un exploit signé Llodra

Très bel exploit de Michael Llodra. Pour la première fois de sa carrière, le Parisien se hisse en quart de finale d'un Masters 1000 en dominant le Serbe Novak Djokovic, tenant du titre à Paris-Bercy (7-6 6-2). Une victoire qui pourrait donner des idées à Guy Forget en vue de la finale de Coupe Davis


MASTERS 1000 PARIS-BERCY - 8ES DE FINALES


Michael Llodra (Fra) bat Novak Djokovic (Ser, 2) : 7-6 6-2


Prochain adversaire : Davydenko




Nikolay Davydenko (Rus, 10) bat Tomas Berdych (Rtc, 5) : 4-6 7-6(5) 6-0


Même si tous les joueurs français assurent ne pas avoir encore en tête la finale de Coupe Davis face à la Serbie, Michael Llodra a sans conteste envoyé un message fort à son capitaine en faisant chuter le numéro un serbe, Novak Djokovic, tenant du titre à Bercy.


"Tout le monde voit Djokovic m'écrabouiller"... le Parisien avait conscience de ne pas avoir les faveurs des pronostics et d'être condamné à évoluer à son meilleur niveau pour espérer signer la sensation du jour. Ses derniers résultats, défaites au premier tour à Montpellier et Bâle, ne parlaient pas vraiment en sa faveur et ne pesaient pas bien lourd face à la tonitruante fin de saison du numéro trois mondial. Finale à l'US Open et à Bâle, titre à Pékin... Le joueur des Balkans a tout écrasé sur son passage au cours des dernières semaines. Porté par le public bouillant de Bercy, Llodra a cependant su rendre une copie quasi-parfaite pour se hisser pour la première fois de sa carrière en quarts de finale d'un Masters 1000 et marquer les esprits à trois semaines du rendez-vous belgradois. La surface y sera certainement beaucoup plus lente, mais la manière avec laquelle il a dominé Djokovic ne laissera certainement pas insensible le capitaine français Guy Forget


Llodra voit plus loin


Transformé depuis quelques mois en simple après avoir surtout brillé en double jusque-là, le Français s'est une nouvelle fois appuyé sur un tennis résolument tourné vers l'offensive pour faire la différence et s'offrir une sixième victoire face à un membre du Top 10 lors de ses sept dernières opportunités. Porté par une première balle efficace, encore plus travaillée que dans le passé, le Parisien a remporté 90% des points derrière son premier engagement et n'a concédé des balles de break que dans un seul jeu, récitant un tennis proche de la perfection, notamment au filet. "Je dirais qu'il a joué le match parfait . De mon côté, je n'ai pas mal joué mais chaque fois que j'ai eu une ouverture, il a réussi un coup incroyable, une volée, une balle sur la ligne... Il mérite cette victoire", a lancé beau joueur le Djoker en conférence de presse.


En plus de ses qualités offensives incomparables, Llodra a su y ajouter une force mentale qu'on ne lui connaissait pas. Confronté à deux balles de sets au cours du tie-break de la première manche, le Tricolore n'a jamais montré le moindre signe d'agacement et d'hésitation, s'efforçant de rester sur la même voie. Grâce à un revers et une volée gagnants suivis d'un enchainement service-volée et d'un retour victorieux, il s'est ainsi adjugé le gain du premier acte et a marqué moralement Djokovic. Incapable de trouver la solution, le Serbe a sensiblement baissé pied dans la seconde manche, gâchant les trois balles de débreak à 2-3 qui lui auraient permis de se relancer. "Ah oui, elle est belle cette victoire. Battre le N.3 mondial comme ça chez moi c'est fantastique. Jusqu'à l'année dernière j'avais tendance à viser petit mais je réalise aujourd'hui que je peux voir plus loin", a reconnu Llodra à la sortie du court, avec certainement la finale de Coupe Davis dans un coin de la tête.


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mercredi 10 novembre 2010

Masters Paris-Bercy - Les Bleus dans le dur

Novak Djokovic a les yeux qui s'illuminent. Un journaliste français s'apprête à lui poser une question sur la Coupe Davis. "Non, vraiment ?!", s'amuse le Djoker avant d'enchaîner sereinement une tirade enthousiaste sur l'état d'esprit de l'équipe serbe. "Nous sommes vraiment excités à l'idée de jouer la finale. C'est une chance unique pour nous et le pays. Moi je suis en forme, Janko Tipsarevic se repose, Viktor Troicki aussi. C'est le grand objectif de notre fin de saison." Vainqueur ici l'an passé, Djokovic fait en effet bonne impression. Le Serbe a bonne mine. Un contraste remarqué avec les joueurs du groupe France.


Traits tirés, visages marqués par la fatigue, Gilles Simon et Gaël Monfils, les deux vainqueurs du jour, ont des têtes défaites. "Je n'étais pas bien à Valence, dit Simon, J'avais peur que ça se passe vraiment très mal aujourd'hui parce que physiquement, c'était dur. [...] Il faut que je me repose, c'est vital parce que j'ai perdu ma capacité à enchaîner les matches et surtout les tournois." Monfils derrière lui parle à voix basse avec la même incrédulité sur sa performance. "C'était dur parce que j'ai pris un coup de fatigue. Je suis fatigué, j'ai mal au genou. J'ai dû m'arrêter pendant un entraînement ici. C'est bien la fin de saison (ironique), elle est toujours marrante. Il faut toujours gérer c'est sympa."


Monfils et les 99 plongeons


Monfils a le genou dans de la glace et le coude aussi. Il ne veut toutefois pas s'arrêter de plonger ni de penser Bercy. "Vous les journalistes, vous aimeriez bien être déjà à la finale, mais il y a un Masters 1000 à jouer. Je ne calcule pas." Là on retrouve le discours de Novak Djokovic plus tôt dans la journée, et mot pour mot. Les deux finalistes sont encore sur la même longueur d'ondes, même si Djokovic paraît plus frais.


Le plus dispo de Français du jour est donc celui qui a perdu en simple mais gagné en double : Arnaud Clément. Après ses 22 aces la veille, la machine a "bugué" contre Verdasco. Mais le double lui a fait du bien. Abattu entre les deux matches, il doit savoir que le tennis produit au premier tour pésera en sa faveur au moment du choix de Guy Forget. Le mot de la fin de la journée reste toutefois à Monfils, qui, au-delà de la fatigue et de la douleur réelle, annonce encore la couleur : "Si je dois plonger 99 fois pour gagner le tournoi, je le ferai." Coupe Davis ou pas, le match contre Verdasco justement au prochain tour s'annonce spectaculaire. Forget appréciera l'engagement.


LE PROGRAMME DE MERCREDI


Court central (à partir de 10h30)


Andy Roddick (USA/N.8) - Jarkko Nieminen (FIN)


Juan Monaco (ARG) - Novak Djokovic (SRB/N.3)


Andy Murray (GBR/N.3) - David Nalbandian (ARG)


John Isner (USA/N.16) - Michaël Llodra (FRA)


Pas avant 19h30


Roger Federer (SUI/N.1) - Richard Gasquet (FRA)


Pas avant 20h30


Gilles Simon (FRA) - Robin Soderling (SWE/N.4)


Court N.1 (à partir de 10h30)


Sergiy Stakhovsky (UKR) - Marin Cilic (CRO/N.13)


Ivan Ljubicic (CRO/N.15) - Stanislas Wawrinka (SUI)


Jürgen Melzer (AUT/N.11) - Santiago Giraldo (COL)


Nikolay Davydenko (RUS/N.10) - Thomaz Bellucci (BRA)


David Ferrer (ESP/N.7) - Fabio Fognini (ITA)


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